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Le Pôle Equestre Vendéen inauguré le vendredi 12 juillet 2013 est la première étape du Projet de Parc de Loisirs imaginé par la commune de Sainte-Foy.
L'inauguration du site s'est déroulée vendredi soir en présence du Maire de Sainte-Foy Jean Paul Dubreuil, Bernard Schmelz, Préfet de la Vendée, Bruno Retailleau, Président du Conseil Général et Jacques Auxiette, Président de la Région.
Le Parc s'étend sur 37 hectares à proximité du centre bourg. "Il s'agit de créer une activité économique sur la commune et d'offrir aux habitants un espace de promenade, de loisirs et d'activités sportives exceptionnel", explique Jean Paul Dubreuil. "Autour d'un paysage naturel boisé et traversé par un cours d'eau "Le Choseau" , un plan d''eau de 2,8 hectares a été créé pour compléter l'attraction du site".
"A 10 km des Sables d'Olonne, Sainte-Foy, qui ne possédait pas de structure d'accueil de tourisme, se verra doté d'un Parc Résidentiel de Loisirs de 120 chalets, susceptible d'accueillir toute l'année des touristes ou des sportifs."
Un éco-quartier également situé au bord du plan d'eau accueillera 110 maisons, à proximité du Pôle Equestre. Le volet équestre du Parc s'organisera autour de deux structures : le Club Hippique Sablais qui transfèrera, au 1° septembre 2014, ses activités aujourd'hui situées à la Malbrande, commune de Talmont.
Le Pôle Equestre Vendéen, construit par la communauté de Communes Auzance et Vertonne et exploité par la SAEM : pôle Equestre Vendéen au capital de 100 000 euros constituée par 4 collectivités* et 9 entreprises privées* ainsi que des personnalités de la filière cheval*.
*Commune de Sainte-Foy, Communauté de communes Auzance et Vertonne, Communauté de communes des Olonnes, Conseil Général de la Vendée. La part des actionnaires privés représente 49% et celle du public 51%.
*Atlantic Média, Bodard Construction Modulaire, Merceron TP, Sovetours, PRB,SODEBO,Crédit Mutuel Océan, Piveteau Bois,Groupe Dubreuil.
*Jean-Maurice Bonneau,Vincent Guilloteau, Eric Vigeanel, Patrick Jullien, Patrick Michaud, ASSELVEN, CDE Vendée, Club Hippique Sablais, Associaition la Fermillière.
Pôle Equestre Vendéen : La Jeannière 85100 Sainte Foy. Téléphone 02 51 96 06 78.
www.poleequestrevendeen.com
Le Parc s'étend sur 37 hectares à proximité du centre bourg. "Il s'agit de créer une activité économique sur la commune et d'offrir aux habitants un espace de promenade, de loisirs et d'activités sportives exceptionnel", explique Jean Paul Dubreuil. "Autour d'un paysage naturel boisé et traversé par un cours d'eau "Le Choseau" , un plan d''eau de 2,8 hectares a été créé pour compléter l'attraction du site".
"A 10 km des Sables d'Olonne, Sainte-Foy, qui ne possédait pas de structure d'accueil de tourisme, se verra doté d'un Parc Résidentiel de Loisirs de 120 chalets, susceptible d'accueillir toute l'année des touristes ou des sportifs."
Un éco-quartier également situé au bord du plan d'eau accueillera 110 maisons, à proximité du Pôle Equestre. Le volet équestre du Parc s'organisera autour de deux structures : le Club Hippique Sablais qui transfèrera, au 1° septembre 2014, ses activités aujourd'hui situées à la Malbrande, commune de Talmont.
Le Pôle Equestre Vendéen, construit par la communauté de Communes Auzance et Vertonne et exploité par la SAEM : pôle Equestre Vendéen au capital de 100 000 euros constituée par 4 collectivités* et 9 entreprises privées* ainsi que des personnalités de la filière cheval*.
*Commune de Sainte-Foy, Communauté de communes Auzance et Vertonne, Communauté de communes des Olonnes, Conseil Général de la Vendée. La part des actionnaires privés représente 49% et celle du public 51%.
*Atlantic Média, Bodard Construction Modulaire, Merceron TP, Sovetours, PRB,SODEBO,Crédit Mutuel Océan, Piveteau Bois,Groupe Dubreuil.
*Jean-Maurice Bonneau,Vincent Guilloteau, Eric Vigeanel, Patrick Jullien, Patrick Michaud, ASSELVEN, CDE Vendée, Club Hippique Sablais, Associaition la Fermillière.
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Branle bas de combat à l’hôpital. La journée sera rude pour le service ! Le Dr Pierre Jouffroy est chargé de prononcer le discours de clôture du colloque sur la microchirurgie. Trois cents médecins attendent ses conclusions. Mais sa femme, Hélène, n’a pas de monnaie pour son parking, ses collègues Hubert et Luc préparent le Noël des enfants de l’hôpital, le Directeur veut obtenir des subventions, l’infirmière chef est débordée. Et voici que débarque Sophie, avec un jeune homme de dix-huit ans à la recherche de son géniteur.
Auteur : Ray Cooney,
Mise en scène : Collégiale,
Artistes : La troupe amateur de Chavagnes en Paillers.
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Il a franchi la ligne à 12h38mn28s (Temps Universel). Son temps de course est de 5j 17h 36mn 28s. Sa moyenne sur le parcours est de 9,24 noeuds
C’est en milieu de matinée (heure locale) que Sébastien Rogues et Armel Tripon ont franchi la ligne d’arrivée après une longue attente sans vent devant le port d’Horta. Détendus, heureux d’en avoir fini avec la longue période de pétole, les deux navigateurs affichaient une évidente complicité qui fut sûrement d’une grande part dans leur succès. Interview de Sébastien Rogues à l’arrivée au port d’Horta.
" On a réussi à se rapprocher de Sao Jorge avec un peu d’air. Là, on a empanné et on est parti par devant. Sur cette course, c’était des conditions de rêve : du portant à n’en plus pouvoir, du vent et une belle bagarre au début, c’était vraiment intéressant. On a eu un passage un peu sportif au cap Finisterre, on est resté prudent, l’objectif était de ne pas casser de matériel. C’est bien de gagner une première étape, mais on en a une autre derrière.
On a beaucoup de choses en test sur le bateau. On essaye d’innover. L’enrouleur de spi fait partie des innovations. Avec Armel, cela était la bonne humeur du début à la fin, c’est un mec exceptionnel. Un de ces quatre, on va se programmer un Mini-Fastnet en semble, histoire de revenir à nos premières amours. Il faut en profiter car Armel commence à ne plus être tout jeune (rires) ». C’est à cet instant que Sébastien Rogues est malencontreusement tombé à l’eau"
" On a réussi à se rapprocher de Sao Jorge avec un peu d’air. Là, on a empanné et on est parti par devant. Sur cette course, c’était des conditions de rêve : du portant à n’en plus pouvoir, du vent et une belle bagarre au début, c’était vraiment intéressant. On a eu un passage un peu sportif au cap Finisterre, on est resté prudent, l’objectif était de ne pas casser de matériel. C’est bien de gagner une première étape, mais on en a une autre derrière.
On a beaucoup de choses en test sur le bateau. On essaye d’innover. L’enrouleur de spi fait partie des innovations. Avec Armel, cela était la bonne humeur du début à la fin, c’est un mec exceptionnel. Un de ces quatre, on va se programmer un Mini-Fastnet en semble, histoire de revenir à nos premières amours. Il faut en profiter car Armel commence à ne plus être tout jeune (rires) ». C’est à cet instant que Sébastien Rogues est malencontreusement tombé à l’eau"
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On leur avait promis la pétole, mais jusqu’ici la flotte continue d’avancer à un bon rythme vers les Açores. En tête de flotte c’est toujours aussi serré entre GDF SUEZ et Mare et la lutte pour la troisième place est tout aussi âpre entre Eärwen et Campagne de France. Derrière ce quatuor, c’est tout un bataillon qui se présente pour se disputer les charmes de ce qu’on considère souvent la dernière des places d’honneur. Les premiers sont attendus demain dans la matinée.
On leur avait promis un anticyclone et des calmes à négocier et les voilà sous un léger crachin en train de continuer à progresser gentiment mais régulièrement vers les Açores. L’anticyclone a fait place à une sorte de gigantesque marais barométrique, mais sous les nuages, le vent continue de souffler. Certes, ce n’est pas les grandes chevauchées emphatiques, mais toute la flotte avance à près de 9-10 nœuds vers la ligne d’arrivée. Il reste encore la nuit prochaine à négocier et ce ne sera sûrement pas le plus facile. Il va falloir négocier les risées dans une obscurité complète du fait de l’absence de lune, éviter les zones de calmes aux abords des reliefs, rester maître de ses nerfs. La faiblesse des écarts entre les concurrents autorise tous les espoirs des uns et génère toutes les angoisses des autres.
Divergences radicales
En tête, il semble bien que les deux leaders aient choisi de se marquer. Pour chacun des deux protagonistes, le plus important est, au delà du plaisir de gagner la manche, dans le cas contraire de ne pas perdre trop de temps en vue de l’étape retour. Les deux leaders se sont neutralisés sur l’aller, plutôt que de tenter un coup de poker qui peut tourner au fiasco, il paraît préférable de limiter les écarts. Il reste que la nuit tous les chats sont gris et il se peut qu’un des deux candidats à la victoire s’échappe à la faveur d’une risée.
Entre Eärwen et Campagne de France, les conclusions de l’explication risquent d’être autrement plus tranchées. Catherine Pourre et Goulven Royer ont infléchi leur route vers le sud et semblent vouloir contourner Pico par le sud, voire tenter le passage autrement plus risqué entre les îles de Pico et Sao George. Halvard Mabire et Miranda Merron ont préféré suivre la voie classique en contournant les îles de Terceira et Sao George par le nord. Plus question de marquage, chacun joue crânement sa chance au risque de tout perdre… ou de tout gagner.
Peloton massif et gruppetto
Derrière la bande des quatre, c’est l’incertitude. Red, Groupe Picoty, Partouche, Phoenix Europe Carac peuvent encore prétendre à cette fameuse 5e place. Mais ils ne sont pas à l’abri non plus d’un retour de Solidaires en Peloton, Mr Bricolage, BET 1128, voire Marie-Galante ou Momentum Ocean Racing.
En revanche, ce sera plus compliqué pour Deltacalor, Kogane, La Belle Equipe, Ecoelec ou Croix du Sud. A bord de la Belle Equipe comme d’Ecoelec, on navigue sous-toilé avec le spi enroulé autour de l’étai, une situation parfaitement inconfortable et particulièrement handicapante pour les derniers bords. En queue de flotte, tous ces équipages ont eu leur lot de déconvenues et n’ont plus qu’un objectif : parvenir à rallier Horta tout en navigant à leur rythme. Mais le petit temps est rarement bon prince. L’équipage de Croix du Sud, avec 320 milles de retard sur la tête de flotte, risque de voir son escale açorienne réduite à peau de chagrin. Pour Michele Zwagerman et Patrick Conway, venus d’Australie pour courir, la visite de Horta pourrait se résumer aux pontons de la marina.
Ils ont dit :
Jean-Christophe Caso (Groupe Picoty)
« On a pris un bon bord de sanglier toute la nuit. A priori, ça n’a pas trop mal payé. Débouler comme ça par nuit noire, c’était chaud. On est passé sous petit spi depuis pas très longtemps, mais on a toujours les safrans qui chantent. On se repose plutôt bien. On a trouvé un rythme plutôt pas mal, du coup, on est plutôt frais. On sait que ce qui arrive devant, ça va être très difficile, il va falloir être très lucide. Il y a de bonnes chances que ça tamponne pour ceux de devant. L’objectif c’est de revenir sur Red. »
Jörg Riechers (Mare)
« On est au coude à coude avec Sébastien Rogues, alias Frodon le Hobbit. Comment je vois l’arrivée : ben nous en premier, Sébastien derrière et en troisième peut-être Eärwen. En même temps, Halvard (Mabire) a l’habitude de bien terminer ses courses. Le vent va être très très léger sur la fin. D’ici quelques heures, ça va être le bordel partout. »
Positions à 16 heures (TU +2)
1 GDF SUEZ, Sébastien Rogues – Armel Tripon à 88 milles de l’arrivée
2 Mare, Jörg Riechers – Sébastien Audigane à 2 milles
3 Eärwen, Catherine Pourre – Goulven Royer à 34,5 milles
4 Campagne de France, Halvard Mabire – Miranda Merron à 43,9 milles
5 RED, Mathias Blumencron - Axel Strauss à 56,1 milles
6 Groupe Picoty, Jean-Christophe Caso – Aymeric Chappellier à 65,9 milles
7 Partouche, Christophe Coatnoan – François Coquerel à 73,7 milles
8 Phoenix Europe Carac, Louis Duc – Stéphanie Alran, à 83,2 milles
9 Solidaires en Peloton Victorien Erussard – Thibault Vauchel-Camus à 93,7 milles
10 Mr Bricolage, Damien Rousseau, Stéphane Le Diraison à 100 milles
Retrouvez les positions tous les jours à 8h, 12h, 16h et 20h heure française
Divergences radicales
En tête, il semble bien que les deux leaders aient choisi de se marquer. Pour chacun des deux protagonistes, le plus important est, au delà du plaisir de gagner la manche, dans le cas contraire de ne pas perdre trop de temps en vue de l’étape retour. Les deux leaders se sont neutralisés sur l’aller, plutôt que de tenter un coup de poker qui peut tourner au fiasco, il paraît préférable de limiter les écarts. Il reste que la nuit tous les chats sont gris et il se peut qu’un des deux candidats à la victoire s’échappe à la faveur d’une risée.
Entre Eärwen et Campagne de France, les conclusions de l’explication risquent d’être autrement plus tranchées. Catherine Pourre et Goulven Royer ont infléchi leur route vers le sud et semblent vouloir contourner Pico par le sud, voire tenter le passage autrement plus risqué entre les îles de Pico et Sao George. Halvard Mabire et Miranda Merron ont préféré suivre la voie classique en contournant les îles de Terceira et Sao George par le nord. Plus question de marquage, chacun joue crânement sa chance au risque de tout perdre… ou de tout gagner.
Peloton massif et gruppetto
Derrière la bande des quatre, c’est l’incertitude. Red, Groupe Picoty, Partouche, Phoenix Europe Carac peuvent encore prétendre à cette fameuse 5e place. Mais ils ne sont pas à l’abri non plus d’un retour de Solidaires en Peloton, Mr Bricolage, BET 1128, voire Marie-Galante ou Momentum Ocean Racing.
En revanche, ce sera plus compliqué pour Deltacalor, Kogane, La Belle Equipe, Ecoelec ou Croix du Sud. A bord de la Belle Equipe comme d’Ecoelec, on navigue sous-toilé avec le spi enroulé autour de l’étai, une situation parfaitement inconfortable et particulièrement handicapante pour les derniers bords. En queue de flotte, tous ces équipages ont eu leur lot de déconvenues et n’ont plus qu’un objectif : parvenir à rallier Horta tout en navigant à leur rythme. Mais le petit temps est rarement bon prince. L’équipage de Croix du Sud, avec 320 milles de retard sur la tête de flotte, risque de voir son escale açorienne réduite à peau de chagrin. Pour Michele Zwagerman et Patrick Conway, venus d’Australie pour courir, la visite de Horta pourrait se résumer aux pontons de la marina.
Ils ont dit :
Jean-Christophe Caso (Groupe Picoty)
« On a pris un bon bord de sanglier toute la nuit. A priori, ça n’a pas trop mal payé. Débouler comme ça par nuit noire, c’était chaud. On est passé sous petit spi depuis pas très longtemps, mais on a toujours les safrans qui chantent. On se repose plutôt bien. On a trouvé un rythme plutôt pas mal, du coup, on est plutôt frais. On sait que ce qui arrive devant, ça va être très difficile, il va falloir être très lucide. Il y a de bonnes chances que ça tamponne pour ceux de devant. L’objectif c’est de revenir sur Red. »
Jörg Riechers (Mare)
« On est au coude à coude avec Sébastien Rogues, alias Frodon le Hobbit. Comment je vois l’arrivée : ben nous en premier, Sébastien derrière et en troisième peut-être Eärwen. En même temps, Halvard (Mabire) a l’habitude de bien terminer ses courses. Le vent va être très très léger sur la fin. D’ici quelques heures, ça va être le bordel partout. »
Positions à 16 heures (TU +2)
1 GDF SUEZ, Sébastien Rogues – Armel Tripon à 88 milles de l’arrivée
2 Mare, Jörg Riechers – Sébastien Audigane à 2 milles
3 Eärwen, Catherine Pourre – Goulven Royer à 34,5 milles
4 Campagne de France, Halvard Mabire – Miranda Merron à 43,9 milles
5 RED, Mathias Blumencron - Axel Strauss à 56,1 milles
6 Groupe Picoty, Jean-Christophe Caso – Aymeric Chappellier à 65,9 milles
7 Partouche, Christophe Coatnoan – François Coquerel à 73,7 milles
8 Phoenix Europe Carac, Louis Duc – Stéphanie Alran, à 83,2 milles
9 Solidaires en Peloton Victorien Erussard – Thibault Vauchel-Camus à 93,7 milles
10 Mr Bricolage, Damien Rousseau, Stéphane Le Diraison à 100 milles
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Les XXVIIIème Journées Mondiales de la Jeunesse se dérouleront du 23 au 28 juillet, à Rio de Janeiro, au Brésil. On attend plus de 5 millions de jeunes venus du monde entier dont plus de 5 000 français. Le diocèse de Luçon fait partir 25 vendéens, autour du vicaire général Mgr Gomart, afin d’aller à la rencontre d’autres jeunes catholiques et du Saint-Père, le pape François. En parallèle, les « JMJ Breizhilien », destinées aux jeunes du Grand Ouest, se dérouleront à Saint Malo du vendredi 26 au dimanche 27 juillet. Une centaine de vendéens y participeront.
Les Journées Mondiales de la Jeunesse (« JMJ »), organisées par l’Église catholique depuis 1986 et ouvertes à tous, ont lieu tous les ans. Elles réunissent de manière plus internationale tous les deux ou trois ans les jeunes du monde entier dans une grande métropole, en présence du Pape. Les JMJ sont le plus grand rassemblement de jeunes au monde. Le programme au Brésil prévoit, comme lors des précédentes
JMJ, deux phases :
- Du 14 au 22 juillet : les jeunes du diocèse de Luçon seront accueillis quelques jours dans la ville de Queimadas, puis avec les autres jeunes des diocèses des Pays de la Loire dans la ville de Salvador de Bahia.
- Du 23 au 28 juillet : les JMJ à Rio avec le pape François et les jeunes du monde entier. Découverte de l’Eglise au Brésil dans la ville de Queimadas Pourquoi le choix de Queimadas ? C'est dans cette ville que le père Michel Paquereau, actuel curé de Chavagnes, a vécu trois ans comme prêtre Fidei Donum il y a quelques années. « Passer un peu de temps,
même court dans cette région, va permettre au groupe des Vendéens de découvrir une autre réalité que celle de Rio. C'est une grande chance réciproque de pouvoir rencontrer d'autres jeunes et de découvrir un diocèse de l'intérieur et une vie de paroisse », explique le père Paquereau. Les Vendéens seront accueillis dans des familles de Queimadas et sont d'ores et déjà attendus de pied ferme.
Le samedi 13 juillet 2013, aux alentours de midi, le groupe des vendéens partira en car vers Paris. Parking près de l’hôtel le Sully, boulevard Sully, à la Roche-sur-Yon
Les Journées Mondiales de la Jeunesse (« JMJ »), organisées par l’Église catholique depuis 1986 et ouvertes à tous, ont lieu tous les ans. Elles réunissent de manière plus internationale tous les deux ou trois ans les jeunes du monde entier dans une grande métropole, en présence du Pape. Les JMJ sont le plus grand rassemblement de jeunes au monde. Le programme au Brésil prévoit, comme lors des précédentes
JMJ, deux phases :
- Du 14 au 22 juillet : les jeunes du diocèse de Luçon seront accueillis quelques jours dans la ville de Queimadas, puis avec les autres jeunes des diocèses des Pays de la Loire dans la ville de Salvador de Bahia.
- Du 23 au 28 juillet : les JMJ à Rio avec le pape François et les jeunes du monde entier. Découverte de l’Eglise au Brésil dans la ville de Queimadas Pourquoi le choix de Queimadas ? C'est dans cette ville que le père Michel Paquereau, actuel curé de Chavagnes, a vécu trois ans comme prêtre Fidei Donum il y a quelques années. « Passer un peu de temps,
même court dans cette région, va permettre au groupe des Vendéens de découvrir une autre réalité que celle de Rio. C'est une grande chance réciproque de pouvoir rencontrer d'autres jeunes et de découvrir un diocèse de l'intérieur et une vie de paroisse », explique le père Paquereau. Les Vendéens seront accueillis dans des familles de Queimadas et sont d'ores et déjà attendus de pied ferme.
Le samedi 13 juillet 2013, aux alentours de midi, le groupe des vendéens partira en car vers Paris. Parking près de l’hôtel le Sully, boulevard Sully, à la Roche-sur-Yon
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Le contournement du cap Finisterre est maintenant derrière la flotte. Et tous les tandems semblent d’accord sur l’impératif stratégique du moment, gagner dans le sud de manière à anticiper la rotation progressive des vents au secteur nord, en même temps que leur essoufflement. Cette navigation sur la même route permet de dresser une première hiérarchie : en tête, les deux favoris attendus sont talonnés par un outsider que peu d’observateurs auraient imaginé à pareille fête avant le départ.
Jörg Riechers et Sébastien Audigane (Mare) ressentent sûrement les effets des nombreuses navigations communes de l’hiver dernier qui les ont aidés à maintenir la cadence dans la brise et à rester au contact de Sébastien Rogues et d’Armel Tripon (GDF SUEZ). Que l’on retrouve ces deux équipages aux avant-postes n’est pas vraiment une surprise. Ils disposent de bateaux de dernière génération parfaitement préparés et possèdent un indéniable talent. En revanche, la troisième place de Catherine Pourre et Goulven Royer (Eärwen) est le signe d’une navigation au cordeau où l’équipage a certainement dû s’arracher pour tirer le meilleur de sa machine. Sans faire trop de bruit, ce tandem pointe à nouveau aux places d’honneur comme en cette année 2013, ou Eärwen s’est classé 4e de l’Armen Race et du Grand Prix Guyader. En 2012, le même tandem avait terminé 5e d’une Normandy Channel Race particulièrement exigeante.
Groupe de chasse en rangs serrés
Une vingtaine de milles derrière ce trio, Halvard Mabire et Miranda Merron (Campagne de France) emmènent un peloton groupé où du 5e Red (Mathias Blumencron - Axel Strauss) au 13e BET1128 (Gaetano Mura – Samuel Manuard) tout peut rapidement changer, compte tenu de la faiblesse des écarts entre les équipages. Jusqu’aux Açores, la question majeure va être d’empanner dans le bon timing de manière à essayer d’avoir la trajectoire la plus fluide possible jusqu’aux abords de l’archipel. Ensuite, commencera à partir de mardi un autre sport qui consistera à être le plus opportuniste possible pour parvenir à avancer vers Horta sans encombre. Et les éditions l’ont déjà démontré : tout ce qui a été échafaudé patiemment entre les côtes de Vendée et les Açores peut parfois se déconstruire en quelques heures. Jörg Riechers le sait bien, lui qui a vu en 2011 l’avance qu’il avait prise disparaître en une nuit dans le canal entre les îles de Sao George et Pico. Chat échaudé craint l’eau froide et l’on imagine bien que le coureur allemand a retenu la leçon. Mais pour le groupe des poursuivants, ces airs incertains entretiennent leurs espérances.
Ils ont dit :
Catherine Pourre (Eärwen)
« On vient de passer sous grand spi. On a eu une bonne surprise en croisant derrière GDF SUEZ. On a encore 20 à 25 nœuds et ça continue de pulser. Pour l’instant on reste comme on est, on ne fait pas de plans sur la comète. On est content, on a plutôt bien navigué, essayé de bien se poser tactiquement. On est content, mais on oublie qu’on est souvent aux avant-postes. Pour l’instant cette place, c’est bien, mais il reste encore de la route. Tant qu’on n’a pas passé la ligne, ce n’est pas fini. »
Christophe Coatnoan (Partouche)
« On attend avec impatience le prochain classement pour voir comment on croise par rapport au petit groupe qui est passé près du cap Finisterre. On a préféré jouer la rotation du vent plutôt que d’aller chercher plus de pression. J’ai l’impression que les deux options ont été équivalentes. On regarde la météo à trois jours, mais ça a l’air assez compliqué, l’arrivée sur les Açores. »
Victorien Erussard (Solidaires en Peloton)
« Il a fallu apprivoiser le bateau. On est plus habitué au multicoque. On était tout feu tout flamme la première nuit, on a sûrement fait trop de changements de voile et on s’est rendu compte qu’il fallait peut-être temporiser plus qu’on ne le faisait. Là, ça va mieux, on commence à trouver notre bonne vitesse. On vient de doubler Picoty et on va maintenant essayer d’attaquer Phoenix Europe Carac.»
Sébastien Rogues (GDF SUEZ)
« Tout va bien. On fait aller vers Horta, et on attend de savoir à quelle sauce on va être mangés en arrivant sur l’archipel. Avec Catherine et Jörg, on se tire bien la bourre. C’est bien, ça nous oblige à aller vite. Aujourd’hui, je pense que pas grand monde n’est capable de dire comment il va attaquer les Açores. On s’est fixé comme ligne de conduite d’essayer de s’en approcher par l’est. Ensuite on verra en fonction des opportunités.»
Jörg Riechers et Sébastien Audigane (Mare) ressentent sûrement les effets des nombreuses navigations communes de l’hiver dernier qui les ont aidés à maintenir la cadence dans la brise et à rester au contact de Sébastien Rogues et d’Armel Tripon (GDF SUEZ). Que l’on retrouve ces deux équipages aux avant-postes n’est pas vraiment une surprise. Ils disposent de bateaux de dernière génération parfaitement préparés et possèdent un indéniable talent. En revanche, la troisième place de Catherine Pourre et Goulven Royer (Eärwen) est le signe d’une navigation au cordeau où l’équipage a certainement dû s’arracher pour tirer le meilleur de sa machine. Sans faire trop de bruit, ce tandem pointe à nouveau aux places d’honneur comme en cette année 2013, ou Eärwen s’est classé 4e de l’Armen Race et du Grand Prix Guyader. En 2012, le même tandem avait terminé 5e d’une Normandy Channel Race particulièrement exigeante.
Groupe de chasse en rangs serrés
Une vingtaine de milles derrière ce trio, Halvard Mabire et Miranda Merron (Campagne de France) emmènent un peloton groupé où du 5e Red (Mathias Blumencron - Axel Strauss) au 13e BET1128 (Gaetano Mura – Samuel Manuard) tout peut rapidement changer, compte tenu de la faiblesse des écarts entre les équipages. Jusqu’aux Açores, la question majeure va être d’empanner dans le bon timing de manière à essayer d’avoir la trajectoire la plus fluide possible jusqu’aux abords de l’archipel. Ensuite, commencera à partir de mardi un autre sport qui consistera à être le plus opportuniste possible pour parvenir à avancer vers Horta sans encombre. Et les éditions l’ont déjà démontré : tout ce qui a été échafaudé patiemment entre les côtes de Vendée et les Açores peut parfois se déconstruire en quelques heures. Jörg Riechers le sait bien, lui qui a vu en 2011 l’avance qu’il avait prise disparaître en une nuit dans le canal entre les îles de Sao George et Pico. Chat échaudé craint l’eau froide et l’on imagine bien que le coureur allemand a retenu la leçon. Mais pour le groupe des poursuivants, ces airs incertains entretiennent leurs espérances.
Ils ont dit :
Catherine Pourre (Eärwen)
« On vient de passer sous grand spi. On a eu une bonne surprise en croisant derrière GDF SUEZ. On a encore 20 à 25 nœuds et ça continue de pulser. Pour l’instant on reste comme on est, on ne fait pas de plans sur la comète. On est content, on a plutôt bien navigué, essayé de bien se poser tactiquement. On est content, mais on oublie qu’on est souvent aux avant-postes. Pour l’instant cette place, c’est bien, mais il reste encore de la route. Tant qu’on n’a pas passé la ligne, ce n’est pas fini. »
Christophe Coatnoan (Partouche)
« On attend avec impatience le prochain classement pour voir comment on croise par rapport au petit groupe qui est passé près du cap Finisterre. On a préféré jouer la rotation du vent plutôt que d’aller chercher plus de pression. J’ai l’impression que les deux options ont été équivalentes. On regarde la météo à trois jours, mais ça a l’air assez compliqué, l’arrivée sur les Açores. »
Victorien Erussard (Solidaires en Peloton)
« Il a fallu apprivoiser le bateau. On est plus habitué au multicoque. On était tout feu tout flamme la première nuit, on a sûrement fait trop de changements de voile et on s’est rendu compte qu’il fallait peut-être temporiser plus qu’on ne le faisait. Là, ça va mieux, on commence à trouver notre bonne vitesse. On vient de doubler Picoty et on va maintenant essayer d’attaquer Phoenix Europe Carac.»
Sébastien Rogues (GDF SUEZ)
« Tout va bien. On fait aller vers Horta, et on attend de savoir à quelle sauce on va être mangés en arrivant sur l’archipel. Avec Catherine et Jörg, on se tire bien la bourre. C’est bien, ça nous oblige à aller vite. Aujourd’hui, je pense que pas grand monde n’est capable de dire comment il va attaquer les Açores. On s’est fixé comme ligne de conduite d’essayer de s’en approcher par l’est. Ensuite on verra en fonction des opportunités.»
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Marc Guillemot a battu ce samedi 6 juin le record de la traversée de l’Atlantique nord en monocoque et en solitaire, en 08 jours, 05 heures, 20 minutes et 20 secondes – soit 15 heures, 48 minutes et 11 secondes de moins que le précédent record établi par le britannique Alex Thomson en juillet 2012. Arrivé à 06 heures 39 minutes (heure française), le skipper de Safran a avalé les 2880 milles du parcours entre New York et le cap Lizard à la vitesse moyenne de 14,59 nœuds. Il fait désormais route vers la Trinité-sur-Mer.
C’est fait ! Marc Guillemot est depuis ce matin le nouveau détenteur du prestigieux record de l’Atlantique nord, entre New York et le cap Lizard. Le skipper de Safran, qui avait déjà battu deux fois ce record en équipage et en multicoque (en 1984 et 1988), a donc réitéré l’exploit pour sa première tentative en solo et en monocoque.
« Je suis très satisfait de ce nouveau record ! D’autant que Le rythme a été très soutenu, avec beaucoup d’engagement et peu de sommeil », expliquait Marc quelques minutes après avoir franchi la ligne d’arrivée du mythique record. « Je suis parti en fanfare de New York et la première partie du parcours a été délicate : le long des côtes de Terre-Neuve, il fallait faire attention au trafic maritime intense, aux débris, aux baleines... Puis j’ai été dans la brume quasiment jusqu’à la longitude des Açores. J’ai suivi une première dépression puis une deuxième. J’ai toujours eu du vent, à une exception notable : les dernières 24 heures où j’ai subi un sérieux coup de frein en raison d’une zone de calme associée à l’anticyclone des Açores. Avec du vent jusqu’au bout, j’aurais pu faire un meilleur temps mais pour le moment, je savoure cette belle performance ».
Avant son départ de New York, Marc Guillemot confiait vouloir faire quelque chose de fort en solitaire pour oublier l’abandon prématuré du Vendée Globe. C’est désormais chose faite. « Nous n’avons pas baissé les bras et cela fait du bien de rebondir. C’est bien pour moi, pour l’équipe et pour Safran qui a apporté beaucoup d’investissements technologiques. Nous avons prouvé que Safran est un bateau sur lequel on peut compter ».
Il y avait aussi une régate dans le record et Marc Guillemot est sorti vainqueur de son duel avec le Polonais Zbigniew Gutkowski. Un avantage qui s’est fait dans le timing de l’empannage pour monter vers l’Irlande. « Ce match contre Gutek était une source de motivation supplémentaire. Contrairement aux tentatives de record habituelles, je ne me battais pas seulement contre le chrono », souligne Marc.
Safran fait désormais route vers son port d’attache de la Trinité-sur-Mer. Marc Guillemot participera en août à la course du Fastnet, en double avec Pascal Bidégorry. Une bonne préparation en vue de la Transat Jacques Vabre que les deux hommes disputeront ensemble sur Safran en novembre prochain.
C’est fait ! Marc Guillemot est depuis ce matin le nouveau détenteur du prestigieux record de l’Atlantique nord, entre New York et le cap Lizard. Le skipper de Safran, qui avait déjà battu deux fois ce record en équipage et en multicoque (en 1984 et 1988), a donc réitéré l’exploit pour sa première tentative en solo et en monocoque.
« Je suis très satisfait de ce nouveau record ! D’autant que Le rythme a été très soutenu, avec beaucoup d’engagement et peu de sommeil », expliquait Marc quelques minutes après avoir franchi la ligne d’arrivée du mythique record. « Je suis parti en fanfare de New York et la première partie du parcours a été délicate : le long des côtes de Terre-Neuve, il fallait faire attention au trafic maritime intense, aux débris, aux baleines... Puis j’ai été dans la brume quasiment jusqu’à la longitude des Açores. J’ai suivi une première dépression puis une deuxième. J’ai toujours eu du vent, à une exception notable : les dernières 24 heures où j’ai subi un sérieux coup de frein en raison d’une zone de calme associée à l’anticyclone des Açores. Avec du vent jusqu’au bout, j’aurais pu faire un meilleur temps mais pour le moment, je savoure cette belle performance ».
Avant son départ de New York, Marc Guillemot confiait vouloir faire quelque chose de fort en solitaire pour oublier l’abandon prématuré du Vendée Globe. C’est désormais chose faite. « Nous n’avons pas baissé les bras et cela fait du bien de rebondir. C’est bien pour moi, pour l’équipe et pour Safran qui a apporté beaucoup d’investissements technologiques. Nous avons prouvé que Safran est un bateau sur lequel on peut compter ».
Il y avait aussi une régate dans le record et Marc Guillemot est sorti vainqueur de son duel avec le Polonais Zbigniew Gutkowski. Un avantage qui s’est fait dans le timing de l’empannage pour monter vers l’Irlande. « Ce match contre Gutek était une source de motivation supplémentaire. Contrairement aux tentatives de record habituelles, je ne me battais pas seulement contre le chrono », souligne Marc.
Safran fait désormais route vers son port d’attache de la Trinité-sur-Mer. Marc Guillemot participera en août à la course du Fastnet, en double avec Pascal Bidégorry. Une bonne préparation en vue de la Transat Jacques Vabre que les deux hommes disputeront ensemble sur Safran en novembre prochain.
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