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Aux Sables-d'Olonne, celle que l’on surnomme affectueusement « la vieille dame » est l'une des plus anciennes associations sablaises en activité.
En effet, c'est en 1924 que la société d’études Archéologiques, Historiques, Géographiques « OLONA » est fondée (Journal Officiel du 30 mars 1924), sous l'impulsion d’Henri Colins, maire du Château-d'Olonne, conseiller général du canton des Sables-d'Olonne et député de la Vendée, et de Ferdinand Ydier, instituteur public.
Le premier bureau est constitué d'H. Colins, président (1924-1933), de F. Ydier, secrétaire-trésorier et d'Abel Léveillé. Les membres d'honneur sont le docteur Marcel Baudouin et René Valette, directeur de la Revue du Bas-Poitou. La présidence d’honneur est offerte au maire des Sables-d’Olonne et au sous-préfet.
Cette création démarre sous les meilleurs auspices puisque trois sarcophages du Haut-Moyen âge sont découverts dans une propriété privée des Sables-d'Olonne la même année. En décembre 1924, des tessons de poteries néolithiques et des éclats de silex sont également ramassés au lieu-dit le « bar des Roches » au bout du Remblai. Les deux fouilles archéologiques sont menées par les membres d'Olona et ces découvertes majeures pour l'histoire sablaise font l'objet des premières publications scientifiques de la société d'histoire locale.
Mais l’une des préoccupations essentielles d'Olona, à cette époque, reste la création d’un musée aux Sables-d’Olonne, dans le but d'y exposer les nombreux objets archéologiques, historiques ou maritimes recueillis par l'association. Malheureusement, faute de locaux, ce musée ne verra jamais le jour...
En revanche, afin de promouvoir l'histoire locale sablaise et vendéenne, la société fait paraître le premier « bulletin Olona » en 1929. Il comprend alors huit pages et la couverture est confiée au peintre sablais Émile Roy. Cette première série se termine en 1938.
Puis la société entre en sommeil à partir de 1939 pour ne réapparaître qu’après la Seconde Guerre mondiale. Il faut cependant attendre l'année 1955 pour qu’un bulletin trimestriel soit de nouveau publié, à l’initiative de l’infatigable président Ferdinand.Ydier (1955-1962). Chevalier de la Légion d'Honneur et président honoraire de la société Olona, il décède en 1965.
Parallèlement, la société participe activement à la création et au développement du musée de l'Abbaye Sainte-Croix en y effectuant, en 1963, le dépôt de ses collections. Cette année-là, la première exposition temporaire du Musée, intitulée « Les Sables et la Mer », est organisée conjointement par le Musée des Sables, Olona et la Ligue Maritime d'Outre Mer.
Mais l’oeuvre marquante d'Olona reste la publication, sous la présidence de Mme Pauline Durand-Épaud (1967-1979), de l’incontournable Histoire des Sables-d’Olonne en quatre tomes (La période révolutionnaire, 1972 ; Les origines, 1975 ; L’Empire, 1976 ; Le XIXe siècle, 1980), tirés des manuscrits d’Henri Renaud de la Faverie et de l’abbé Renolleau. Mme Durand-Épaud est élevée au grade de Chevalier des Arts et des Lettres en 1988.
Ses successeurs, Anne-Marie Perray, Constant Friconneau, Colette Devant, Joël Perocheau et Hervé Retureau vont poursuivre et amplifier le rayonnement d'Olona.
La vitalité de l’association ne s’est jamais démentie comme en témoigne la parution du 227ème numéro du bulletin Olona en mars 2014. Des conférences historiques (Les-Sables au temps de Collinet...) et des expositions sur le patrimoine local (les camées et le costume sablais, la construction navale...) continuent d’enrichir chaque année la vie culturelle sablaise.
La société Olona compte à ce jour plus de 620 adhérents, et à l'heure de son 90ème anniversaire, la fringante « vieille dame » demeure l'une des associations sablaises les plus actives.
Exposition visible à la salle Audubon aux Sables d'Olonne.
Cette création démarre sous les meilleurs auspices puisque trois sarcophages du Haut-Moyen âge sont découverts dans une propriété privée des Sables-d'Olonne la même année. En décembre 1924, des tessons de poteries néolithiques et des éclats de silex sont également ramassés au lieu-dit le « bar des Roches » au bout du Remblai. Les deux fouilles archéologiques sont menées par les membres d'Olona et ces découvertes majeures pour l'histoire sablaise font l'objet des premières publications scientifiques de la société d'histoire locale.
Mais l’une des préoccupations essentielles d'Olona, à cette époque, reste la création d’un musée aux Sables-d’Olonne, dans le but d'y exposer les nombreux objets archéologiques, historiques ou maritimes recueillis par l'association. Malheureusement, faute de locaux, ce musée ne verra jamais le jour...
En revanche, afin de promouvoir l'histoire locale sablaise et vendéenne, la société fait paraître le premier « bulletin Olona » en 1929. Il comprend alors huit pages et la couverture est confiée au peintre sablais Émile Roy. Cette première série se termine en 1938.
Puis la société entre en sommeil à partir de 1939 pour ne réapparaître qu’après la Seconde Guerre mondiale. Il faut cependant attendre l'année 1955 pour qu’un bulletin trimestriel soit de nouveau publié, à l’initiative de l’infatigable président Ferdinand.Ydier (1955-1962). Chevalier de la Légion d'Honneur et président honoraire de la société Olona, il décède en 1965.
Parallèlement, la société participe activement à la création et au développement du musée de l'Abbaye Sainte-Croix en y effectuant, en 1963, le dépôt de ses collections. Cette année-là, la première exposition temporaire du Musée, intitulée « Les Sables et la Mer », est organisée conjointement par le Musée des Sables, Olona et la Ligue Maritime d'Outre Mer.
Mais l’oeuvre marquante d'Olona reste la publication, sous la présidence de Mme Pauline Durand-Épaud (1967-1979), de l’incontournable Histoire des Sables-d’Olonne en quatre tomes (La période révolutionnaire, 1972 ; Les origines, 1975 ; L’Empire, 1976 ; Le XIXe siècle, 1980), tirés des manuscrits d’Henri Renaud de la Faverie et de l’abbé Renolleau. Mme Durand-Épaud est élevée au grade de Chevalier des Arts et des Lettres en 1988.
Ses successeurs, Anne-Marie Perray, Constant Friconneau, Colette Devant, Joël Perocheau et Hervé Retureau vont poursuivre et amplifier le rayonnement d'Olona.
La vitalité de l’association ne s’est jamais démentie comme en témoigne la parution du 227ème numéro du bulletin Olona en mars 2014. Des conférences historiques (Les-Sables au temps de Collinet...) et des expositions sur le patrimoine local (les camées et le costume sablais, la construction navale...) continuent d’enrichir chaque année la vie culturelle sablaise.
La société Olona compte à ce jour plus de 620 adhérents, et à l'heure de son 90ème anniversaire, la fringante « vieille dame » demeure l'une des associations sablaises les plus actives.
Exposition visible à la salle Audubon aux Sables d'Olonne.
Dans la joie et la bonne humeur, les Veillées Chaumoises chanteront le printemps. Elles se produiront à la salle des fêtes de la Chaume les samedi 12 et dimanche13 avril. Musiciens et choristes pousseront la note avec brio. De plus, ils vous proposeront un sketch intitulé "les chaumois partent aux Antilles". Des animations colorées et diverses vous attendront... Alors venez faire la fête avec cette magnifique chorale.
Les chants des solistes :
Danièle, Bien chapeauté, Air de la griserie.
Marcel, Barnum-circus
Yves, de ci delà
Monique, la Maritza
Irène, la servante du resto.
Et le groupe : Viens Poupoul, Le petit bal du samedi soir, Je vous emmènerai sur mon joli bateau, La Seine, Le Parapluie, Vive la compagnie, Les comédiens, La guinguette a fermé ses volets...
Les dates :
Samedi 12 avril 2014 - 20 h 45
Dimanche 13 avril 2014 - 16 h
Salle des fêtes de la Chaume
Réservations :
Salle des fêtes de la Chaume : vendredi 11 avril de 9 h à 12 h et samedi 12 avril de 9h à 12 h
Téléphone : 06.04.46.96.76
Prix des places : 8 € - gratuité pour les enfants de moins de 12 ans.
Les chants des solistes :
Danièle, Bien chapeauté, Air de la griserie.
Marcel, Barnum-circus
Yves, de ci delà
Monique, la Maritza
Irène, la servante du resto.
Et le groupe : Viens Poupoul, Le petit bal du samedi soir, Je vous emmènerai sur mon joli bateau, La Seine, Le Parapluie, Vive la compagnie, Les comédiens, La guinguette a fermé ses volets...
Les dates :
Samedi 12 avril 2014 - 20 h 45
Dimanche 13 avril 2014 - 16 h
Salle des fêtes de la Chaume
Réservations :
Salle des fêtes de la Chaume : vendredi 11 avril de 9 h à 12 h et samedi 12 avril de 9h à 12 h
Téléphone : 06.04.46.96.76
Prix des places : 8 € - gratuité pour les enfants de moins de 12 ans.
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Les Sables d'Olonne Info
Ce mercredi 19 mars 2014, un rassemblement s'était déroulé à l’angle de la rue de Verdun et de l’avenue Alcide-Gabaret aux Sables d'Olonne. Il visait à protester contre le projet de destruction du blockhaus pour laisser place à la future médiathèque.
Quatre candidats aux élections municipales, Gérard Mercier, Caroline Pottier, Didier Gallot et Brigitte Tesson, sont venus soutenir Line Roux-Calviera, organisatrice de l'événement.
Didier Gallot : "je rappellerai que l'opposition municipale était montée au créneau dès qu'il a été question de cette destruction. Pour ma part, je prends l'engagement ferme et définitif de conserver le Blockhaus."
Caroline Pottier : "nous tenons à dénoncer les méthodes peu démocratiques avec lesquelles ce dossier a été traité. Aucune consultation citoyenne et pire encore, les associations des déportés et d'anciens combattants n'ont absolument pas été entendues ni consultées avant de prendre une telle décision. Nous défendons le projet d'une médiathèque aux Sables mais pas au sacrifice d'un des derniers vestiges de la Seconde Guerre mondiale. Nous souhaitons en faire un lieu ouvert pour tous et en particulier aux jeunes générations..."
Brigitte Tesson, adjointe au maire, avait voté le projet de destruction du blockhaus en conseil municipal : "J'ai évoqué le projet de la médiathèque car il est important pour la ville des Sables d'Olonne. Je suis pour le devoir de mémoire... Je pense qu'il faut ici avoir un véritable musée de la Seconde Guerre mondiale et de la résistance... Aujourd'hui, c'est un grand projet ouvert. J'associerai tout le monde, toutes les associations, les spécialistes, les habitants et nous y ferons construire un vrai projet. Un projet qui tienne compte à la fois de la culture d'aujourd'hui avec une belle médiathèque et qui nous tienne aussi à coeur au niveau du devoir de mémoire."
Quatre candidats aux élections municipales, Gérard Mercier, Caroline Pottier, Didier Gallot et Brigitte Tesson, sont venus soutenir Line Roux-Calviera, organisatrice de l'événement.
Didier Gallot : "je rappellerai que l'opposition municipale était montée au créneau dès qu'il a été question de cette destruction. Pour ma part, je prends l'engagement ferme et définitif de conserver le Blockhaus."
Caroline Pottier : "nous tenons à dénoncer les méthodes peu démocratiques avec lesquelles ce dossier a été traité. Aucune consultation citoyenne et pire encore, les associations des déportés et d'anciens combattants n'ont absolument pas été entendues ni consultées avant de prendre une telle décision. Nous défendons le projet d'une médiathèque aux Sables mais pas au sacrifice d'un des derniers vestiges de la Seconde Guerre mondiale. Nous souhaitons en faire un lieu ouvert pour tous et en particulier aux jeunes générations..."
Brigitte Tesson, adjointe au maire, avait voté le projet de destruction du blockhaus en conseil municipal : "J'ai évoqué le projet de la médiathèque car il est important pour la ville des Sables d'Olonne. Je suis pour le devoir de mémoire... Je pense qu'il faut ici avoir un véritable musée de la Seconde Guerre mondiale et de la résistance... Aujourd'hui, c'est un grand projet ouvert. J'associerai tout le monde, toutes les associations, les spécialistes, les habitants et nous y ferons construire un vrai projet. Un projet qui tienne compte à la fois de la culture d'aujourd'hui avec une belle médiathèque et qui nous tienne aussi à coeur au niveau du devoir de mémoire."
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La prochaine Université Permanente se tiendra le mercredi 11 décembre 2013 à 15 heures à la salle des conférences à l’Abbaye-Sainte-Croix.
La conférence, intitulée « La tapisserie de l'Apocalypse à Angers, la Bible en images au XIVème siècle », sera animée par Claire GIRAUD-LABALTE, historienne de l'art et déléguée au patrimoine d'un réseau culturel européen.
Le dernier livre de la Bible, rédigé par Jean au début de l'empire romain, a été mis en images à la fin du XIVème siècle dans une tenture de laine qui reste aujourd'hui le plus vaste ensemble tissé
du monde (130 mètres de long à l'origine). Ce chef d'oeuvre de l'histoire de la tapisserie, commandé par le duc d'Anjou, impressionne par son ampleur, sa qualité technique, et par la vivacité de ses couleurs précieusement protégées sur l'envers. Véritable bande dessinée, l'Apocalypse d'Angers est une invitation à découvrir un texte biblique particulièrement riche en symboles
Tarifs (vente sur place) : abonnement : 16 € Ticket à l'unité : 3,50 € (ouverture billetterie à 14h30).
Gratuit pour les scolaires et pour les abonnés à la saison culturelle.
Contact : Annie Tyffers au 02 51 23 16 63.
La conférence, intitulée « La tapisserie de l'Apocalypse à Angers, la Bible en images au XIVème siècle », sera animée par Claire GIRAUD-LABALTE, historienne de l'art et déléguée au patrimoine d'un réseau culturel européen.
Le dernier livre de la Bible, rédigé par Jean au début de l'empire romain, a été mis en images à la fin du XIVème siècle dans une tenture de laine qui reste aujourd'hui le plus vaste ensemble tissé
du monde (130 mètres de long à l'origine). Ce chef d'oeuvre de l'histoire de la tapisserie, commandé par le duc d'Anjou, impressionne par son ampleur, sa qualité technique, et par la vivacité de ses couleurs précieusement protégées sur l'envers. Véritable bande dessinée, l'Apocalypse d'Angers est une invitation à découvrir un texte biblique particulièrement riche en symboles
Tarifs (vente sur place) : abonnement : 16 € Ticket à l'unité : 3,50 € (ouverture billetterie à 14h30).
Gratuit pour les scolaires et pour les abonnés à la saison culturelle.
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Rendez-vous à la librairie AGORA à La Roche-sur-Yon samedi 30 novembre 2013 à partir de 15 Heures. Vous passerez un moment avec Philippe de Villiers lors de sa dédicace, pour son nouveau roman "Le Roman de Saint-Louis".
« Je rêvais de retrouver la trace et l'image d'un Saint Louis à l'humanité sensible, un Saint Louis de chair, à figure humaine. Le temps, en l'élevant au-dessus de nos natures, lui a peut-être rendu un mauvais service. Il m'a imposé d'aller puiser aux sources les plus authentiques. Là où repose le trésor des paroles vivantes, laissées par les premiers témoins. Ceux qui ont vraiment connu le roi Louis IX, qui l'ont approché, accompagné depuis l'enfance jusqu'au trépas. J'ai remonté le filet d'eau vive. Je n'ai rien inventé. Ni les événements, ni les personnages, ni même l'insolite. Il m'a fallu plonger dans l'époque, en étudier la vie quotidienne dans ses moindres détails, sentir battre les passions, pour faire revivre un Saint Louis de notre temps. »
Philippe de Villiers.
« Je rêvais de retrouver la trace et l'image d'un Saint Louis à l'humanité sensible, un Saint Louis de chair, à figure humaine. Le temps, en l'élevant au-dessus de nos natures, lui a peut-être rendu un mauvais service. Il m'a imposé d'aller puiser aux sources les plus authentiques. Là où repose le trésor des paroles vivantes, laissées par les premiers témoins. Ceux qui ont vraiment connu le roi Louis IX, qui l'ont approché, accompagné depuis l'enfance jusqu'au trépas. J'ai remonté le filet d'eau vive. Je n'ai rien inventé. Ni les événements, ni les personnages, ni même l'insolite. Il m'a fallu plonger dans l'époque, en étudier la vie quotidienne dans ses moindres détails, sentir battre les passions, pour faire revivre un Saint Louis de notre temps. »
Philippe de Villiers.
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Ce dimanche 24 novembre était un jour de fête pour l'association des Vendéens de Paris. L'occasion de clôturer sa 120ème année d'existence. La journée a commencé à 12h30 par le Gala des 120 ans dans une brasserie de la gare Montparnasse, plus d'une centaine de personnes étaient présentes, dont les invités d'honneur Pierre Barouh, chanteur et vendéen d'adoption, Sara Nanquette, Miss Vendée 2013, Patrick Maret, accordéoniste et Pierre Le Beau, président du Club de Bretagne. Vendéens d’origine ou de cœur, tous étaient invités à participer à cette journée.
Le déjeuner a été présidé par Thierry du Perray qui célébrait par la même occasion sa quinzième et dernière année de présidence de l'association. Danse de la brioche, tombola et musiques ont animé l'après-midi jusqu'au départ pour l'Arc de Triomphe à 17h30.
Comme chaque 24 novembre depuis les années 1930, les Vendéens de Paris raniment la flamme de la Tombe du Soldat Inconnu en mémoire à Georges Clemenceau, président d'honneur de l'association jusqu'à sa mort. Étaient également présents le souvenir Vendéen de Clemenceau et M. Jean-Claude Auvinet, Maire de la Réorthe, venu en car avec des représentants de sa commune, notamment des élus, des écoliers, enseignants et une délégation d'anciens combattants.
Cette journée était l'occasion de revenir sur une année riche en manifestations, tant à Paris qu’en Vendée : la cérémonie des 120 ans à Paris en présence de M.Bruno Retailleau (le 03/04/13), la randonnée vélo “Paris La Vendée”, 600 km en 5 jours (deuxième fois en 120 ans) la visite de l’Hôtel de la Région à Nantes, la création d’un mini-guide pour les jeunes qui arrivent sur la capitale, des soirées jeux de palets qui réunissent chaque fois un public plus nombreux, etc….
Découvrez les vidéos de la cérémonie :
- 18h30 Traversée de la Place de l’Étoile : http://goo.gl/xaYUhO
- 18h45 : ravivage de la flamme par les Vendéens de Paris : http://goo.gl/Rv4QM8
- 19h : fin de la cérémonie, musique, écoliers de la Réorthe et représentants d'assos : http://goo.gl/I8FHaE
Le déjeuner a été présidé par Thierry du Perray qui célébrait par la même occasion sa quinzième et dernière année de présidence de l'association. Danse de la brioche, tombola et musiques ont animé l'après-midi jusqu'au départ pour l'Arc de Triomphe à 17h30.
Comme chaque 24 novembre depuis les années 1930, les Vendéens de Paris raniment la flamme de la Tombe du Soldat Inconnu en mémoire à Georges Clemenceau, président d'honneur de l'association jusqu'à sa mort. Étaient également présents le souvenir Vendéen de Clemenceau et M. Jean-Claude Auvinet, Maire de la Réorthe, venu en car avec des représentants de sa commune, notamment des élus, des écoliers, enseignants et une délégation d'anciens combattants.
Cette journée était l'occasion de revenir sur une année riche en manifestations, tant à Paris qu’en Vendée : la cérémonie des 120 ans à Paris en présence de M.Bruno Retailleau (le 03/04/13), la randonnée vélo “Paris La Vendée”, 600 km en 5 jours (deuxième fois en 120 ans) la visite de l’Hôtel de la Région à Nantes, la création d’un mini-guide pour les jeunes qui arrivent sur la capitale, des soirées jeux de palets qui réunissent chaque fois un public plus nombreux, etc….
Découvrez les vidéos de la cérémonie :
- 18h30 Traversée de la Place de l’Étoile : http://goo.gl/xaYUhO
- 18h45 : ravivage de la flamme par les Vendéens de Paris : http://goo.gl/Rv4QM8
- 19h : fin de la cérémonie, musique, écoliers de la Réorthe et représentants d'assos : http://goo.gl/I8FHaE
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Les Veillées chaumoises vous offrent un programme joyeux et animé, dans la douce et pure tradition du groupe des Veillées. Sur le thème de l'automne, laissez-vous bercer par les chants divers : la fin des vacances, la rentrée des classes, la chasse, la vigne et le vin.
Venez les écouter à la salle des fêtes de la Chaume les samedi 19 octobre 2013 à 20h45 et dimanche 20 octobre 2013 à 16h.
Les voix des Veillées chaumoises s'élèveront sur les quais de la Chaume... Elles commenceront avec un sketch intitulé "l’école à la Chaume en 1954" suivi de ces chants :
les petits cafés, la Marie Josèphe, les colonies de vacances, au Lycée Papillon, en sortant de l’école, l’école est finie, plantons la vigne, c’est à boire, chœur des chasseurs...
Réservations par téléphone au 06.04.46.96.76.
Salle des fêtes de la chaume (rue du Lieutenant Anger) les vendredi 18 octobre de 9h à 12h et samedi 19 octobre de 9h à 12h.
Tarifs : 8 €, Gratuité pour les enfants de moins de 12 ans.
Venez les écouter à la salle des fêtes de la Chaume les samedi 19 octobre 2013 à 20h45 et dimanche 20 octobre 2013 à 16h.
Les voix des Veillées chaumoises s'élèveront sur les quais de la Chaume... Elles commenceront avec un sketch intitulé "l’école à la Chaume en 1954" suivi de ces chants :
les petits cafés, la Marie Josèphe, les colonies de vacances, au Lycée Papillon, en sortant de l’école, l’école est finie, plantons la vigne, c’est à boire, chœur des chasseurs...
Réservations par téléphone au 06.04.46.96.76.
Salle des fêtes de la chaume (rue du Lieutenant Anger) les vendredi 18 octobre de 9h à 12h et samedi 19 octobre de 9h à 12h.
Tarifs : 8 €, Gratuité pour les enfants de moins de 12 ans.
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