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À 48 heures du départ du Vendée Globe 2012, Stéphane Sallé, Directeur général de Maître CoQ, a annoncé la reconduction de son partenariat avec le skipper Jérémie Beyou, pour quatre ans : objectif Vendée Globe 2016 ! Cet engagement dans la voile, initié en janvier dernier et à 100% intégré à la stratégie de communication de la marque vendéenne, s’inscrit désormais sur du long terme…
À l’heure où nombre d’entreprises doutent de l’avenir et hésitent à communiquer, la marque Maître CoQ, fidèle à sa stratégie basée sur l’innovation et l’audace, se démarque une fois encore en s’engageant sur du long terme en course au large auprès du skipper Jérémie Beyou.
Jérémie Beyou et Stephane Sallé, DG de Maître CoQ:Jérémie Beyou et Stephane Sallé, DG de Maître CoQ © Yvan Zedda Stéphane Sallé, Directeur général de Maître CoQ : « Nous allons poursuivre notre engagement dans la voile aux côtés de Jérémie Beyou jusqu’au prochain Vendée Globe 2016-2017.
La première raison à cela est une raison de cœur. Ces premiers mois de collaboration avec Jérémie et son équipe se sont extrêmement bien passés. Nous ne pouvions pas espérer une équipe plus sympathique et disponible ! Aujourd’hui, nous sommes certains d’avoir fait le bon choix.
Notre engagement dans la voile est par ailleurs un véritable projet d’entreprise qui engage notre stratégie globale, mais aussi nos salariés. Or, un projet d’entreprise doit s’inscrire dans le temps.
Et si nous pouvons annoncer aujourd’hui que nous poursuivons notre engagement aux côtés de Jérémie et de son équipe, c’est parce qu’ils nous ont donné les moyens de le faire. En effet, au démarrage de notre partenariat, ils ont consacré beaucoup de temps aux visites des salariés à bord du bateau Maître CoQ (5000 visiteurs). Certains, vainqueurs d’un jeu organisé en interne, ont même eu la chance de naviguer à bord de Maître CoQ. Jérémie, de son côté, a visité tous les sites d’élevage et de production de la marque. Ces premières rencontres constituent le socle de notre partenariat. Ces liens entre nos salariés et Jérémie sont un véritable ciment qui va nous permettre de construire la suite.
L’autre objectif de ce partenariat voile est la poursuite de notre recherche de gain de notoriété de la marque . Nous étions à 60% en janvier 2012, les premières mesures sont encourageantes avec une notoriété de 69% mesurée en octobre. Notre but est de parvenir à 75% fin 2013.
2012 a été une année médiatique exceptionnelle pour nous avec des spots TV et radio, des partenariats d’émissions sur TF1… Mais la voile nous apporte aussi les dimensions d’expertise et d’innovation : des caractéristiques majeures de notre marque qui nous différencient de la concurrence.
Ce partenariat voile va donc continuer de prendre corps , sur la base de points communs très forts :
- l’implication individuelle et le travail de toute une équipe pour la réussite d’un projet commun.
- la compétition permanente : nous aussi, nous avons le potentiel pour gagner, comme Jérémie, nous prétendons à la victoire.
Ainsi, dans deux jours, avec le coup d’envoi de ce Vendée Globe 2012, la première page d’une longue histoire commune avec Jérémie va commencer à s’écrire, parce que la voile, ce n’est pas que de la compétition, c’est aussi une aventure humaine, tout comme la vie d’une entreprise. »
Jérémie Beyou, skipper Maître CoQ : « Je suis très heureux de la confiance que nous accordent Maître CoQ et tous ses copartenaires, à toute l’équipe et à moi-même. Cette belle nouvelle va me permettre de partir encore plus serein.
Quand on refait le film de ces premiers mois de partenariat on se rend compte que nous n’avons vraiment pas chômé : nous avons décidé de faire le Vendée Globe, acheté un bateau, travaillé dessus, il a été baptisé, nous avons fait des opérations de communication interne et, cet été, nous avons beaucoup navigué tout en réussissant à discuter de l’avenir !
C’est un très beau projet. Je remercie Stéphane Sallé et Patrick Bouron, Président de la Ciab qui représente les éleveurs vendéens partenaires de Maître CoQ de leur accueil et de leur écoute : cela donne une dynamique extraordinaire !
Donc voilà, on est déjà reparti avant même d’avoir commencé ce premier Vendée Globe ensemble. C’est exceptionnel et je suis bien placé pour mesurer le privilège qui m’est accordé aujourd’hui. Cette perspective m’apporte beaucoup de sérénité et permet aussi de faire des choix techniques sur du moyen terme.
Le programme du Team Maître CoQ correspond à celui de la Classe Imoca avec essentiellement des courses en solitaire et en équipage réduit. Et, en vue du Vendée Globe 2016, nous avons également programmé deux "Solitaire du Figaro" en 2014 et 2015, je ne peux pas m’en empêcher !… Et il n’y a pas mieux comme entraînement en solo.
Le choix du prochain 60 pieds Imoca Maître CoQ n’est pas encore arrêté. Nous sommes, Maître CoQ et moi, très attachés à la classe Imoca. C’est la plus intéressante qui soit techniquement mais, quelles que soient les décisions qui seront prises en terme de jauge (Open, monotypie, jauge restreinte), nous nous inscrirons dans une logique de maîtrise des coûts. Nous n’avons pas prévu de lancer la construction d’un prototype neuf par exemple. »
La Ciab (avec les Volailles fermières de Vendée, les Volailles fermières de Challans), Bellavol (nouveau copartenaire de Maître CoQ et filiale du Groupe LDC), le groupe LDC, le Syndicat des Volailles Fermières d’Auvergne et les Recycleurs Bretons (impliqués au moins jusqu’à la Transat Jacques Vabre 2013) : les actuels copartenaires de Maître CoQ poursuivent eux aussi leur engagement dans la course au large auprès de Jérémie Beyou et de son équipe.
Le programme du Team Maître CoQ
2012 : Vendée Globe
2013 : Transat Jacques Vabre
2014 : La Solitaire du Figaro et la Route du Rhum
2015 : La Solitaire du Figaro et la Transat Jacques Vabre
2016 : Vendée Globe.
Pour suivre Jérémie Beyou sur le Vendée Globe
Maître CoQ Vendée Globe : www.maitrecoq.fr/vendee-globe
Facebook : www.facebook.com/TeamMaitreCoq
Twitter : https://twitter.com/JeremieBeyou
Maître CoQ : www.maitrecoq.fr
Vendée Globe : www.vendeeglobe.org/fr
Jérémie Beyou et Stephane Sallé, DG de Maître CoQ:Jérémie Beyou et Stephane Sallé, DG de Maître CoQ © Yvan Zedda Stéphane Sallé, Directeur général de Maître CoQ : « Nous allons poursuivre notre engagement dans la voile aux côtés de Jérémie Beyou jusqu’au prochain Vendée Globe 2016-2017.
La première raison à cela est une raison de cœur. Ces premiers mois de collaboration avec Jérémie et son équipe se sont extrêmement bien passés. Nous ne pouvions pas espérer une équipe plus sympathique et disponible ! Aujourd’hui, nous sommes certains d’avoir fait le bon choix.
Notre engagement dans la voile est par ailleurs un véritable projet d’entreprise qui engage notre stratégie globale, mais aussi nos salariés. Or, un projet d’entreprise doit s’inscrire dans le temps.
Et si nous pouvons annoncer aujourd’hui que nous poursuivons notre engagement aux côtés de Jérémie et de son équipe, c’est parce qu’ils nous ont donné les moyens de le faire. En effet, au démarrage de notre partenariat, ils ont consacré beaucoup de temps aux visites des salariés à bord du bateau Maître CoQ (5000 visiteurs). Certains, vainqueurs d’un jeu organisé en interne, ont même eu la chance de naviguer à bord de Maître CoQ. Jérémie, de son côté, a visité tous les sites d’élevage et de production de la marque. Ces premières rencontres constituent le socle de notre partenariat. Ces liens entre nos salariés et Jérémie sont un véritable ciment qui va nous permettre de construire la suite.
L’autre objectif de ce partenariat voile est la poursuite de notre recherche de gain de notoriété de la marque . Nous étions à 60% en janvier 2012, les premières mesures sont encourageantes avec une notoriété de 69% mesurée en octobre. Notre but est de parvenir à 75% fin 2013.
2012 a été une année médiatique exceptionnelle pour nous avec des spots TV et radio, des partenariats d’émissions sur TF1… Mais la voile nous apporte aussi les dimensions d’expertise et d’innovation : des caractéristiques majeures de notre marque qui nous différencient de la concurrence.
Ce partenariat voile va donc continuer de prendre corps , sur la base de points communs très forts :
- l’implication individuelle et le travail de toute une équipe pour la réussite d’un projet commun.
- la compétition permanente : nous aussi, nous avons le potentiel pour gagner, comme Jérémie, nous prétendons à la victoire.
Ainsi, dans deux jours, avec le coup d’envoi de ce Vendée Globe 2012, la première page d’une longue histoire commune avec Jérémie va commencer à s’écrire, parce que la voile, ce n’est pas que de la compétition, c’est aussi une aventure humaine, tout comme la vie d’une entreprise. »
Jérémie Beyou, skipper Maître CoQ : « Je suis très heureux de la confiance que nous accordent Maître CoQ et tous ses copartenaires, à toute l’équipe et à moi-même. Cette belle nouvelle va me permettre de partir encore plus serein.
Quand on refait le film de ces premiers mois de partenariat on se rend compte que nous n’avons vraiment pas chômé : nous avons décidé de faire le Vendée Globe, acheté un bateau, travaillé dessus, il a été baptisé, nous avons fait des opérations de communication interne et, cet été, nous avons beaucoup navigué tout en réussissant à discuter de l’avenir !
C’est un très beau projet. Je remercie Stéphane Sallé et Patrick Bouron, Président de la Ciab qui représente les éleveurs vendéens partenaires de Maître CoQ de leur accueil et de leur écoute : cela donne une dynamique extraordinaire !
Donc voilà, on est déjà reparti avant même d’avoir commencé ce premier Vendée Globe ensemble. C’est exceptionnel et je suis bien placé pour mesurer le privilège qui m’est accordé aujourd’hui. Cette perspective m’apporte beaucoup de sérénité et permet aussi de faire des choix techniques sur du moyen terme.
Le programme du Team Maître CoQ correspond à celui de la Classe Imoca avec essentiellement des courses en solitaire et en équipage réduit. Et, en vue du Vendée Globe 2016, nous avons également programmé deux "Solitaire du Figaro" en 2014 et 2015, je ne peux pas m’en empêcher !… Et il n’y a pas mieux comme entraînement en solo.
Le choix du prochain 60 pieds Imoca Maître CoQ n’est pas encore arrêté. Nous sommes, Maître CoQ et moi, très attachés à la classe Imoca. C’est la plus intéressante qui soit techniquement mais, quelles que soient les décisions qui seront prises en terme de jauge (Open, monotypie, jauge restreinte), nous nous inscrirons dans une logique de maîtrise des coûts. Nous n’avons pas prévu de lancer la construction d’un prototype neuf par exemple. »
La Ciab (avec les Volailles fermières de Vendée, les Volailles fermières de Challans), Bellavol (nouveau copartenaire de Maître CoQ et filiale du Groupe LDC), le groupe LDC, le Syndicat des Volailles Fermières d’Auvergne et les Recycleurs Bretons (impliqués au moins jusqu’à la Transat Jacques Vabre 2013) : les actuels copartenaires de Maître CoQ poursuivent eux aussi leur engagement dans la course au large auprès de Jérémie Beyou et de son équipe.
Le programme du Team Maître CoQ
2012 : Vendée Globe
2013 : Transat Jacques Vabre
2014 : La Solitaire du Figaro et la Route du Rhum
2015 : La Solitaire du Figaro et la Transat Jacques Vabre
2016 : Vendée Globe.
Pour suivre Jérémie Beyou sur le Vendée Globe
Maître CoQ Vendée Globe : www.maitrecoq.fr/vendee-globe
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Twitter : https://twitter.com/JeremieBeyou
Maître CoQ : www.maitrecoq.fr
Vendée Globe : www.vendeeglobe.org/fr
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Les Sables d'Olonne
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Les Sables Info
A la veille du départ du Vendée Globe, le skipper du voilier Mirabaud s’estime mieux préparé que jamais. Heureux de prendre la mer, et de prendre le départ de son dixième tour du monde en course, il partage ses dernières impressions avant de larguer les amarres.
Vendredi 9 novembre 2012 – Alors que près d’un million de personnes ont visité le village et foulé le ponton du Vendée Globe en trois semaines, les skippers ont peu à peu pris leurs distances, ils sont « entrés dans leur bulle », selon l’expression chère à Dominique Wavre.
Resté calme et détendu durant ce séjour aux Sables d’Olonne, et malgré les nombreuses sollicitations auxquelles il a dû faire face, le skipper du voilier Mirabaud est désormais entièrement concentré sur sa course, sur l’analyse des fichiers météo et la planification du départ.
« Il y a une transition très claire », précise-t-il. « Jusqu’à il y a quelques jours, je me sentais détaché de la course, et plutôt concentré sur les aspects techniques de ma préparation. Alors que maintenant, il n’y a plus qu’une chose qui compte : la régate. Le voilier est parfaitement prêt, toute mon équipe technique a fait un travail formidable. Grâce à eux, je peux désormais sereinement me préparer en vue du départ. Je me réjouis énormément ; le Vendée Globe est une épreuve unique, et extraordinaire. C’est clairement l’aboutissement d’une carrière de marin. »
A priori, le vent devrait souffler du nord-ouest samedi, à environ 15-20 nœuds (force 4-5 Beaufort), ce qui devrait garantir un spectacle exceptionnel. Les voiliers partiront donc au près (face au vent) à destination de la Corogne, où une première dépression les attend. « Ce ne sera pas un début de course facile », précise Wavre. « Nous savons désormais que nous ne serons pas immédiatement cueillis par un coup de tabac dans le Golfe de Gascogne, mais le vent va néanmoins rapidement se renforcer. Il y aura par ailleurs des choix tactiques importants à faire. »
Antonio Palma, associé et CEO de Mirabaud, est présent aux Sables d’Olonne afin de soutenir Dominique Wavre et d’assister au départ. « J’ai énormément d’admiration pour ces marins qui s’apprêtent à faire le tour du monde sans escales, propulsés uniquement par le vent », déclare-t-il. « Au-delà de la course, ils portent un message symbolique de courage et de détermination autour du monde, et nous serons des millions à les accompagner par la pensée dans leur périple. Je souhaite de tout cœur bon vent à Dominique et à tous ses concurrents. »
Le départ de la course sera donné samedi à 13h02. Il sera retransmis en direct sur la Télévision Léman Bleu ainsi que sur France 3.
Resté calme et détendu durant ce séjour aux Sables d’Olonne, et malgré les nombreuses sollicitations auxquelles il a dû faire face, le skipper du voilier Mirabaud est désormais entièrement concentré sur sa course, sur l’analyse des fichiers météo et la planification du départ.
« Il y a une transition très claire », précise-t-il. « Jusqu’à il y a quelques jours, je me sentais détaché de la course, et plutôt concentré sur les aspects techniques de ma préparation. Alors que maintenant, il n’y a plus qu’une chose qui compte : la régate. Le voilier est parfaitement prêt, toute mon équipe technique a fait un travail formidable. Grâce à eux, je peux désormais sereinement me préparer en vue du départ. Je me réjouis énormément ; le Vendée Globe est une épreuve unique, et extraordinaire. C’est clairement l’aboutissement d’une carrière de marin. »
A priori, le vent devrait souffler du nord-ouest samedi, à environ 15-20 nœuds (force 4-5 Beaufort), ce qui devrait garantir un spectacle exceptionnel. Les voiliers partiront donc au près (face au vent) à destination de la Corogne, où une première dépression les attend. « Ce ne sera pas un début de course facile », précise Wavre. « Nous savons désormais que nous ne serons pas immédiatement cueillis par un coup de tabac dans le Golfe de Gascogne, mais le vent va néanmoins rapidement se renforcer. Il y aura par ailleurs des choix tactiques importants à faire. »
Antonio Palma, associé et CEO de Mirabaud, est présent aux Sables d’Olonne afin de soutenir Dominique Wavre et d’assister au départ. « J’ai énormément d’admiration pour ces marins qui s’apprêtent à faire le tour du monde sans escales, propulsés uniquement par le vent », déclare-t-il. « Au-delà de la course, ils portent un message symbolique de courage et de détermination autour du monde, et nous serons des millions à les accompagner par la pensée dans leur périple. Je souhaite de tout cœur bon vent à Dominique et à tous ses concurrents. »
Le départ de la course sera donné samedi à 13h02. Il sera retransmis en direct sur la Télévision Léman Bleu ainsi que sur France 3.
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Les Sables Info
A 24 heures du départ, l’appel du large se lit sur le visage de Jean-Pierre Dick. Cette dernière journée est consacrée à la météo et à la convivialité. Famille, amis et sponsors viennent saluer le skipper azuréen. Demain, c’est le jour J, le début de l’aventure avec un A, que JP attend depuis 4 ans.
Dans quel état d’esprit te trouves-tu ?
« Les choses se passent bien, il y a une ambiance extraordinaire aux Sables d’Olonne. Maintenant, il faut se concentrer sur ce début de course qui ne va pas être facile vu l’émotion que tout cela procure. J’ai mis toute mon énergie dans ma préparation du Vendée Globe. C’est une compétition de très haut niveau, mon objectif est de terminer sur le podium, le gagner serait un rêve ultime.»
Quelle est la météo prévue pour le départ ?
« Les conditions météo vont être assez musclées, il va falloir faire attention les premières heures. Nous devrions naviguer dans environ 20-25 nœuds au près. Aujourd’hui, je me concentre sur la navigation qui devient ma préoccupation majeure. Je vais faire tourner les routages cet après midi et élaborer ma stratégie. C’est un des aspects de la course qui me passionne. »
Un mot sur ce tour du monde ?
« Le Vendée Globe est une course magique. Je l’aborde avec une passion intacte. Lors de mon premier tour du monde, je vivais un rêve de gamin ; en 2008 je démontrais que je pouvais être dans le match. Aujourd’hui j’ai une maturité et une confiance supplémentaire liée à mon expérience. Je n’ai qu’une envie : partir et retrouver le bonheur d’être en mer ! »
« Les choses se passent bien, il y a une ambiance extraordinaire aux Sables d’Olonne. Maintenant, il faut se concentrer sur ce début de course qui ne va pas être facile vu l’émotion que tout cela procure. J’ai mis toute mon énergie dans ma préparation du Vendée Globe. C’est une compétition de très haut niveau, mon objectif est de terminer sur le podium, le gagner serait un rêve ultime.»
Quelle est la météo prévue pour le départ ?
« Les conditions météo vont être assez musclées, il va falloir faire attention les premières heures. Nous devrions naviguer dans environ 20-25 nœuds au près. Aujourd’hui, je me concentre sur la navigation qui devient ma préoccupation majeure. Je vais faire tourner les routages cet après midi et élaborer ma stratégie. C’est un des aspects de la course qui me passionne. »
Un mot sur ce tour du monde ?
« Le Vendée Globe est une course magique. Je l’aborde avec une passion intacte. Lors de mon premier tour du monde, je vivais un rêve de gamin ; en 2008 je démontrais que je pouvais être dans le match. Aujourd’hui j’ai une maturité et une confiance supplémentaire liée à mon expérience. Je n’ai qu’une envie : partir et retrouver le bonheur d’être en mer ! »
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Les Sables Info
Suite à la vague de naufrages qui avait sévi lors de l’édition de 1996 (et qui avait entraîné la disparition du Canadien Gerry Rouf), de nouvelles mesures de sécurité furent mises en place. Parmi elles, l’obligation pour tous les concurrents d’effectuer différents stages avant de prendre le départ de leur tour du monde.
Docteur Chauve est le médecin des 7 dernières éditions du Vendée Globe : " Cette année j'ai la chance d'avoir un partenaire qui est AG2R La Mondiale. C'est pour moi une aventure qui continue. Elle a beaucoup évolué depuis 1989."
Le Vendée Globe reste une épreuve vraiment à part. Hommes et femmes courent dans la même catégorie. L'âge n'est pas une limite : " Cette année, la moyenne d'âge des compétiteurs est de 43 ans. On est en compétition jour et nuit pendant 3 mois. Il faut savoir intégrer sa récupération à sa performance. La gestion du sommeil est fondamentale pour le skipper. Des problèmes de vigilances peuvent conduire à des baisses de performance, voir pire" explique le docteur. "Les skippers sont entraînés à différents types de sommeil : la phase d'1h30, celle de vingt minutes quand les conditions sont très difficiles et parfois celle de quelques secondes appelée sommeil flash. Globalement avec environ 5h30 de repos, ils ne sont pas en dette de sommeil. Pour dormir dans de meilleures conditions, on a travaillé sur des casques antibruit. " La nutrition reste aussi un élément important : " Avoir un repas un peu plus élaboré que du lyophilisé, c'est important pour le moral et ça permet de tenir le coup. Certains skippers font un repas du dimanche."
Seuls à bord, les skippers doivent se gérer en totale autonomie ; ils doivent savoir tout faire : " C'est ce qui fait l'originalité de la course. Ils sont météorologues, mécaniciens, électriciens-électroniciens, informaticiens. Sur un plan médical, c'est à eux de gérer leur cycle de sommeil. Le Vendée Globe est la seule course où il y a une telle curiosité du milieu médical pour ces sportifs. " Aujourd'hui on leur attribue d'autres compétences : " Ils sont scénaristes, metteurs en scène, caméramen et acteurs. Je ne connais pas de sport qui demande une telle mixité de compétences à une même personne. "
Ce qui inquiète le docteur : " Vu l'évolution actuelle sur le poids des bateaux, j'ai peur des problèmes de chute car il n'y a plus rien pour se tenir à l'intérieur. Comment vont se déplacer les skippers ? Il va falloir être vigilant là-dessus sinon on court droit aux chocs et aux contusions."
Le Vendée Globe reste une épreuve vraiment à part. Hommes et femmes courent dans la même catégorie. L'âge n'est pas une limite : " Cette année, la moyenne d'âge des compétiteurs est de 43 ans. On est en compétition jour et nuit pendant 3 mois. Il faut savoir intégrer sa récupération à sa performance. La gestion du sommeil est fondamentale pour le skipper. Des problèmes de vigilances peuvent conduire à des baisses de performance, voir pire" explique le docteur. "Les skippers sont entraînés à différents types de sommeil : la phase d'1h30, celle de vingt minutes quand les conditions sont très difficiles et parfois celle de quelques secondes appelée sommeil flash. Globalement avec environ 5h30 de repos, ils ne sont pas en dette de sommeil. Pour dormir dans de meilleures conditions, on a travaillé sur des casques antibruit. " La nutrition reste aussi un élément important : " Avoir un repas un peu plus élaboré que du lyophilisé, c'est important pour le moral et ça permet de tenir le coup. Certains skippers font un repas du dimanche."
Seuls à bord, les skippers doivent se gérer en totale autonomie ; ils doivent savoir tout faire : " C'est ce qui fait l'originalité de la course. Ils sont météorologues, mécaniciens, électriciens-électroniciens, informaticiens. Sur un plan médical, c'est à eux de gérer leur cycle de sommeil. Le Vendée Globe est la seule course où il y a une telle curiosité du milieu médical pour ces sportifs. " Aujourd'hui on leur attribue d'autres compétences : " Ils sont scénaristes, metteurs en scène, caméramen et acteurs. Je ne connais pas de sport qui demande une telle mixité de compétences à une même personne. "
Ce qui inquiète le docteur : " Vu l'évolution actuelle sur le poids des bateaux, j'ai peur des problèmes de chute car il n'y a plus rien pour se tenir à l'intérieur. Comment vont se déplacer les skippers ? Il va falloir être vigilant là-dessus sinon on court droit aux chocs et aux contusions."
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Les Sables Info
Le grand jour arrive. Ce samedi à 13h02, Marc Guillemot élancera Safran à l'assaut du tour du monde. La météo du départ est plutôt bonne , mais un premier écueil devrait survenir dès le cap Finisterre avec la négociation d'une dorsale anticyclonique, donc des vents faibles. Marc étudie cela de près avec Pascal Bidégorry.
Si le routage est interdit pendant la course, préparer la météo du départ en croisant les avis est autorisé… voire fortement conseillé. C'est ce que fait Marc Guillemot avec Pascal Bidégorry. Depuis quelques jours, les deux marins réactualisent sans cesse leurs informations et l'interprétation de leurs cartes et fichiers de vent. Dans les entrailles de Safran, ils confrontent leurs points de vue. A quoi doit-on s'attendre demain alors ?
15 nœuds de vent au près
« Les navigateurs dorment mieux qu’il y a quatre jours » plaisante Pascal Bidégorry en guise d'introduction, « Car en début de semaine nous pouvions craindre une grosse tempête sur le départ. Mais finalement, la dépression est bien moins creuse et plus nord que prévu. Autrement dit, les conditions ne seront pas dantesques. A première vue, il n'y a pas de gros risque de casse, comme en 2008. » Avec le passage d'un front, « Les bateaux seront au près tribord amures, dans un vent d'une quinzaine de nœuds. Ils pourront vite dégolfer (quitter le golfe de Gascogne, ndlr) au reaching, voire au vent de travers en approche du cap Finisterre ».
Premier choix stratégique au cap Finisterre
Mais c'est là, à la pointe nord-ouest de l'Espagne, que « Comme d'habitude il y aura un virage à négocier, cette fois à l'approche d'une dorsale ». Pour traverser cette zone de vents faibles, les navigateurs auront deux choix : ou bien insister vers l'ouest à la recherche des alizés, ou bien - a contrario - tenter de glisser le long des côtes du Portugal. Potentiellement, il peut donc y avoir une « séparation de trafic » entre ces deux options entre dimanche soir et lundi matin. « Mais prudence , précise Pascal Bidégorry, les différents modèles météo ne sont pas encore tout à fait concordants. Notre travail avec Marc est d'imaginer les schémas possibles, mais ce sera à lui d'affiner sur l'eau ».
Marc confirme : « C'est très intéressant de travailler avec Pascal sur les différentes routes en fonction de sources d'information météo différentes, à savoir les fichiers américains et européens. Ceux-ci sont assez convergents jusqu'au cap Finisterre, mais ensuite il y a des variantes. Je sais aussi qu'il faudra être attentif aux petites variations de vent. Il me faudra encore faire très attention à tout le trafic maritime que nous allons rencontrer sur ce début de course. » Nous n'en saurons pas plus (concurrence oblige - c'est normal) sur le premier choix stratégique à faire.
Veillée d'armes en famille
Reste qu'après trois semaines de nombreuses sollicitations médiatiques et techniques, Marc Guillemot va « fermer les écoutilles » vers 16h ce vendredi après-midi. Le grand départ autour du monde est pour demain, pour près de trois mois de mer en solitaire. « Alors, pour la dernière soirée à terre, je veux me retrouver tranquillement en famille, téléphone portable coupé ».
Safran quittera le Ponton du Vendée Globe à 9h42 pour la mythique remontée du chenal, devant la très impressionnante foule des Sables d'Olonne. A 12h54, la procédure (compte à rebours de 8 minutes) sera lancée. A 13h02, retentira le coup de canon du top départ. Deux heures plus tard, les derniers bateaux suiveurs auront quitté la flotte et les marins seront seuls face à leur destin. Place à la course !
Suivez @SAFRAN sur Twitter.
15 nœuds de vent au près
« Les navigateurs dorment mieux qu’il y a quatre jours » plaisante Pascal Bidégorry en guise d'introduction, « Car en début de semaine nous pouvions craindre une grosse tempête sur le départ. Mais finalement, la dépression est bien moins creuse et plus nord que prévu. Autrement dit, les conditions ne seront pas dantesques. A première vue, il n'y a pas de gros risque de casse, comme en 2008. » Avec le passage d'un front, « Les bateaux seront au près tribord amures, dans un vent d'une quinzaine de nœuds. Ils pourront vite dégolfer (quitter le golfe de Gascogne, ndlr) au reaching, voire au vent de travers en approche du cap Finisterre ».
Premier choix stratégique au cap Finisterre
Mais c'est là, à la pointe nord-ouest de l'Espagne, que « Comme d'habitude il y aura un virage à négocier, cette fois à l'approche d'une dorsale ». Pour traverser cette zone de vents faibles, les navigateurs auront deux choix : ou bien insister vers l'ouest à la recherche des alizés, ou bien - a contrario - tenter de glisser le long des côtes du Portugal. Potentiellement, il peut donc y avoir une « séparation de trafic » entre ces deux options entre dimanche soir et lundi matin. « Mais prudence , précise Pascal Bidégorry, les différents modèles météo ne sont pas encore tout à fait concordants. Notre travail avec Marc est d'imaginer les schémas possibles, mais ce sera à lui d'affiner sur l'eau ».
Marc confirme : « C'est très intéressant de travailler avec Pascal sur les différentes routes en fonction de sources d'information météo différentes, à savoir les fichiers américains et européens. Ceux-ci sont assez convergents jusqu'au cap Finisterre, mais ensuite il y a des variantes. Je sais aussi qu'il faudra être attentif aux petites variations de vent. Il me faudra encore faire très attention à tout le trafic maritime que nous allons rencontrer sur ce début de course. » Nous n'en saurons pas plus (concurrence oblige - c'est normal) sur le premier choix stratégique à faire.
Veillée d'armes en famille
Reste qu'après trois semaines de nombreuses sollicitations médiatiques et techniques, Marc Guillemot va « fermer les écoutilles » vers 16h ce vendredi après-midi. Le grand départ autour du monde est pour demain, pour près de trois mois de mer en solitaire. « Alors, pour la dernière soirée à terre, je veux me retrouver tranquillement en famille, téléphone portable coupé ».
Safran quittera le Ponton du Vendée Globe à 9h42 pour la mythique remontée du chenal, devant la très impressionnante foule des Sables d'Olonne. A 12h54, la procédure (compte à rebours de 8 minutes) sera lancée. A 13h02, retentira le coup de canon du top départ. Deux heures plus tard, les derniers bateaux suiveurs auront quitté la flotte et les marins seront seuls face à leur destin. Place à la course !
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Les Sables d'Olonne Info
Moins de 24 heures. Le compte à rebours est désormais lancé pour Bertrand de Broc et les 19 autres acteurs du Vendée Globe. Après trois semaines à terre marquées par la très forte mobilisation du public, le skipper de Votre Nom Autour du Monde avec EDM Projets ne boude pas son plaisir de partager ces derniers instants de terrien avec ses proches et tous ceux qui ont cru en son projet comptant parmi les coups de cœur de cette 7ème édition. Après s’être volontiers laissé porter par la foule, il peut compter sur sa solide expérience de navigateur pour ne pas manquer son rendez-vous avec la houle. C’est demain, à 13h02 précises, qu’il passera en mode marin solitaire, paré à faire le tour de la planète mer de la plus belle manière.
« On est désormais à quelques heures du départ, et difficile de ne pas reconnaître que la tension et la pression montent crescendo. Je m’efforce tant bien que mal de rester détendu pour mieux me concentrer et surtout ne rien oublier… Comme une paire de couverts qui m’avait cruellement fait défaut lors d’une précédente édition ! » se plaît à raconter Bertrand dont le regard tourné vers l’océan laisse deviner que s’il garde les pieds sur terre, sa tête, elle, est déjà un peu en mer.
Chenal d’émotions et magie du Vendée Globe
Et le skipper cornouaillais d’ajouter : « il sera très important de se mettre tout de suite dans le rythme de la course. J’ai confiance dans le bateau, il est compétitif, et doit me permettre de faire un joli tour. Mais avant les quelques cent jours de mer qui m’attendent, je compte bien profiter du passage du chenal qui sera très fort en émotions, c’est un moment unique qu’on prépare avec toute l’équipe depuis neuf mois. Pour moi, et tous ceux qui ont cru en ce projet, ce départ, c’est une première victoire. Il faudra le vivre comme tel pour le partager avec le public toujours aussi émerveillé et sans qui la magie du Vendée Globe n’existerait pas.»
Sur le ponton désormais fermé au public pour laisser les équipes techniques faire leur travail auprès des bateaux, l’air se charge de solennité. A bord du monocoque blanc aux étoiles et aux milliers de noms, Arnaud, Bertrand et Jacques, les trois préparateurs, vérifient que l’électronique et les instruments de bord fonctionnent, et que tout est en place à l’intérieur. Tout l’avitaillement a été fait, il ne reste plus que la panoplie de cirés à embarquer. De son côté Bertrand répond aux dernières sollicitations médiatiques avec la disponibilité dont il fait preuve depuis qu’il a relancé la machine d’un projet familial, avec l’élan du partage pour moteur. Une chose est sûre, après deux départs qui se sont soldés par des abandons alors qu’il pointait aux avant-postes de la course, l’envie farouche de boucler la grande boucle lui a déjà donné l’énergie nécessaire pour réactiver la flamme de cette troisième participation. Gageons qu’elle lui donnera des ailes pour mener Votre Nom Autour du Monde avec EDM Projets jusqu’au bout sur toutes les houles du globe.
René Camart, directeur d’EDM Projets : « Je suis très content d’avoir été embarqué dans cette aventure qui place EDM Projets armateur d’un côté, et sponsor de l’autre. Ce projet, qui repose sur l’idée très simple d’emmener rêver les gens autour du globe est atypique, il véhicule des valeurs et une image qui nous correspondent bien à notre ETI (entreprise de taille intermédiaire). D’abord parce que nous menons des projets architecturaux et de décoration partout dans le monde. Ensuite, parce qu’il véhicule le goût de l’effort, et la quête de l’excellence. Traverser tous les océans de la planète exige, comme dans notre métier, de résoudre des problèmes au jour le jour avec beaucoup de conviction et de combativité. »
Patricia Brault, dernière souscriptrice, responsable de la logistique à terre pour Marc Guillemot : « Bertrand, qui compte parmi mes amis, a porté un projet très ambitieux vu qu’il ne partait de rien pour boucler son budget. Je suis très admirative de tout ce qu’il a fait pour être au départ de ce Vendée Globe. De tout cœur, je lui souhaite d’arriver au bout et de revenir avec plein d’images. »
Sébastien Dornic, premier souscripteur : « Je connais Bertrand depuis de longue date, c’est un ami et voisin de mes parents. J’ai eu la chance, quand j’avais dix ans, de vivre le départ de Votre Nom Autour du Monde en 1996. C’est amusant, et je suis un peu fier aussi, d’avoir été le premier à apporter ma contribution, et j’ai essayé du mieux que j’ai pu d’encourager mon entourage à me suivre. De le voir ici, aux Sables d’Olonne, cela me fait déjà rêver. Comptez sur moi pour être à son arrivée ! »
Chenal d’émotions et magie du Vendée Globe
Et le skipper cornouaillais d’ajouter : « il sera très important de se mettre tout de suite dans le rythme de la course. J’ai confiance dans le bateau, il est compétitif, et doit me permettre de faire un joli tour. Mais avant les quelques cent jours de mer qui m’attendent, je compte bien profiter du passage du chenal qui sera très fort en émotions, c’est un moment unique qu’on prépare avec toute l’équipe depuis neuf mois. Pour moi, et tous ceux qui ont cru en ce projet, ce départ, c’est une première victoire. Il faudra le vivre comme tel pour le partager avec le public toujours aussi émerveillé et sans qui la magie du Vendée Globe n’existerait pas.»
Sur le ponton désormais fermé au public pour laisser les équipes techniques faire leur travail auprès des bateaux, l’air se charge de solennité. A bord du monocoque blanc aux étoiles et aux milliers de noms, Arnaud, Bertrand et Jacques, les trois préparateurs, vérifient que l’électronique et les instruments de bord fonctionnent, et que tout est en place à l’intérieur. Tout l’avitaillement a été fait, il ne reste plus que la panoplie de cirés à embarquer. De son côté Bertrand répond aux dernières sollicitations médiatiques avec la disponibilité dont il fait preuve depuis qu’il a relancé la machine d’un projet familial, avec l’élan du partage pour moteur. Une chose est sûre, après deux départs qui se sont soldés par des abandons alors qu’il pointait aux avant-postes de la course, l’envie farouche de boucler la grande boucle lui a déjà donné l’énergie nécessaire pour réactiver la flamme de cette troisième participation. Gageons qu’elle lui donnera des ailes pour mener Votre Nom Autour du Monde avec EDM Projets jusqu’au bout sur toutes les houles du globe.
René Camart, directeur d’EDM Projets : « Je suis très content d’avoir été embarqué dans cette aventure qui place EDM Projets armateur d’un côté, et sponsor de l’autre. Ce projet, qui repose sur l’idée très simple d’emmener rêver les gens autour du globe est atypique, il véhicule des valeurs et une image qui nous correspondent bien à notre ETI (entreprise de taille intermédiaire). D’abord parce que nous menons des projets architecturaux et de décoration partout dans le monde. Ensuite, parce qu’il véhicule le goût de l’effort, et la quête de l’excellence. Traverser tous les océans de la planète exige, comme dans notre métier, de résoudre des problèmes au jour le jour avec beaucoup de conviction et de combativité. »
Patricia Brault, dernière souscriptrice, responsable de la logistique à terre pour Marc Guillemot : « Bertrand, qui compte parmi mes amis, a porté un projet très ambitieux vu qu’il ne partait de rien pour boucler son budget. Je suis très admirative de tout ce qu’il a fait pour être au départ de ce Vendée Globe. De tout cœur, je lui souhaite d’arriver au bout et de revenir avec plein d’images. »
Sébastien Dornic, premier souscripteur : « Je connais Bertrand depuis de longue date, c’est un ami et voisin de mes parents. J’ai eu la chance, quand j’avais dix ans, de vivre le départ de Votre Nom Autour du Monde en 1996. C’est amusant, et je suis un peu fier aussi, d’avoir été le premier à apporter ma contribution, et j’ai essayé du mieux que j’ai pu d’encourager mon entourage à me suivre. De le voir ici, aux Sables d’Olonne, cela me fait déjà rêver. Comptez sur moi pour être à son arrivée ! »
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Les Sables Info
À moins de 24 heures du départ du Vendée Globe 2012, c’est un Jean Le Cam détendu qui se confie avant de retrouver son équipe technique pour un dernier point à bord de SynerCiel. Confidences d’un skipper qui attend sans appréhension ni stress le départ qui sera donné demain à 13h02.
Comment se passe cette dernière journée avant le départ ?
« Les derniers jours avant un départ autour du monde sont toujours des moments particuliers et souvent exceptionnels. Je ne sais pas si je les aime ou pas, mais ce sont des moments uniques et géniaux. Ça fait parti de l’aventure et ces derniers jours ont une saveur à part. Je n’essaye pas d’imaginer le départ. Il arrivera bien assez tôt mais je sais que les moments les plus forts sont dans les dernières minutes quand les toutes dernières personnes quittent le bord. »
N’y-a-t’il pas trop de pression ?
« Non. C’est mon troisième départ de Vendée Globe donc je commence à être habitué. Je me repose beaucoup sur mon équipe qui gère mon agenda et fait en sorte de me réserver un maximum de temps avec mes amis et mes proches. En revanche, c’est vrai qu’il y a beaucoup plus de sollicitations des médias et du public que les autres années et pour les petits jeunes pour qui c’est leur première grande course, cela ne doit pas être simple à gérer. Mais il faut bien une première fois. »
Quelle serait ta journée idéale avant le départ si tu pouvais la choisir de A à Z ?
« Si je n’avais pas tous les briefings, les sollicitations médiatiques, je pense que je m’ennuierais. Avoir des journées chargées avant le départ, ça occupe et ça évite de trop penser. Par exemple, je ne pense pas que je pourrais aller faire un golf car je n’arriverai pas à être dedans. Forcément, je consacrerai un peu de temps à regarder la météo mais je n’y passe pas non plus trop de temps.
Comment prévois-tu te passer ta dernière soirée à terre ?
« Simplement. Je ne vais pas faire ma poule en me couchant à 20h. Je ne veux pas me coucher trop tôt car après je vais faire la crêpe dans mon lit sans réussir à dormir. »
Info : partenaire de dernière minute
C’est à quelques jours du départ qu’un tout nouveau partenaire a rejoint le projet SynerCiel. Le « traiteur intraitable » Pierre Martinet embraque dans l’aventure autour du monde avec Jean Le Cam à l’occasion du lancement de sa nouvelle marque Green Tea. Pour info, Jean adore !
Pour suivre l’actualité du projet www.jeanlecam.fr
« Les derniers jours avant un départ autour du monde sont toujours des moments particuliers et souvent exceptionnels. Je ne sais pas si je les aime ou pas, mais ce sont des moments uniques et géniaux. Ça fait parti de l’aventure et ces derniers jours ont une saveur à part. Je n’essaye pas d’imaginer le départ. Il arrivera bien assez tôt mais je sais que les moments les plus forts sont dans les dernières minutes quand les toutes dernières personnes quittent le bord. »
N’y-a-t’il pas trop de pression ?
« Non. C’est mon troisième départ de Vendée Globe donc je commence à être habitué. Je me repose beaucoup sur mon équipe qui gère mon agenda et fait en sorte de me réserver un maximum de temps avec mes amis et mes proches. En revanche, c’est vrai qu’il y a beaucoup plus de sollicitations des médias et du public que les autres années et pour les petits jeunes pour qui c’est leur première grande course, cela ne doit pas être simple à gérer. Mais il faut bien une première fois. »
Quelle serait ta journée idéale avant le départ si tu pouvais la choisir de A à Z ?
« Si je n’avais pas tous les briefings, les sollicitations médiatiques, je pense que je m’ennuierais. Avoir des journées chargées avant le départ, ça occupe et ça évite de trop penser. Par exemple, je ne pense pas que je pourrais aller faire un golf car je n’arriverai pas à être dedans. Forcément, je consacrerai un peu de temps à regarder la météo mais je n’y passe pas non plus trop de temps.
Comment prévois-tu te passer ta dernière soirée à terre ?
« Simplement. Je ne vais pas faire ma poule en me couchant à 20h. Je ne veux pas me coucher trop tôt car après je vais faire la crêpe dans mon lit sans réussir à dormir. »
Info : partenaire de dernière minute
C’est à quelques jours du départ qu’un tout nouveau partenaire a rejoint le projet SynerCiel. Le « traiteur intraitable » Pierre Martinet embraque dans l’aventure autour du monde avec Jean Le Cam à l’occasion du lancement de sa nouvelle marque Green Tea. Pour info, Jean adore !
Pour suivre l’actualité du projet www.jeanlecam.fr
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