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C'est une comédie moderne écrite et mise en scène par Leslie Bevillard.


Super Panda Company présente Complètement givré(es)
Le temps d’une soirée, une fête surprise qui devait être mémorable vire au cauchemar…
Il y a un cadavre dans le frigo !!! D’accusations en crêpages de chignon, en passant par l’hystérie et la panique la plus totale, les filles se retrouvent au milieu d’un tourbillon qu’elles ne maîtrisent plus. L’amitié entre ces trois copines, une star montante, une styliste gay et une femme de footballeur, va être mise à rude épreuve. Avec des dialogues percutants et des comédiennes investies, la combinaison est détonante. En bref un sujet drôlement inattendu !

En cas d'intempéries les spectacles sont déplacés à l'auditorium Saint-Michel.
Renseignement au 06 16 28 62 28 ou http://www.lesouffleurdarundel.fr/

Tarif réduit : 10 €, tarif plein : 12 €, gratuit pour les enfants de -12ans.

Mercredi 01 août 2012 Tour d'Arundel, La Chaume à partir de 21h00.
Rédigé par Les Sables Info le Mercredi 1 Août 2012 à 16:17 Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
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Le navigateur Trinitain Erwan Le Roux s’est adjugé aujourd’hui mercredi 01 août la 8ème édition de la Transat Québec Saint-Malo en classe Open. Il a franchi la ligne d’arrivée sous les remparts de Saint-Malo à 07h, 56 min 05 sec (FR).
Son temps de course depuis Québec est de 9 jours, 14 heures, 21 minutes et 05 secondes. Il a parcouru les 3 288 milles de sa traversée à la moyenne de 14,27 nœuds.
C’est la première grande victoire au large d’Erwan après le succès dans la Transat Jacques Vabre 2009 où il était équipier de Franck-Yves Escoffier.
Son trimaran Multi50 FenêtréA Cardinal 3 n’est autre que l’ancien trimaran Crêpes Whaou 3 de Franck-Yves.
Erwan Le Roux avait pour équipier entre Québec et Saint-Malo Antoine Carpentier, Mathieu Souben et Yvon Cardinal.
FenêtréA Cardinal 3 bat le record établi en 2008 par Franck-Yves Escoffier de 1 jour 12 heures 58 minutes.


Copyright : Pierre Bouras
Copyright : Pierre Bouras
Erwan Leroux, skipper de FenêtréA Cardinal 3 :

« Cette course s’est faite en 2 temps. Le premier avec toutes les bouées sur le fleuve Saint-Laurent et un superbe départ de Québec. Puis il y a aussi eu les bouées à passer avec beaucoup de monde à chaque fois. C’était un spectacle magnifique et super sympa. Après il y a eu le mauvais côté des choses, avec du près, de la mer et le bateau qui tapait et souffrait beaucoup. On a surtout eu une mer hachée et très courte. Du coup, nous aussi on a beaucoup souffert. On a vraiment attendu notre moment pour attaquer et utiliser le bateau à 100%. C’est ce que l’on a fait pendant 4 jours et on a tracé notre rail sur l’Atlantique. Ça a été magique et je crois que l’on en garde tous un énorme souvenir. Du Fastnet jusqu’à Perros et ici à Saint-Malo ça a été dingue. Le matin nous étions au Fastnet et l’après-midi en face des Sept Iles. C’est un truc de fou. C’est un bateau fabuleux parce que tu arrives à garder des vitesses moyennes assez élevées tout en étant « safe ». On a pris un ris de temps en temps et il y avait un mec à l’écoute de solent et de GV mais on a jamais eu de gros choqués ou de gros enfournements. C’est un bateau extraordinaire pour ça.
Le record de 7 jours et bien je suis persuadé qu’il est prenable en Multi50. Mine de rien on a fait beaucoup de route, surtout sur la fin, mais au final si on gagne sur chaque partie, le record est prenable avec notre 50 pieds.
»
Rédigé par Les Sables Info le Mercredi 1 Août 2012 à 11:26 Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
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Parti en trombe et en tête au coup de canon au large des Sables d’Olonne, c’est sans fausse note qu’Aymeric Belloir a débuté la première étape des Sables-Les Açores-Les Sables. Le skipper de Tout le monde chante contre le cancer, vainqueur du prologue, ne fait pas mentir son statut de favori à l’entame de cette épreuve en solitaire su circuit 6.50 marquée par des conditions exigeantes dans des vents contraires. Après 24 heures de course avec de nombreux changements de leader, il mène d’une courte étrave devant Renaud Maury (www.rufo.fr)...


© Laure Faÿ / Vu Com'
© Laure Faÿ / Vu Com'
C’est à 13h02, avant hier, que la flotte des Sables-les Açores- les Sables a pris le départ de la première étape de cette course de 2 600 milles qui consiste en aller-retour entre la côte vendéenne et l’archipel portugais. Le plus prompt à l’extrémité gauche de la ligne de départ, Aymeric Belloir a débuté de la plus belle manière dans un vent de sud-ouest d’une douzaine de nœuds basculant à droite au fil de cette première nuit avant l’arrivée annoncée d’un front promettant de corser encore un peu les choses sur la route du cap Finisterre. Les premières heures de course ont été marquées par trois retours au port suite à des avaries. Côté protos, Antoine Rioux (Le festival des pains) a déclaré son abandon. Chez les séries, Hugo Plantet (FT Marine), victime d’un démâtage, a dû également jeter l’éponge, tandis que Julien Marcelet (Hissons les voiles en Nord Pas-de-Calais) a pu reprendre la route après avoir réparé son étai.

Du bon monde dans le tableau arrière…

Fidèle à sa réputation, le golfe de Gascogne, s’il ne montre pas son plus féroce visage, n’en a pas moins décidé de compliquer la tâche des 36 navigateurs solitaires encore en course, contraints de se mesurer au près, une allure technique tactique, et surtout sacrément inconfortable à la barre d’un Mini 6.50. Pas étonnant donc que les écarts soient encore très serrés et que les plus véloces, sommés de ne rien céder, s’échangent le leadership au gré des virements de bord. Force est de constater que ça se bouscule dans le tableau arrière de Tout le monde chante contre le cancer. Moins de 4 milles séparent ainsi Aymeric du 8è, Damien Cloarec (Damien Cloarec recherche sponsor), autre transfuge du circuit Figaro, rompu lui aussi à l’art de la régate au contact en solitaire. Notons par ailleurs que la jolie clique des Nacira, réunis pour l’occasion, donne la mesure de son potentiel de vitesse dans des vents contraires. Tous les frères de plans de Tout le monde contre le cancer se tiennent en respect dans le top ten, et n’ont pas fini de se chamailler le moindre mille sur les chemins océaniques qui mènent à Horta.

La musique du solo majeur

Pour l’heure, le scénario se déroule tel que l’avait imaginé Aymeric avant de mettre les voiles pour cette grande descente vers les Açores. « Cette première étape sera à coup sûr complète et complexe. On aura toute la panoplie des conditions météo qui existent en magasin : du près, un passage de front, des zones de transition et des bulles sans vent qui peuvent côuter. Il faudra d’emblée être bien dans le coup, tout en faisant bien attention de ne pas se mettre dans le rouge pour garder les ressources nécessaires pour la fin de l’étape qui sera longue », confiait-il serein sur les pontons de Port Olonna. Et d’ajouter : « Il n’y aura sans doute pas de grandes options météo à jouer, mais tout sera une question de trajectoire, de positionnement… Au début, au près, ce sera de gagne-petit. En tout cas, je me sens bien en forme et d’attaque face à des concurrents qui seront à coup sûr bien au rendez-vous. » Toujours vissé aux avant-postes depuis le coup de canon, aux commandes de la flotte au dernier classement, Aymeric joue sa partition comme prévu. Tout le monde chante contre le cancer donne le « la », suivi comme son ombre par une meute d’adversaires qui ne manquent pas de voix. Preuve s’il en est qu’il connaît la musique de cette course en solo majeur, dont les premières mesures sont données au près...

Classement Séries – 1ère étape Les Sables-Les Açores - Lundi 30 juillet, 16h

1 –Aymeric Belloir (Tout le monde chante contre le cancer), à 1139 milles de l’arrivée
2 – Renaud Maury (www.runo.fr), à 0,2 mille du premier
3 – Jean-Marie Auger (Acebi), à 1,7 mille du premier
4 – Ian Lipinski (Althing), à 1,7 mille du premier
5 – Justine Mettraux (Team Work), à 2,1 milles du premier
Rédigé par Les Sables Info le Mercredi 1 Août 2012 à 11:14 Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
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Erwan Le Roux et ses hommes de FenêtréA Cardinal 3, Yvon Cardinal, Mathieu Souben et Antoine Carpentier sont attendus, sauf surprise, dès ce soir entre 21 heures et minuit sur la ligne d’arrivée de la 8ème Transat Québec Saint-Malo. Ils inscriront leurs noms au prestigieux palmarès de l’épreuve à double titre, celui de vainqueur de la classe Open mais aussi, celui de recordmen. Le temps référence en Multi50 établi en 2008 par Franck-Yves Escoffier en 11 jours, 3 heures, et 19 minutes devrait être pulvérisé d’une vingtaine d’heures. Le Roux, chassé de l’Atlantique par une sévère dépression cravache pour échapper au plus fort du vent portant. Il est en passe de signer l’un des plus beaux succès de sa jeune carrière. En l’arrière de la dépression sus mentionnée, les Class40 livrent un combat qui ne cesse de monter en intensité au fur et à mesure que les leaders s’approchent de la Bretagne. Le Normand et tenant du titre Halvard Mabire (Campagne de France) résiste toujours et encore aux coups de boutoirs de plus en plus insistants de Sébastien Rogues (Generation Eole – GDF SUEZ) revenu à 9 milles sur une route désormais un peu plus nord. Ni Joerg Riechers (Mare), 3ème à 16,7 milles, pas plus que Fabrice Amedeo (Geodis), 4ème à 39,7 milles n’ont pour l’heure abdiqués et le final proposé après 9 jours de lutte au contact, est de toute beauté.
Vitesse, soin porté aux trajectoires, engagement total des marins scandent les derniers 900 et quelques milles de course et le record établi il y a 4 ans par Mabire en 13 jours, 13 heures et 50 minutes menace lui aussi d’exploser. Verdict pour les Class40, attendu vendredi 3 août en soirée selon les dernières estimations.


FenêtréA Cardinal 3 Copyright : Jean-Christophe L'Espagnol
FenêtréA Cardinal 3 Copyright : Jean-Christophe L'Espagnol
Des records à portés d’étraves
Si les deux records absolus, celui de Fujicolore II en 1996 en multicoque et celui de Merit en 1992 pour la catégorie des monocoques, ne sont désormais plus à la portée de FenêtréA Cardinal 3 et Vento di Sardegna, le record en Multi50 semble largement à la portée d’Erwan Le Roux.
À 17h20 hier soir, Erwan Le Roux aura franchi la barre des 9 jours de course alors que Crêpes Whaou avait, quant à lui, parcouru en 2008, la distance entre Québec et Saint-Malo en 11 jours 3 heures et 19 minutes.
Avec deux jours d’avance sur le précédent temps de référence dans cette catégorie des Multi50, cet équipage rentrera dans le club fermé des marins ayant parcouru la distance en moins de 10 jours.
Dans la catégorie des Class40, Halvard Mabire, détenteur du titre et du temps de référence sur Pogo Structures en 2008 est en bonne position pour faire encore mieux. Les premières ETA (heure estimée d’arrivée) annonce le premier Class40 à Saint-Malo dans la soirée de vendredi, soit 24 heures de moins qu’en 2008. Mais la route est encore longue pour cette catégorie et les conditions météorologiques sur l’Atlantique pourraient réserver quelques surprises si l’anticyclone se déplace plus vite que prévu.
De son côté, Vento di Sardegna le monocoque de 50 pieds d’Andrea Mura, est attendu à Saint-Malo vendredi vers 4h du matin. Si les prévisions se maintiennent, Andrea Mura devrait traverser l’Atlantique en 11 jours et 13 heures. Un temps inférieur à celui du maxi-monocoque La Poste de Daniel Mallé en 1992. Une très belle prestation pour cet équipage dont l’objectif principal sur cette Transat était d’arriver le premier monocoque. Réponse en fin de semaine pour des arrivées très groupées. Le week-end prochain sera chargé à Saint-Malo avec l’arrivée d’une vingtaine de bateaux.

Message du bord
Ryan Breymaier, Mare
« Nous avons enfin pu trouver le vent de nord-ouest et nous naviguons sous Code 0 et un ris dans le GV. Nous avons environ 20 nœuds de vent et nous marchons entre 15 et 17 nœuds à 110 degrés du vent. Les vagues qui arrivent sur le pont nous rappellent les vidéos de la Volvo Ocean Race et c'est certainement équivalent à ce que j'ai pu voir à bord de l'IMOCA. Notre mission maintenant est de rester avec ce vent pendant qu'il va vers l'est. Nous poussons très fort pour rattraper les milles perdus sur Halvard et Miranda. Nous restons conscient qu'il peut y avoir de la casse à n'importe quel moment, qui se rajoute au stress de la navigation à grande vitesse, mais bon, sans ce vent et les vitesses qu'il nous permet, nous n'arriverions jamais à Saint-Malo ! »

Michel Kleinjans, Roaring Forty
« Une journée à nouveau mouvementée ce matin un des équipiers me réveillait. La GV était descendue toute seule.... Après inspection, on se rendait compte que le point fixe d’attache de la drisse était parti. On a hissé temporairement la voile avec une drisse de spi et on m’a hissé dans le mât, avec je dois le dire un peu d'effort et quelques contacts moins agréables avec le mât. J’arrive en tête de mât pour constater que l'axe qui tient la drisse en haut est partie, donc pas facile à refaire en mer, surtout pas par 25 nœuds de vent et une mer un peu désordonnée.
On décide de continuer avec la drisse de spi que l'on va tout de même « mouffler » et espérons que cela tienne jusqu'à ce que ça se calme, mais le problème est que c’est pas pour demain ! Entre temps on voit apparaitre à l'horizon Comiris-Elior. Rassemblement sur le pont et grand temps de hisser le Code 5, pour le moment tout tient et Bouchard reste à côté de nous. On va essayer d'aller un peu plus vite que lui, tous ces fanatiques de vitesse dans le coin, ça force à pousser, espérons pas trop
! »

Louis Duc, Avis Immobilier
« 10 nœuds de moyenne depuis notre départ de Saint-Pierre ! Vu les vitesses de la flotte des Class40, sur la cartographie du site de la course, ça doit paraître normal ! En fait traverser l'Atlantique comme ça, c'est plutôt assez rare ! Devant nous, un système dépressionnaire dans l'ouest de l'Irlande va nous permettre de garder ces vitesses très proches de la route directe! Ca va vite, et ça va encore accélérer! On navigue Grand-Voile 1 ris Solent, dans 20 25 nœuds au travers, le bateau est sur un rail, rien de compliqué, mais un peu humide... Dehors, le quart de veille prend des seaux d'eau de mer sur la figure à peu près toute les 30 secondes, c'est la mer qui prend l'homme: c'est la plaisance ! C’est le pied ! Et ça va continuer en s'accélérant demain soir! Les routages météos avec les prévisions actuelles nous prévoient une arrivée vendredi soir, mais on s'est toujours quand on part, on ne sait jamais quand on arrive... »
Rédigé par Les Sables Info le Mercredi 1 Août 2012 à 10:59 Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
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Bâbord amure, encore et toujours. Mis à part quelques concurrents qui ont opéré un petit décalage stratégique, l’essentiel de la flotte des 6,50m subit depuis le départ des conditions météorologiques qui ne permettent pas de descendre dans le sud, à moins d’accepter de perdre un terrain conséquent sur les autres concurrents. Mais il va bien falloir virer de bord, un jour ou l’autre.


Photo : Christophe Breschi
Photo : Christophe Breschi
C’est typiquement le genre de situation dans laquelle un coureur au large déteste se trouver. Depuis le départ des Sables d’Olonne, mis à part quelques heures au large de l’île d’ Yeu, la flotte est soumise à un régime de vents de sud-ouest n’offrant guère d’autre possibilité que de continuer à gagner dans l’ouest. Mais ce faisant, les concurrents des Sables – Les Açores – Les Sables vont devoir affronter un nouveau renforcement des vents et des conditions pour le moins inconfortables pour un Mini. D’autant qu’il existe peut-être une porte de sortie, pour les premiers qui vont réussir à descendre le long de la façade ouest de l’Espagne. Mais auparavant, il faut pouvoir doubler le cap Finisterre. Chacun prend son mal en patience, mais il y a fort à parier que nombre de coureurs doivent commencer à avoir la tentation de mettre le clignotant à gauche. C’est ce décalage que sont venus chercher Giancarlo Pedote (Prysmian) qui continue de mener la flotte, Benoit Marie (benoitmarie.com) et surtout Etienne Bertrand (Chasseur de Primes) qui a profité d’un petit retour du vent vers la droite pour aller se placer sous l’orthodromie (la route directe). Les hommes du sud devraient bénéficier de conditions plus maniables pour les heures à venir, ils se positionnent aussi pour essayer d’avoir le moins de route à faire vers l’échappatoire du cap Finisterre. Au nord, dans le sillage de Milan Kolacek (Follow Me), on table plutôt sur une bascule du vent plus précoce pour pouvoir faire route au sud-ouest les premiers. En clair une rotation du vent précoce et lente devrait favoriser les hommes du nord, une bascule franche et simultanée sur toute la flotte donnerait un avantage décisif aux hommes du sud.

Les séries au contact

Serait-ce le syndrome Solitaire du Figaro qui atteindrait les bateaux de série ? Une chose est sûre, c’est que les premiers se marquent à la culotte. Moins d’un mille d’écart entre Aymeric Belloir (Tout le Monde Chante contre le Cancer) et Justine Mettraux (Team Work) et derrière eux un groupe de trois bateaux constitué dans l’ordre de Renaud Mary (www.runo.fr, Ian Lipinski (Althing) et Simon Koster (Go 4 It). Jean-Marie Oger (Acebi) et Damien Cloarec (Damien Cloarec recherche sponsor) paient d’une dizaine de milles une stratégie qui a voulu ménager la chèvre du nord et le chou du sud. Il faudra néanmoins continuer de surveiller Jonas Gerckens (Elect-Râ) qui pointe en tête du groupe du sud. Pour d’autres, ces considérations stratégiques n’ont que peu d’importance. Yoann Tricault (C-possible) comme Emmanuel Renaud (Koati) ont avoué avoir souffert durant la première nuit, victimes du mal de mer. Impossible de s’alimenter correctement dans ces conditions : c’est plutôt le petit manuel du « comment bien survivre en mer » qui leur a tenu de bréviaire que les considérations stratégiques de tel gourou de la météorologie marine. Toutefois, ce mardi a permis à la flotte de s’octroyer un répit : faire du rangement, enlever pour quelques heures le ciré et les bottes, prendre un repas chaud, dormir confortablement sont aussi des gages de performances pour la suite. En attendant la bascule du vent, une seule consigne : ne rien lâcher. La course au large a parfois un petit côté bestial qu’il faut savoir assumer.

Classement au 31 juillet à 16h (TU+2)

Prototypes :

1 Prysmian – Giancarlo Pedote, à 1018,7 milles de l’arrivée

2 Follow Me – Milan Kolacek, à 4,8 milles

3 La Tortue de l’Aquarium La Rochelle – Aymeric Chappellier à 5,1 milles

4 benoitmarie.com – Benoît Marie, à 11,1 milles

5 Fondation terrevent.org – Nicolas Boidevezi, à 11,1 milles

Série :

1 Tout le Monde Chante contre le Cancer – Aymeric Belloir à 1043,1 milles de l’arrivée

2 Team Work – Justine Mettraux, à 0,7 milles

3 www.runo.fr - Renaud Mary à 3,4 milles

4 Althing – Ian Lipinski, à 4,3 milles

5 Go 4 It – Simon Koster, à 4,5 milles
Rédigé par Les Sables Info le Mercredi 1 Août 2012 à 10:43 Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
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Ça fume et ça envoie du pâté ! Cette glissade va persister jusqu'à Saint-Malo et bien éprouver les équipages.

Où sont l'été et son bon anticyclone ? L'été québécois était plus agréable... Nous voilà donc à poursuivre une dépression qui va nous porter au Sud Ouest de L’Irlande et sa petite sœur va nous accompagner jusqu'à l'entrée de la Manche. C'est baston garantie pour 3 jours avec des conditions de vie difficiles. Grosse consolation : c'est du portant, rapide et assez euphorisant !

L'interrogation stratégique est de soit laisser porter et descendre sur la route avec le Gennaker ou garder une route nord, plus lente de 1 à 2 nœuds, mais en conservant ainsi l’avantage de notre nord par rapport à la flotte.

Le Troisième paramètre entrant en ligne de compte est celui d'éviter une surexposition à la casse mécanique. Un petit contrôle de routine de JC ce matin dans le caisson arrière, lui a permis de découvrir que la liaison pilote-barre se désaccouplait. Good job JC !

Pour l'ambiance : pointe à 25,1 nœuds GPS au moment où je rédige ces lignes. Ah, mais le jeune homme vient de se réveiller et donc désolé, mais il exige ses tartines grillées.

...Très bonne d’ailleurs ces tartines, pas une exigence, mais bien une complicité d’équipage dirais-je !

C’est sûr ça va vite, un peu humide l’histoire, les vitesses sont élevées pour tout le monde. Nous sommes 10 bateaux en 50 milles après 10 jours de course : le calcul est rapide soit tu termines 5e soit 15e ! Tout peu arriver, surtout dans ces conditions météo, où en 2 secondes, tu peux passer d’un surf de folie à la casse sur un départ au tas.

Bref ça s’appelle naviguer sur le fil de la lame.

Joli spectacle que cette mer bien formée avec laquelle on avance, surfe comme à la plage sauf qu’avant d’arriver à la plage, cela va prendre quelques jours. Nous restons concentrés tout en essayant de nous reposer pour garder cette lucidité nécessaire à l’anticipation.

Bientôt la nuit, jetez un petit coup d’œil en haut, ce soir, elle est magnifique et toute de blanche vêtue… Regardez-la bien, vous y verrez plein de choses.

Des bises salées de ce bel océan.

Le TEAM PICOTY

jako bongo,cali,jc.
Rédigé par Les Sables Info le Mercredi 1 Août 2012 à 10:28 Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
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Sophie Landy : Soprano, Nanja Breedijk : Harpe Nadermann et Philippe Allain-Dupré : Flûte traversière, vous présentent trois interventions de 20 minutes sur les romances françaises et écossaises. Les représentations commenceront à partir de 15h00.
Entrée libre.

Retrouvez le prochain Festival d'art lyrique "Il était une voix" le mercredi 15 août avec l'ensemble vocal Coruscant.

Abbaye Saint Jean d'Orbestier, Rue de l'Abbaye 85180 Le Château d'Olonne.
Téléphone : 02 51 23 88 12
patrimoine@ville-chateaudolonne.fr
http://www.lechateaudolonne.fr
Rédigé par Les Sables Info le Mardi 31 Juillet 2012 à 18:12 Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
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