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Avec le franchissement de la longitude du cap des aiguilles, Bertrand de Broc entrera de plain pied dans l’océan Indien. Mais les océans ne sont plus ce qu’ils étaient. Au lieu des grandes cavalcades à la limite de la rupture, les solitaires ont droit pour l’instant à des rafales de beau temps et une brise de demoiselle. Pas vraiment les conditions idéales pour refaire son retard.
En approche de la porte des Aiguilles, Bertrand de Broc ronge un peu son frein. Calé derrière Arnaud Boissières et Javier Sanso, le skipper de Votre Nom autour du Monde avec EDM Projets aimerait bien réduire la distance qui le sépare du duo qui le précède. 300 milles derrière, c’est difficile de ressentir l’aiguillon de la régate au contact. « Je sais bien qu’avec le retard que j’ai pris dès le départ, il est illusoire de se battre pour la gagne, mais j’aimerais bien arriver à recoller au petit groupe qui me précède… C’est quand même plus motivant que de naviguer seul dans son coin. »
La frustration est d’autant plus élevée que les contraintes du parcours ne laissent pas beaucoup d’alternatives avec le franchissement des portes de Crozet et d’Amsterdam. Par rapport aux premiers Vendée Globe de Bertrand en 1992 et 1996, la donne a radicalement changé. La part de l’aventure s’est réduite au profit d’une technicité de plus en plus importante et d’une composante sportive encore plus affirmée. Le skipper de Votre Nom autour du Monde avec EDM Projets s’adapte donc à cette nouvelle manière de naviguer. Le rythme est devenu plus nerveux, plus décousu.
Acclimatation nécessaire
Bertrand de Broc s’efforce donc de faire avec cette autre manière de naviguer. Sans pour autant que le navigateur en perde son sens de l’humour, comme en témoigne la photo envoyée du bord à l’occasion de l’ouverture du Nautic à Paris. Harnaché de pied en cap, Bertrand aurait pu faire un excellent top modèle pour les produits d’accastillage derniers cris. Pour le reste, la vie à bord s’organise au rythme des mers du Sud : navigation, repas, sommeil réparateur et bricolage constituent l’essentiel de la vie du navigateur qui la ponctue de nombreuses photographies. Cette routine est parfois brisée par un incident de mer, comme hier quand le navigateur a vu son grand gennaker passer à l’eau. Au final, plus de deux heures d’efforts ont été nécessaires pour ramener la voile à bord… A près une telle débauche d’énergie, une sieste de plusieurs heures s’est avérée nécessaire… Au programme du jour, le ferlage de la voile qui, pour l’heure, est encore en vrac dans la soute avant.
Verbatim :
« La navigation dans les portes impose une stratégie à courte échéance qui a tendance à protéger les hommes de tête. Je comprends bien les impératifs de sécurité, mais le Vendée Globe y a perdu une partie de son charme. On a le sentiment, d’être très encadré. C’est sûrement l’époque qui veut çà. J’espère qu’on aura un peu de latitude de mouvement dans l’océan Pacifique… »
La frustration est d’autant plus élevée que les contraintes du parcours ne laissent pas beaucoup d’alternatives avec le franchissement des portes de Crozet et d’Amsterdam. Par rapport aux premiers Vendée Globe de Bertrand en 1992 et 1996, la donne a radicalement changé. La part de l’aventure s’est réduite au profit d’une technicité de plus en plus importante et d’une composante sportive encore plus affirmée. Le skipper de Votre Nom autour du Monde avec EDM Projets s’adapte donc à cette nouvelle manière de naviguer. Le rythme est devenu plus nerveux, plus décousu.
Acclimatation nécessaire
Bertrand de Broc s’efforce donc de faire avec cette autre manière de naviguer. Sans pour autant que le navigateur en perde son sens de l’humour, comme en témoigne la photo envoyée du bord à l’occasion de l’ouverture du Nautic à Paris. Harnaché de pied en cap, Bertrand aurait pu faire un excellent top modèle pour les produits d’accastillage derniers cris. Pour le reste, la vie à bord s’organise au rythme des mers du Sud : navigation, repas, sommeil réparateur et bricolage constituent l’essentiel de la vie du navigateur qui la ponctue de nombreuses photographies. Cette routine est parfois brisée par un incident de mer, comme hier quand le navigateur a vu son grand gennaker passer à l’eau. Au final, plus de deux heures d’efforts ont été nécessaires pour ramener la voile à bord… A près une telle débauche d’énergie, une sieste de plusieurs heures s’est avérée nécessaire… Au programme du jour, le ferlage de la voile qui, pour l’heure, est encore en vrac dans la soute avant.
Verbatim :
« La navigation dans les portes impose une stratégie à courte échéance qui a tendance à protéger les hommes de tête. Je comprends bien les impératifs de sécurité, mais le Vendée Globe y a perdu une partie de son charme. On a le sentiment, d’être très encadré. C’est sûrement l’époque qui veut çà. J’espère qu’on aura un peu de latitude de mouvement dans l’océan Pacifique… »
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Les Sables d'Olonne Info
Une présentation du livre « VENDEE GLOBE, le Goût de l’aventure » sera organisée en présence de Samantha Davies et du chef « Bertrand Granger » le Mercredi 12 décembre 2012 à 11 h 30 au Salon Nautique de Paris (Paris Expo – Porte de Versailles – Hall 1 Stand Vendée – k101).
« Vendée Globe, le goût de l’aventure », un livre inédit
L’idée d’un partage quelque peu décalé a donné naissance à une opération originale menée avant le départ de la course autour du monde. Dans le village du Vendée Globe aux Sables d’Olonne, les 20 skippers ont été reçus sur le stand Vendée Tourisme par 20 chefs vendéens pour réaliser, ensemble, des recettes concoctées à partir de produits du terroir vendéens.
« Vendée Globe, le Goût de l’aventure », témoignage de ces rencontres en 208 pages, vient de voir le jour (20 recettes inédites).
- Un livre aux Editions OFFSET 5 / La Mothe-Achard –
- Sortie nationale en décembre 2012 -
Au programme :
- 11 h 30 : Atelier cuisine sur le stand VENDEE avec le Chef Bertrand Granger (Restaurant le 46ème Parallèle à Saint-Gilles-Croix-de-Vie) en présence du skipper Samantha Davies – SAVEOL.
Ensemble, ils réaliseront une recette en s’inspirant des conditions minimalistes de l’équipement du bateau de Samantha.
- 12 h 30 : « Live Vendée Globe » : vacation en direct avec les skippers du Vendée Globe sur le stand (vacation animée par Pierre-Louis Castelli).
- 13 h 15 : Cocktail déjeunatoire dans l’espace VIP du stand VENDEE (toujours en présence de Samantha Davies).
Présentation du livre « Vendée Globe, le goût de l’aventure ».
« Vendée Globe, le goût de l’aventure », un livre inédit
L’idée d’un partage quelque peu décalé a donné naissance à une opération originale menée avant le départ de la course autour du monde. Dans le village du Vendée Globe aux Sables d’Olonne, les 20 skippers ont été reçus sur le stand Vendée Tourisme par 20 chefs vendéens pour réaliser, ensemble, des recettes concoctées à partir de produits du terroir vendéens.
« Vendée Globe, le Goût de l’aventure », témoignage de ces rencontres en 208 pages, vient de voir le jour (20 recettes inédites).
- Un livre aux Editions OFFSET 5 / La Mothe-Achard –
- Sortie nationale en décembre 2012 -
Au programme :
- 11 h 30 : Atelier cuisine sur le stand VENDEE avec le Chef Bertrand Granger (Restaurant le 46ème Parallèle à Saint-Gilles-Croix-de-Vie) en présence du skipper Samantha Davies – SAVEOL.
Ensemble, ils réaliseront une recette en s’inspirant des conditions minimalistes de l’équipement du bateau de Samantha.
- 12 h 30 : « Live Vendée Globe » : vacation en direct avec les skippers du Vendée Globe sur le stand (vacation animée par Pierre-Louis Castelli).
- 13 h 15 : Cocktail déjeunatoire dans l’espace VIP du stand VENDEE (toujours en présence de Samantha Davies).
Présentation du livre « Vendée Globe, le goût de l’aventure ».
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Très rapide ces dernières 48 heures, Dominique Wavre a repris beaucoup de terrain à Mike Golding, le leader du groupe des « trois chasseurs », et il a dépassé hier Jean Le Cam. Les trois membres du trio des poursuivants naviguent depuis dans un mouchoir de poche.

Copyright photo : © Th.Martinez/Mirabaud
« Nous naviguons dans une situation très compliquée, en bordure sud d’un anticyclone. Le vent est erratique, et difficile à maîtriser. Mais je suis super-content de ma performance ces trois derniers jours. Ma tactique était juste, et ma vitesse excellente. »
Est-ce l’expérience de la navigation sur le Léman, et du petit temps, qui a permis à Dominique d’effectuer une telle performance face à ses adversaires les plus proches ? Eclat de rire ! « Non, pas du tout ! Nous sommes dans le sud de l’Océan Indien, avec une grosse mer ; ça n’a rien à voir. Depuis deux jours, j’ai passé toutes mes plus grandes voiles en revue ; je n’ai pas cessé de manœuvrer et de changer de voiles. Ça a bien payé, je suis très satisfait. »
Les conditions du moment sont tout sauf caractéristiques du grand sud : « Mis à part la température, on se croirait dans l’alizé ; il fait grand beau, la mer est d’un bleu très intense. La nuit passée, il y avait un ciel très étoilé ; c’est l’avantage de cet anticyclone dans les mers du grand sud : les ciels sont extraordinaires. »
Les conditions à moyen terme sont encore difficiles à prévoir. Dominique estime que l’anticyclone va se déplacer, et que le vent d’ouest va forcément finir par se rétablir.
Le « porte à porte » des coursiers du grand sud
Les concurrents du Vendée Globe font du porte à porte. Après la Porte des Aiguilles, voici celle de Crozet, puis bientôt la Porte d’Amsterdam, la Porte AMSA ouest, puis est, puis celle de Nouvelle-Zélande, et enfin deux portes Pacifique, ouest et est.
Sur Facebook, certains internautes se lassent, et se lâchent : « Ils feraient mieux de faire du ski s’ils veulent franchir des portes ». Mais qu’en pensent les principaux intéressés ?
« Pour moi, il n’y a aucun doute : les portes anti-glace sont nécessaires», précise Dominique. « Il est évident que l’on ne peut pas se permettre d’aller naviguer dans une zone pavée d’icebergs. Ce serait absurde, et irrespectueux vis-à-vis de nos proches, et surtout de nos propres vies. Mais c’est clair qu’on en paye le prix au niveau de la navigation : les portes sont placées loin au nord, et nous nous retrouvons confrontés à des conditions anticycloniques au lieu de bénéficier des habituelles situations dépressionnaires du grand sud. Du coup, nous avons un peu tendance à nous retrouver à la queue leu leu. Les options stratégiques sont sérieusement réduites, et il n’y a plus que des tout petits coups à jouer. En conséquence, nous faisons de la tactique plutôt que de la stratégie. »
Dominique participe à son dixième tour du monde à la voile en course, et il connait donc cette région du globe mieux que quiconque. Les portes anti-glace ont été instaurées lors du Vendée Globe 2000-2001 et il a eu de nombreuses opportunités, avant cela, de flirter avec les icebergs et de naviguer dans des zones pavées de growlers invisibles à l’œil nu.
« D’une certaine façon », précise-t-il, « je ressens une certaine nostalgie vis-à-vis de cette époque, où nous étions un peu inconscients. Mais le réchauffement climatique est une réalité, et les glaces dérivantes sont positionnées plus au nord qu’à l’époque. Par ailleurs, les organisateurs se protègent, et c’est parfaitement normal. Au bout du compte, j’accepte leur décision de bon gré, et j’ai le sentiment que la plupart des autres concurrents ont le même point de vue. »
Est-ce l’expérience de la navigation sur le Léman, et du petit temps, qui a permis à Dominique d’effectuer une telle performance face à ses adversaires les plus proches ? Eclat de rire ! « Non, pas du tout ! Nous sommes dans le sud de l’Océan Indien, avec une grosse mer ; ça n’a rien à voir. Depuis deux jours, j’ai passé toutes mes plus grandes voiles en revue ; je n’ai pas cessé de manœuvrer et de changer de voiles. Ça a bien payé, je suis très satisfait. »
Les conditions du moment sont tout sauf caractéristiques du grand sud : « Mis à part la température, on se croirait dans l’alizé ; il fait grand beau, la mer est d’un bleu très intense. La nuit passée, il y avait un ciel très étoilé ; c’est l’avantage de cet anticyclone dans les mers du grand sud : les ciels sont extraordinaires. »
Les conditions à moyen terme sont encore difficiles à prévoir. Dominique estime que l’anticyclone va se déplacer, et que le vent d’ouest va forcément finir par se rétablir.
Le « porte à porte » des coursiers du grand sud
Les concurrents du Vendée Globe font du porte à porte. Après la Porte des Aiguilles, voici celle de Crozet, puis bientôt la Porte d’Amsterdam, la Porte AMSA ouest, puis est, puis celle de Nouvelle-Zélande, et enfin deux portes Pacifique, ouest et est.
Sur Facebook, certains internautes se lassent, et se lâchent : « Ils feraient mieux de faire du ski s’ils veulent franchir des portes ». Mais qu’en pensent les principaux intéressés ?
« Pour moi, il n’y a aucun doute : les portes anti-glace sont nécessaires», précise Dominique. « Il est évident que l’on ne peut pas se permettre d’aller naviguer dans une zone pavée d’icebergs. Ce serait absurde, et irrespectueux vis-à-vis de nos proches, et surtout de nos propres vies. Mais c’est clair qu’on en paye le prix au niveau de la navigation : les portes sont placées loin au nord, et nous nous retrouvons confrontés à des conditions anticycloniques au lieu de bénéficier des habituelles situations dépressionnaires du grand sud. Du coup, nous avons un peu tendance à nous retrouver à la queue leu leu. Les options stratégiques sont sérieusement réduites, et il n’y a plus que des tout petits coups à jouer. En conséquence, nous faisons de la tactique plutôt que de la stratégie. »
Dominique participe à son dixième tour du monde à la voile en course, et il connait donc cette région du globe mieux que quiconque. Les portes anti-glace ont été instaurées lors du Vendée Globe 2000-2001 et il a eu de nombreuses opportunités, avant cela, de flirter avec les icebergs et de naviguer dans des zones pavées de growlers invisibles à l’œil nu.
« D’une certaine façon », précise-t-il, « je ressens une certaine nostalgie vis-à-vis de cette époque, où nous étions un peu inconscients. Mais le réchauffement climatique est une réalité, et les glaces dérivantes sont positionnées plus au nord qu’à l’époque. Par ailleurs, les organisateurs se protègent, et c’est parfaitement normal. Au bout du compte, j’accepte leur décision de bon gré, et j’ai le sentiment que la plupart des autres concurrents ont le même point de vue. »
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« Je te vois !!! ». Incroyable ! Il est une heure du matin quand Jean Le Cam aperçoit les feux de son concurrent Suisse. Les deux compères naviguent à moins d’un mille de distance dans l’Océan Indien. Au lever du jour, les deux compères sortent la caméra et se filment mutuellement. Joint par téléphone, le skipper de SynerCiel nous confie son bonheur.
« Dans la nuit, j’avais changé de voiles pour pouvoir descendre un peu plus. Et puis vers une heure du matin je monte faire une ronde sur le pont pour vérifier que tout va bien. Et là, en regardant sous le vent, je vois des feux !! Avec Dom (Dominique Wavre), on a eu la bonne idée de tous les deux allumer nos feux. On se doutait qu’à naviguer aussi près, on allait bien finir par se croiser. J’ai un peu manœuvré et je l’ai rattrapé vers 2h – 2h30 du matin, pile au lever du jour, parfait pour faire des images ! On a un peu discuté à la VHF, ça fait vraiment plaisir. Là (à 10h00), on ne se voit déjà plus car je me suis un peu décalé dans son Sud. »
Revenir sur ceux de devant, c’est possible et même très probable
« On est bien positionné car on va pouvoir faire la porte en un bord, c’est-à-dire que ca va adonner progressivement. Les premiers risquent de tomber un peu dans de la molle, sauf peut-être Armel qui va s’en sortir. C’est tout bénef pour notre petit groupe des « tontons flingueurs ». Ca va taponner par devant, l’opportunité pour nous de revenir à 300 milles des leaders ! »
« Dans la nuit, j’avais changé de voiles pour pouvoir descendre un peu plus. Et puis vers une heure du matin je monte faire une ronde sur le pont pour vérifier que tout va bien. Et là, en regardant sous le vent, je vois des feux !! Avec Dom (Dominique Wavre), on a eu la bonne idée de tous les deux allumer nos feux. On se doutait qu’à naviguer aussi près, on allait bien finir par se croiser. J’ai un peu manœuvré et je l’ai rattrapé vers 2h – 2h30 du matin, pile au lever du jour, parfait pour faire des images ! On a un peu discuté à la VHF, ça fait vraiment plaisir. Là (à 10h00), on ne se voit déjà plus car je me suis un peu décalé dans son Sud. »
Revenir sur ceux de devant, c’est possible et même très probable
« On est bien positionné car on va pouvoir faire la porte en un bord, c’est-à-dire que ca va adonner progressivement. Les premiers risquent de tomber un peu dans de la molle, sauf peut-être Armel qui va s’en sortir. C’est tout bénef pour notre petit groupe des « tontons flingueurs ». Ca va taponner par devant, l’opportunité pour nous de revenir à 300 milles des leaders ! »
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Les Sables Info
Ce fut une très bonne nuit pour Mike Golding à bord de Gamesa, qui évolue rapidement vers la porte de Crozet, la seconde porte des glaces de ce Vendée Globe. Gamesa a été le bateau le plus rapide de la flotte au cours de la nuit et a repris du terrain sur les leaders.
À seulement 24 milles derrière Golding, le match race France/ Suisse continue de battre son plein entre Jean Le Cam et Dominique Wavre qui naviguent à vue, à moins d'un mille après 27 jours de course et 8000 milles déjà parcourus.
Tandis que les leaders semblent avoir été ralentis dans des vents faibles à l'approche de la porte, le trio Golding/ Wavre/ Le Cam devrait pouvoir conserver ces conditions favorables qui les emmènent droit vers celle-ci, distante d'encore 440 milles.
La nuit dernière, Mike a envoyé une vidéo qui nous donne un aperçu des conditions auxquelles les marins font face dans l'Océan Indien :
"Nous sommes désormais au reaching dans une mer vraiment défaite après le coup de vent de la nuit dernière. Comme vous pouvez le voir ça va très très vite et c'est très inconfortable. Le bateau part parfois au surf et se retrouve à des angles improbables et des réactions totalement imprévisibles.
Ce ne sont clairement pas mes conditions préférées de navigation. On progresse plutôt bien mais je n'arrive à prendre plus de nord, ce qui me permettrais d'échapper à l'anticyclone qui nous poursuit."
À seulement 24 milles derrière Golding, le match race France/ Suisse continue de battre son plein entre Jean Le Cam et Dominique Wavre qui naviguent à vue, à moins d'un mille après 27 jours de course et 8000 milles déjà parcourus.
Tandis que les leaders semblent avoir été ralentis dans des vents faibles à l'approche de la porte, le trio Golding/ Wavre/ Le Cam devrait pouvoir conserver ces conditions favorables qui les emmènent droit vers celle-ci, distante d'encore 440 milles.
La nuit dernière, Mike a envoyé une vidéo qui nous donne un aperçu des conditions auxquelles les marins font face dans l'Océan Indien :
"Nous sommes désormais au reaching dans une mer vraiment défaite après le coup de vent de la nuit dernière. Comme vous pouvez le voir ça va très très vite et c'est très inconfortable. Le bateau part parfois au surf et se retrouve à des angles improbables et des réactions totalement imprévisibles.
Ce ne sont clairement pas mes conditions préférées de navigation. On progresse plutôt bien mais je n'arrive à prendre plus de nord, ce qui me permettrais d'échapper à l'anticyclone qui nous poursuit."
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Les Sables Info
Ce soir, à 18h45 sur France 2, Franck Dubosc, parrain de l’événement, Sophie Davant, Nagui et Léa, la jeune ambassadrice des familles, remettent à zéro le compteur du Téléthon en direct de la place de La Concorde à Paris. Ensemble, ils donneront le coup d’envoi de ce marathon de 30 heures qui mobilise partout en France 5 millions de personnes, 200 000 bénévoles, 10 000 communes, 53 000 associations locales…
30 heures pour relever le nouveau défi du Téléthon : passer de la recherche aux médicaments pour les malades. « Jamais nous n’avons été si proches de notre but et nous savons que nous le devons à tous ceux qui, anonymes et modestes, s’engagent à nos côtés depuis plus de 25 ans. Cet élan populaire exceptionnel est le socle de notre combat et le moteur de nos futures victoires. » a déclaré Laurence Tiennot-Herment, la Présidente de l’AFM-Téléthon, à quelques heures de l’événement.
Grâce à tous ceux qui soutiennent le combat de l’AFM-Téléthon, des premières victoires thérapeutiques ont été remportées pour des premières maladies rares. 36 essais thérapeutiques sont en cours ou en préparation pour 30 maladies différentes : maladies rares de la vision, du système immunitaire, du cerveau, de la peau mais aussi une maladie très fréquente, l’infarctus du myocarde. Plus de 200 programmes de recherche sont financés et près de 1000 chercheurs en France et à l’étranger sont soutenus et dépendent des dons du Téléthon. Toutes les thérapies innovantes développées pour les maladies rares sont en passe de révolutionner la médecine pour des maladies bien plus fréquentes. Mettre au point les traitements, c’est une urgence pour les trois millions de personnes qui souffrent aujourd’hui d’une maladie rare. Demain, ce seront des traitements innovants pour des maladies fréquentes qui nous concernent tous.
Pour faire un don :
3637 (appel gratuit depuis un poste fixe) et sur www.telethon.fr
Depuis l’étranger : +33 1 44 36 36 37
30 heures pour relever le nouveau défi du Téléthon : passer de la recherche aux médicaments pour les malades. « Jamais nous n’avons été si proches de notre but et nous savons que nous le devons à tous ceux qui, anonymes et modestes, s’engagent à nos côtés depuis plus de 25 ans. Cet élan populaire exceptionnel est le socle de notre combat et le moteur de nos futures victoires. » a déclaré Laurence Tiennot-Herment, la Présidente de l’AFM-Téléthon, à quelques heures de l’événement.
Grâce à tous ceux qui soutiennent le combat de l’AFM-Téléthon, des premières victoires thérapeutiques ont été remportées pour des premières maladies rares. 36 essais thérapeutiques sont en cours ou en préparation pour 30 maladies différentes : maladies rares de la vision, du système immunitaire, du cerveau, de la peau mais aussi une maladie très fréquente, l’infarctus du myocarde. Plus de 200 programmes de recherche sont financés et près de 1000 chercheurs en France et à l’étranger sont soutenus et dépendent des dons du Téléthon. Toutes les thérapies innovantes développées pour les maladies rares sont en passe de révolutionner la médecine pour des maladies bien plus fréquentes. Mettre au point les traitements, c’est une urgence pour les trois millions de personnes qui souffrent aujourd’hui d’une maladie rare. Demain, ce seront des traitements innovants pour des maladies fréquentes qui nous concernent tous.
Pour faire un don :
3637 (appel gratuit depuis un poste fixe) et sur www.telethon.fr
Depuis l’étranger : +33 1 44 36 36 37
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Les Sables Info
L 'amicale laïque organise un marché de Noël de 10 h 00 à 18 h 30 rue Alcide Gabaret aux Sables d'Olonne. Revue de détail des réjouissances de A comme atelier de Noël à T comme truffes. L’imagination et la créativité prendront le pouvoir dans ce marché.
Les adultes pourront découvrir les idées cadeaux proposées par les ateliers : Emaux, Soie, Poterie et Peinture sur porcelaine.
L'Atelier Cuisine proposera pour les gourmands : Truffes chocolat, Mendiants, Gateau Alsacien, Macarons, Foie Gras. Et pour se réchauffer, des boissons chaudes seront prévues.
Couronnes et décorations de table fermeront la farandole.
Samedi 8 décembre à 16H00, une animatrice lira des contes de Noël aux enfants. Ils pourront ensuite se régaler lors d'un goûter.
Les adultes pourront découvrir les idées cadeaux proposées par les ateliers : Emaux, Soie, Poterie et Peinture sur porcelaine.
L'Atelier Cuisine proposera pour les gourmands : Truffes chocolat, Mendiants, Gateau Alsacien, Macarons, Foie Gras. Et pour se réchauffer, des boissons chaudes seront prévues.
Couronnes et décorations de table fermeront la farandole.
Samedi 8 décembre à 16H00, une animatrice lira des contes de Noël aux enfants. Ils pourront ensuite se régaler lors d'un goûter.
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