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Plus de 30 Class40, neuf nationalités représentées, deux vainqueurs du Vendée Globe sur la ligne de départ, un parcours exigeant… la 10ᵉ édition de Les Sables – Horta – Les Sables s’annonce exceptionnelle à bien des égards. Cette course en deux temps continue de séduire les plus belles figures de la course au large comme les amateurs éclairés.
Un format unique, entre double et solitaire
Pour cette édition anniversaire, le format de course propose une alternance inédite : une première étape en double jusqu’à Horta, escale mythique au cœur des Açores, qualificative pour la Transat Café L’Or - Le Havre Normandie, puis une seconde étape en solitaire sur le chemin du retour, qualificative cette fois pour la Route du Rhum – Destination Guadeloupe. Le classement final s’établira en temps cumulé sur les deux manches.
Un tracé tactique et stratégique
Le parcours entre Les Sables d’Olonne et l’archipel portugais de Faial promet un vrai défi technique. Les coureurs devront composer avec les conditions souvent musclées du Golfe de Gascogne, le trafic maritime intense au large du Portugal et les options multiples à l’approche des îles. Une épreuve redoutée pour sa richesse tactique, qui attire à chaque édition de nombreux marins professionnels ou amateurs aguerris.
Un plateau de très haut niveau
La Class40, créée il y a tout juste 20 ans, séduit toujours autant. Cette année encore, les derniers-nés de la série seront au rendez-vous, à l’image de l’Amazigh 40 de Corentin Douguet, de l’Ekinox de Benoit Sineau ou encore du Maccaferri Futura de l’Italien Luca Rosetti, trois unitées mises à l’eau ces derniers mois. Deux anciens vainqueurs du Vendée Globe feront également partie du plateau : Michel Desjoyeaux, double vainqueur du tour du monde en solitaire et sans escale, et Vincent Riou, lauréat de l’édition 2004-2005. Nul doute que pour ces deux-là, la remontée du chenal des Sables aura une saveur particulière.
Les Sables d’Olonne, capitale du large
Ville de départ et d’arrivée de cette transat en deux actes, Les Sables d’Olonne s’affirme plus que jamais comme la capitale de la course au large en solitaire. Le port vendéen, point d’ancrage de cette épreuve depuis sa création, offrira une fois encore un accueil à la hauteur de l’événement, avec de nombreuses animations ouvertes au grand public.
Du 23 juin, date d’arrivée des premiers bateaux dans le port vendéen, au 15 juillet, jour de la remise des prix, la fête sera au rendez-vous sur les quais.
À ne pas manquer :
le concert gratuit organisé le 25 juin,
la parade des Class40 le 26 juin, en compagnie du T11
et l’ouverture d’un bar éphémère sur le village de course.
Le signal de départ le 28 juin à 12h00, avec les Olonnois et le Drakkar de Vendée
Pour cette édition anniversaire, le format de course propose une alternance inédite : une première étape en double jusqu’à Horta, escale mythique au cœur des Açores, qualificative pour la Transat Café L’Or - Le Havre Normandie, puis une seconde étape en solitaire sur le chemin du retour, qualificative cette fois pour la Route du Rhum – Destination Guadeloupe. Le classement final s’établira en temps cumulé sur les deux manches.
Un tracé tactique et stratégique
Le parcours entre Les Sables d’Olonne et l’archipel portugais de Faial promet un vrai défi technique. Les coureurs devront composer avec les conditions souvent musclées du Golfe de Gascogne, le trafic maritime intense au large du Portugal et les options multiples à l’approche des îles. Une épreuve redoutée pour sa richesse tactique, qui attire à chaque édition de nombreux marins professionnels ou amateurs aguerris.
Un plateau de très haut niveau
La Class40, créée il y a tout juste 20 ans, séduit toujours autant. Cette année encore, les derniers-nés de la série seront au rendez-vous, à l’image de l’Amazigh 40 de Corentin Douguet, de l’Ekinox de Benoit Sineau ou encore du Maccaferri Futura de l’Italien Luca Rosetti, trois unitées mises à l’eau ces derniers mois. Deux anciens vainqueurs du Vendée Globe feront également partie du plateau : Michel Desjoyeaux, double vainqueur du tour du monde en solitaire et sans escale, et Vincent Riou, lauréat de l’édition 2004-2005. Nul doute que pour ces deux-là, la remontée du chenal des Sables aura une saveur particulière.
Les Sables d’Olonne, capitale du large
Ville de départ et d’arrivée de cette transat en deux actes, Les Sables d’Olonne s’affirme plus que jamais comme la capitale de la course au large en solitaire. Le port vendéen, point d’ancrage de cette épreuve depuis sa création, offrira une fois encore un accueil à la hauteur de l’événement, avec de nombreuses animations ouvertes au grand public.
Du 23 juin, date d’arrivée des premiers bateaux dans le port vendéen, au 15 juillet, jour de la remise des prix, la fête sera au rendez-vous sur les quais.
À ne pas manquer :
le concert gratuit organisé le 25 juin,
la parade des Class40 le 26 juin, en compagnie du T11
et l’ouverture d’un bar éphémère sur le village de course.
Le signal de départ le 28 juin à 12h00, avec les Olonnois et le Drakkar de Vendée
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Les Sables d'Olonne Info
Un tour du monde sans escale et sans assistance, à 23 ans. Voilà une sacrée ligne de plus sur le CV déjà impressionnant de Violette Dorange, qui a bouclé ce 9 février à 11h39 son premier Vendée Globe en 25e position, après 90 jours, 22 heures et 37 minutes en mer. Une performance d’exception, menée avec sang-froid et maturité, pour une navigatrice qui a su montrer qu’elle avait tout d’une grande !
On peut avoir toute la vie devant soi, et un tour du monde derrière ! La benjamine de la dixième édition du Vendée Globe, plus jeune concurrente de l’histoire à en prendre le départ, a réussi son audacieux pari. Vingt-quatre ans après la deuxième place de la légendaire Ellen MacArthur, alors âgée de 24 ans, Violette Dorange a franchi la ligne d’arrivée des Sables d’Olonne en mettant près de 4 jours de moins que son illustre prédécesseure (94j04h25m à l'époque), s’offrant en outre le luxe de batailler jusque dans les derniers jours de course avec ses concurrents directs.
Car Violette Dorange a non seulement navigué, mais elle a régaté sur ce tour du monde immense, elle qui s’enthousiasmait au large de la Namibie de n’être « jamais allée aussi loin de sa vie » ! Avec une sagesse peu coutumière des gens de son âge - même si un certain Alan Roura avait déjà, en 2016, lui aussi couru à 23 ans -, la skipper de DeVenir, 18e de The Transat CIC en 2024 et 21e de la Transat Jacques Vabre en 2023, a su alterner entre les phases de bataille féroce avec ses camarades, et les moments où lever le pied, quand elle sentait sa sécurité menacée.
A deux reprises, avant le cap de Bonne Espérance et surtout avant le cap Horn, Violette choisit, toujours avec sagesse, de lever le pied. « C’est une décision difficile, mais je préfère préserver mon bateau, pas tout aller casser et finir cette course ! » explique l’ancienne figariste alors qu’elle patiente durant trois jours au large de la pointe sud-américaine, avec les expérimentés Arnaud Boissières et Eric Bellion.
« J’ai eu trop peur »
C’est cette gestion « en bon marin » qui lui aura permis de boucler sa boucle et préserver autant que possible sa fidèle monture. Mais un Vendée Globe n’en serait pas vraiment un sans « une emmerde par jour », comme dit l’adage, et la benjamine, à ce jeu, n’a pas été épargnée par le bizutage. Les tracas commencent dans l’Indien et ses conditions toniques où Violette Dorange démonte et remonte intégralement, sept heures durant, sa colonne de winch. Puis les choses se corsent au large du cap Leeuwin, franchi en 26e position dans des conditions toniques. Dans un grain à 50 nœuds, son FR0 se déchire, et l’anneau qui maintient la bastaque casse. « J’ai cru que le mât allait se briser en deux. J’ai eu énormément de chance », dit-elle, avant de connaître plus tard une importante avarie de moteur qui la prive d’une partie de son énergie.
Sans fard, la jeune navigatrice a partagé ainsi ses angoisses et ses coups durs, surtout le 19 janvier quand, au Sud du Brésil, elle doit monter au mât pour la deuxième fois par 20 nœuds de vent et 2 mètres de houle ! « Franchement, c’était un cauchemar. J’ai cru que j’allais me faire mal. Je ne le referai plus jamais de ma vie dans un tel contexte parce que j’ai eu trop peur. »
La magie des premières fois
Mais la course, heureusement, ne se résume pas à cela ! Car tout au long de sa grande boucle, c’est bien le bonheur sincère d’être en mer qui a irradié de cette jeune femme ! Du début à la fin, avec sa voix fluette et son sourire immense, la coqueluche du public s’est enthousiasmée de son quotidien, depuis l’équateur qu’elle franchit en 21e position, au nez d’un certain Jean Le Cam dont elle navigue sur l’ancien bateau, ou plus tard dans le grand Sud, sous la neige qui tombe sur le pont de son IMOCA.
Partout, c’est la magie des premières fois, à travers le regard d’une jeune femme si heureuse d’être là. Aventurière autant que régatière, mais surtout profondément à sa place. Quand, à son âge, certains font une année de césure pour aller découvrir du pays, Violette, elle, aura opté pour 90 jours autour du monde, et en revient certainement grandie. Nul doute que ce n’est pas la dernière fois qu’on la voit dans les parages…
Car Violette Dorange a non seulement navigué, mais elle a régaté sur ce tour du monde immense, elle qui s’enthousiasmait au large de la Namibie de n’être « jamais allée aussi loin de sa vie » ! Avec une sagesse peu coutumière des gens de son âge - même si un certain Alan Roura avait déjà, en 2016, lui aussi couru à 23 ans -, la skipper de DeVenir, 18e de The Transat CIC en 2024 et 21e de la Transat Jacques Vabre en 2023, a su alterner entre les phases de bataille féroce avec ses camarades, et les moments où lever le pied, quand elle sentait sa sécurité menacée.
A deux reprises, avant le cap de Bonne Espérance et surtout avant le cap Horn, Violette choisit, toujours avec sagesse, de lever le pied. « C’est une décision difficile, mais je préfère préserver mon bateau, pas tout aller casser et finir cette course ! » explique l’ancienne figariste alors qu’elle patiente durant trois jours au large de la pointe sud-américaine, avec les expérimentés Arnaud Boissières et Eric Bellion.
« J’ai eu trop peur »
C’est cette gestion « en bon marin » qui lui aura permis de boucler sa boucle et préserver autant que possible sa fidèle monture. Mais un Vendée Globe n’en serait pas vraiment un sans « une emmerde par jour », comme dit l’adage, et la benjamine, à ce jeu, n’a pas été épargnée par le bizutage. Les tracas commencent dans l’Indien et ses conditions toniques où Violette Dorange démonte et remonte intégralement, sept heures durant, sa colonne de winch. Puis les choses se corsent au large du cap Leeuwin, franchi en 26e position dans des conditions toniques. Dans un grain à 50 nœuds, son FR0 se déchire, et l’anneau qui maintient la bastaque casse. « J’ai cru que le mât allait se briser en deux. J’ai eu énormément de chance », dit-elle, avant de connaître plus tard une importante avarie de moteur qui la prive d’une partie de son énergie.
Sans fard, la jeune navigatrice a partagé ainsi ses angoisses et ses coups durs, surtout le 19 janvier quand, au Sud du Brésil, elle doit monter au mât pour la deuxième fois par 20 nœuds de vent et 2 mètres de houle ! « Franchement, c’était un cauchemar. J’ai cru que j’allais me faire mal. Je ne le referai plus jamais de ma vie dans un tel contexte parce que j’ai eu trop peur. »
La magie des premières fois
Mais la course, heureusement, ne se résume pas à cela ! Car tout au long de sa grande boucle, c’est bien le bonheur sincère d’être en mer qui a irradié de cette jeune femme ! Du début à la fin, avec sa voix fluette et son sourire immense, la coqueluche du public s’est enthousiasmée de son quotidien, depuis l’équateur qu’elle franchit en 21e position, au nez d’un certain Jean Le Cam dont elle navigue sur l’ancien bateau, ou plus tard dans le grand Sud, sous la neige qui tombe sur le pont de son IMOCA.
Partout, c’est la magie des premières fois, à travers le regard d’une jeune femme si heureuse d’être là. Aventurière autant que régatière, mais surtout profondément à sa place. Quand, à son âge, certains font une année de césure pour aller découvrir du pays, Violette, elle, aura opté pour 90 jours autour du monde, et en revient certainement grandie. Nul doute que ce n’est pas la dernière fois qu’on la voit dans les parages…
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Les Sables d'Olonne Info
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Les Sables d'Olonne Info
Des vœux et une annonce importante dans cette vidéo publiée hier soir par le maire Yannick Moreau
" Santé ! Bonheur ! Joie dans les cœurs !
Voilà mes vœux pour vous et ceux que vous aimez.
[...]
C'est la dernière fois que je vous présente mes vœux en qualité de maire des Sables d'Olonne, et président de son agglo.
À 49 ans, après 17 ans à votre service, le moment est venu pour moi de transmettre cette année les responsabilités de maire et de président de l'agglomération des Sables d'Olonne."
" Santé ! Bonheur ! Joie dans les cœurs !
Voilà mes vœux pour vous et ceux que vous aimez.
[...]
C'est la dernière fois que je vous présente mes vœux en qualité de maire des Sables d'Olonne, et président de son agglo.
À 49 ans, après 17 ans à votre service, le moment est venu pour moi de transmettre cette année les responsabilités de maire et de président de l'agglomération des Sables d'Olonne."
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Les Sables d'Olonne Info
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Les Sables d'Olonne Info
10H30 - 12H00 : Le Jour du Seigneur
Tout au long de l’été, la programmation de l’émission explore le thème « Corps et Âmes » avec une collection de 8 documentaires et des messes « à ciel ouvert », mais aussi des chroniques littéraires.
10h30 Documentaire (26’) – Au cœur de la cible, réalisé par Audrey Lasbleiz
Le palmarès de Tanguy de la Forest est impressionnant : plusieurs fois sacré champion du monde de para-tir en individuel et en équipe sur des distances de 10 mètres et 50 mètres. Pourtant à l'âge de 8 ans, ses parents découvrent qu'il est atteint d'une maladie neuromusculaire dégénérative et Tanguy perd progressivement l'usage de ses jambes. Entouré d'une famille unie, il va s'adapter, trouver des leviers de compensation, au point que ce handicap devient sa « normalité ». Aujourd'hui Tanguy est un homme accompli. Sa famille, son travail, son sport, mais aussi sa foi chevillée au corps lui ont permis au fil du temps de trouver équilibre et sérénité. Une force morale qu'il partage avec son épouse, Gaëlle, également multi-médaillée au para-tir au pistolet. Devenue hémiplégique à l'âge de 23 ans suite à un accident en montagne, elle vit autrement son handicap. Auprès de Tanguy, elle trouve un soutien et une forme d’apaisement. Inversement, Gaëlle a apporté à Tanguy le goût du challenge, qui l'a propulsé en tête du classement mondial dans sa discipline sportive. Ce film nous fait découvrir la personnalité attachante de Tanguy au cours de cette année de préparation en vue des prochains Jeux paralympiques de Paris.
11h00 Messe
Célébrée depuis le jardin de l'abbaye Saint-Jean d'Orbestier aux Sables-d’Olonne (85)
Les dix clochers de la paroisse Sainte-Marie des Sables d’Olonne, en Vendée, qui nous accueille ce dimanche, passent, de 55 000 à 300 000 résidents chaque été. C’est dans le jardin de l’abbaye Saint-Jean d’Orbestier, construite au XIe siècle, ou en l’église Notre-Dame de l’Assomption, la plus ancienne église des Sables, que nous célébrons cette dernière messe du mois d’août. La commune fête ce week-end les 80 ans de sa libération.
Prédicateur : père Vincent Cabanac, assomptionniste
Président : père Antoine Nouwavi, curé de la paroisse Sainte-Marie des Sables-d'Olonne
11h55 Série de l’été : Flammes d’espérance
Épisode n°4 (3’) : Père Xavier Ernst
Les JO vont, cet été, enflammer la France. L’occasion pour nous de faire un pas de côté pour découvrir des personnes engagées ainsi que des initiatives. Comment des chrétiens s’emparent de cet événement pour le faire fructifier ? Comment ils le vivent et lui donnent une dimension encore plus grande ? Découvrez cinq portraits d’hommes et de femmes pour qui le sport et la foi trouvent un terrain commun, un terrain d’entrainement.
Tout au long de l’été, la programmation de l’émission explore le thème « Corps et Âmes » avec une collection de 8 documentaires et des messes « à ciel ouvert », mais aussi des chroniques littéraires.
10h30 Documentaire (26’) – Au cœur de la cible, réalisé par Audrey Lasbleiz
Le palmarès de Tanguy de la Forest est impressionnant : plusieurs fois sacré champion du monde de para-tir en individuel et en équipe sur des distances de 10 mètres et 50 mètres. Pourtant à l'âge de 8 ans, ses parents découvrent qu'il est atteint d'une maladie neuromusculaire dégénérative et Tanguy perd progressivement l'usage de ses jambes. Entouré d'une famille unie, il va s'adapter, trouver des leviers de compensation, au point que ce handicap devient sa « normalité ». Aujourd'hui Tanguy est un homme accompli. Sa famille, son travail, son sport, mais aussi sa foi chevillée au corps lui ont permis au fil du temps de trouver équilibre et sérénité. Une force morale qu'il partage avec son épouse, Gaëlle, également multi-médaillée au para-tir au pistolet. Devenue hémiplégique à l'âge de 23 ans suite à un accident en montagne, elle vit autrement son handicap. Auprès de Tanguy, elle trouve un soutien et une forme d’apaisement. Inversement, Gaëlle a apporté à Tanguy le goût du challenge, qui l'a propulsé en tête du classement mondial dans sa discipline sportive. Ce film nous fait découvrir la personnalité attachante de Tanguy au cours de cette année de préparation en vue des prochains Jeux paralympiques de Paris.
11h00 Messe
Célébrée depuis le jardin de l'abbaye Saint-Jean d'Orbestier aux Sables-d’Olonne (85)
Les dix clochers de la paroisse Sainte-Marie des Sables d’Olonne, en Vendée, qui nous accueille ce dimanche, passent, de 55 000 à 300 000 résidents chaque été. C’est dans le jardin de l’abbaye Saint-Jean d’Orbestier, construite au XIe siècle, ou en l’église Notre-Dame de l’Assomption, la plus ancienne église des Sables, que nous célébrons cette dernière messe du mois d’août. La commune fête ce week-end les 80 ans de sa libération.
Prédicateur : père Vincent Cabanac, assomptionniste
Président : père Antoine Nouwavi, curé de la paroisse Sainte-Marie des Sables-d'Olonne
11h55 Série de l’été : Flammes d’espérance
Épisode n°4 (3’) : Père Xavier Ernst
Les JO vont, cet été, enflammer la France. L’occasion pour nous de faire un pas de côté pour découvrir des personnes engagées ainsi que des initiatives. Comment des chrétiens s’emparent de cet événement pour le faire fructifier ? Comment ils le vivent et lui donnent une dimension encore plus grande ? Découvrez cinq portraits d’hommes et de femmes pour qui le sport et la foi trouvent un terrain commun, un terrain d’entrainement.
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