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- Manuel Morin présente "Annus Linguis" (L'année de la langue). Fantaisiste à l'imagination taré mais jamais tari, il joue sur le sens et l'origine historique des mots et des expressions connues de tous. Un spectacle qui promet d'être drôle et ludique.
- Julien Abillard nous emmène dans l’humour potache. Le délire peut aller loin : un prêtre fan des années 80, un boucher sage-femme ou encore un camping militaire… Un brin moqueur, mais jamais méchant. Julien vous montrera qu’il n’y a pas que sa tête qui est drôle !
- Daniel camus puise son inspiration de ce qu’il observe du quotidien, alors tant qu’il y aura des choses à voir, il aura des choses à écrire. Ses professeurs l’ont encouragé dans ce sens «S’il mettait autant d’énergie dans son travail que dans le comique, il serait premier de la classe».
- Stéphane De Lucas ne s’est jamais pris au sérieux ! Pitre dans l’âme, c’est en 2010 qu’il décide enfin de fouler les planches. Il s’invente un univers, de situations improbables et de tranches de vie pittoresques où ses mésaventures se résument en une phrase : ça n’arrive qu’à lui !!!
Prix libre.
Vendredi 03 août, Tour d'arundel - La Chaume à partir de 21h00.
- Julien Abillard nous emmène dans l’humour potache. Le délire peut aller loin : un prêtre fan des années 80, un boucher sage-femme ou encore un camping militaire… Un brin moqueur, mais jamais méchant. Julien vous montrera qu’il n’y a pas que sa tête qui est drôle !
- Daniel camus puise son inspiration de ce qu’il observe du quotidien, alors tant qu’il y aura des choses à voir, il aura des choses à écrire. Ses professeurs l’ont encouragé dans ce sens «S’il mettait autant d’énergie dans son travail que dans le comique, il serait premier de la classe».
- Stéphane De Lucas ne s’est jamais pris au sérieux ! Pitre dans l’âme, c’est en 2010 qu’il décide enfin de fouler les planches. Il s’invente un univers, de situations improbables et de tranches de vie pittoresques où ses mésaventures se résument en une phrase : ça n’arrive qu’à lui !!!
Prix libre.
Vendredi 03 août, Tour d'arundel - La Chaume à partir de 21h00.
Tags :
Daniel Camus
Festival Le souffleur d'Arundel
Julien Abillard et Stéphane De Lucas
Les Sables d'Olonne
Manuel Morin
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Les Sables Info
Balade contée à vélo avec Claudie la conteuse : des contes, de la musique et un brin de malice – spectacle tout public. Votre vélo vous transporte… ses mots vous font voyager… Les jeudis 2 et 16 août. Départ : 10h00. Retour : 12h30. Rendez-vous au local du Véloo de la Forêt, 19 route de la Forêt à Olonne sur mer.
Tarifs : 12€ (-12 ans : 8€ ) location de vélo incluse . Renseignements et réservations au 06 10 52 42 59 veloo ou 06 49 78 70 78 Claudie la conteuse.
Location Cycles Les Sables d’Olonne : www.veloodelaforet.fr
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Tarifs : 12€ (-12 ans : 8€ ) location de vélo incluse . Renseignements et réservations au 06 10 52 42 59 veloo ou 06 49 78 70 78 Claudie la conteuse.
Location Cycles Les Sables d’Olonne : www.veloodelaforet.fr
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Les Sables Info
Ils la guettaient, cette rotation du vent. C’est aujourd’hui en début de matinée que les solitaires ont pu, dans un synchronisme presque parfait, virer de bord pour enfin mettre un peu de sud dans leur cap. Le mouvement, initié d’abord par les hommes du sud, a été suivi par le groupe de l’ouest qui a attendu que la bascule se fasse franchement pour virer de bord à son tour.Avantage nord. Comme au tennis, les hommes du nord ont pris un léger ascendant sur leurs adversaires, mais rien n’est encore vraiment joué. Car le scénario qui se dresse devant les étraves des Minis comporte encore quelques zones d’ombre propices à bien des rebondissements. Actuellement tout le monde pique vers le sud et s’apprête à passer entre dix et cent milles dans l’ouest du cap Finisterre. Ensuite, rien n’est encore vraiment écrit. Seule certitude, la route vers les Açores est encore longue. Pour l’heure, il semble bien qu’une dorsale assez faible veuille se constituer dans l’est de l’anticyclone des Açores. Dès lors le choix qui se pose aux coureurs est le suivant : soit cette langue anticyclonique se renforce et le salut viendra pour ceux qui seront passés dans son sud en espérant trouver des vents portants vers l’archipel. Soit, la circulation océanique au nord de l’anticyclone reprend le dessus et le seul vent que l’on pourra espérer trouver sera sur une route nord. Mais comment faire quand on est sans récepteur satellite, sans cartes météo ? Une seule solution, observer les évolutions du vent, les nuages et veiller très attentivement le baromètre qui risque d’être le meilleur juge de paix dans les prochains jours. En clair, il faut savoir attendre avant de prendre une décision qui aurait un caractère irrévocable.
Visiblement quelques uns n’ont pas ces états d’âme. Il y a d’abord ceux qui pour l’heure n’ont d’autre préoccupation que de pouvoir doubler la pointe de l’Espagne. C’est le cas de quelques concurrents qui n’ont pas pu ou su gagner suffisamment dans l’ouest à l’instar de Damien Audrain (Stered Lostek) ou Yoann Tricault (C-possible) en série. Ces deux-là emmènent respectivement un petit groupe dans leur sillage, mais ne devront leur salut qu’à un retour des vents au sud-sud-ouest ou à une accélération du vent le long des côtes de Galice. Même cas de figure en proto pour Etienne Bertrand (Chasseur de Primes) qui compte malgré tout plus de cent milles de retard sur Giancarlo Pedote (Prysmian) toujours leader. Benoît Marie (benoitmarie.com) semble avoir d’ores et déjà choisi son camp puisqu’il file sur une route plein sud à près de dix nœuds de moyenne, acceptant de perdre du gain au vent. A moins que le gaillard n’ait pas dévoilé un souci technique et qu’il compte s’arrêter pour réparer dans un port de la côte espagnole. S’il ne s’agit que d’un choix stratégique, Benoît est en bonne position pour gagner le prix de la radicalité audacieuse…
Pour les hommes du nord, la situation est plus simple. Bien calés au vent, ils peuvent voir venir. En fonction de la météo, ils pourront toujours ouvrir un peu les écoutes ou bien au contraire, décider de serrer le vent pour gagner dans l’ouest. C’est le pari qu’ont fait Milan Kolacek (Follow Me) et Aymeric Chappellier (La Tortue de l’Aquarium La Rochelle) qui comptent maintenant un écart latéral de près de 50 milles avec Giancarlo Pedote.
En série, le petit groupe qui se chicane sur la route nord a clairement pris l’ascendant sur le reste de la flotte. Les écarts sont toujours aussi serrés entre les quatre premiers. C’est bien connu la régate au contact est le meilleur aiguillon pour faire avancer son bateau.
Du côté des Sables d’Olonne, c’est donc l’abandon définitif pour Becky Scott (Artemis). La jeune Britannique, après avoir fait tourner des routages, a constaté qu’elle n’avait guère de chance d’arriver avant le 11 voire le 12 août à Horta pour un retour le 14. Naviguer en queue de flotte sans la proximité d’un bateau accompagnateur pour ne même pas profiter de l’escale n’est guère motivant… Becky s’est donc résolue à abandonner. C’est peut-être le même raisonnement que s’est tenu Julien Marcelet (Hissons les Voiles en Nord Pas-de-Calais) : depuis le milieu d’après-midi il fait route directe sur Les Sables d’Olonne. Avec les démâtages de Hugo Plantet (FT Marine) et Renaud Mary (www.runo.fr) c’est actuellement la flotte des bateaux de série qui paie le plus lourd tribut aux conditions difficiles rencontrées depuis le départ.
Classement au 31 juillet à 16h (TU+2)
Prototypes :
1 Prysmian – Giancarlo Pedote, à 1018,7 milles de l’arrivée
2 Follow Me – Milan Kolacek, à 0,7 milles
3 La Tortue de l’Aquarium La Rochelle – Aymeric Chappellier à 2,8 milles
4 Fondation terrevent.org – Nicolas Boidevezi, à 7,6 milles
5 benoitmarie.com – Benoît Marie, à 37,4 milles
Série :
1 Tout le Monde Chante contre le Cancer – Aymeric Belloir à 924,3 milles de l’arrivée
2 Team Work – Justine Mettraux, à 0,4 milles
3 Althing – Ian Lipinski, à 1,3 milles
4 Go 4 It – Simon Koster, à 2,1 milles
5 Groupe Accueil Négoce, à 7,4 milles
Facebook : https://www.facebook.com/#!/LesSablesLesAcores2012
Visiblement quelques uns n’ont pas ces états d’âme. Il y a d’abord ceux qui pour l’heure n’ont d’autre préoccupation que de pouvoir doubler la pointe de l’Espagne. C’est le cas de quelques concurrents qui n’ont pas pu ou su gagner suffisamment dans l’ouest à l’instar de Damien Audrain (Stered Lostek) ou Yoann Tricault (C-possible) en série. Ces deux-là emmènent respectivement un petit groupe dans leur sillage, mais ne devront leur salut qu’à un retour des vents au sud-sud-ouest ou à une accélération du vent le long des côtes de Galice. Même cas de figure en proto pour Etienne Bertrand (Chasseur de Primes) qui compte malgré tout plus de cent milles de retard sur Giancarlo Pedote (Prysmian) toujours leader. Benoît Marie (benoitmarie.com) semble avoir d’ores et déjà choisi son camp puisqu’il file sur une route plein sud à près de dix nœuds de moyenne, acceptant de perdre du gain au vent. A moins que le gaillard n’ait pas dévoilé un souci technique et qu’il compte s’arrêter pour réparer dans un port de la côte espagnole. S’il ne s’agit que d’un choix stratégique, Benoît est en bonne position pour gagner le prix de la radicalité audacieuse…
Pour les hommes du nord, la situation est plus simple. Bien calés au vent, ils peuvent voir venir. En fonction de la météo, ils pourront toujours ouvrir un peu les écoutes ou bien au contraire, décider de serrer le vent pour gagner dans l’ouest. C’est le pari qu’ont fait Milan Kolacek (Follow Me) et Aymeric Chappellier (La Tortue de l’Aquarium La Rochelle) qui comptent maintenant un écart latéral de près de 50 milles avec Giancarlo Pedote.
En série, le petit groupe qui se chicane sur la route nord a clairement pris l’ascendant sur le reste de la flotte. Les écarts sont toujours aussi serrés entre les quatre premiers. C’est bien connu la régate au contact est le meilleur aiguillon pour faire avancer son bateau.
Du côté des Sables d’Olonne, c’est donc l’abandon définitif pour Becky Scott (Artemis). La jeune Britannique, après avoir fait tourner des routages, a constaté qu’elle n’avait guère de chance d’arriver avant le 11 voire le 12 août à Horta pour un retour le 14. Naviguer en queue de flotte sans la proximité d’un bateau accompagnateur pour ne même pas profiter de l’escale n’est guère motivant… Becky s’est donc résolue à abandonner. C’est peut-être le même raisonnement que s’est tenu Julien Marcelet (Hissons les Voiles en Nord Pas-de-Calais) : depuis le milieu d’après-midi il fait route directe sur Les Sables d’Olonne. Avec les démâtages de Hugo Plantet (FT Marine) et Renaud Mary (www.runo.fr) c’est actuellement la flotte des bateaux de série qui paie le plus lourd tribut aux conditions difficiles rencontrées depuis le départ.
Classement au 31 juillet à 16h (TU+2)
Prototypes :
1 Prysmian – Giancarlo Pedote, à 1018,7 milles de l’arrivée
2 Follow Me – Milan Kolacek, à 0,7 milles
3 La Tortue de l’Aquarium La Rochelle – Aymeric Chappellier à 2,8 milles
4 Fondation terrevent.org – Nicolas Boidevezi, à 7,6 milles
5 benoitmarie.com – Benoît Marie, à 37,4 milles
Série :
1 Tout le Monde Chante contre le Cancer – Aymeric Belloir à 924,3 milles de l’arrivée
2 Team Work – Justine Mettraux, à 0,4 milles
3 Althing – Ian Lipinski, à 1,3 milles
4 Go 4 It – Simon Koster, à 2,1 milles
5 Groupe Accueil Négoce, à 7,4 milles
Facebook : https://www.facebook.com/#!/LesSablesLesAcores2012
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Les Sables Info
Ils la guettaient, cette rotation du vent. C’est aujourd’hui en début de matinée que les solitaires ont pu, dans un synchronisme presque parfait, virer de bord pour enfin mettre un peu de sud dans leur cap. Le mouvement, initié d’abord par les hommes du sud, a été suivi par le groupe de l’ouest qui a attendu que la bascule se fasse franchement pour virer de bord à son tour.
Avantage nord. Comme au tennis, les hommes du nord ont pris un léger ascendant sur leurs adversaires, mais rien n’est encore vraiment joué. Car le scénario qui se dresse devant les étraves des Minis comporte encore quelques zones d’ombre propices à bien des rebondissements. Actuellement tout le monde pique vers le sud et s’apprête à passer entre dix et cent milles dans l’ouest du cap Finisterre. Ensuite, rien n’est encore vraiment écrit. Seule certitude, la route vers les Açores est encore longue. Pour l’heure, il semble bien qu’une dorsale assez faible veuille se constituer dans l’est de l’anticyclone des Açores. Dès lors le choix qui se pose aux coureurs est le suivant : soit cette langue anticyclonique se renforce et le salut viendra pour ceux qui seront passés dans son sud en espérant trouver des vents portants vers l’archipel. Soit, la circulation océanique au nord de l’anticyclone reprend le dessus et le seul vent que l’on pourra espérer trouver sera sur une route nord.
Mais comment faire quand on est sans récepteur satellite, sans cartes météo ? Une seule solution, observer les évolutions du vent, les nuages et veiller très attentivement le baromètre qui risque d’être le meilleur juge de paix dans les prochains jours. En clair, il faut savoir attendre avant de prendre une décision qui aurait un caractère irrévocable.
Finisterre dans la mire
Visiblement quelques uns n’ont pas ces états d’âme. Il y a d’abord ceux qui pour l’heure n’ont d’autre préoccupation que de pouvoir doubler la pointe de l’Espagne. C’est le cas de quelques concurrents qui n’ont pas pu ou su gagner suffisamment dans l’ouest à l’instar de Damien Audrain (Stered Lostek) ou Yoann Tricault (C-possible) en série. Ces deux-là emmènent respectivement un petit groupe dans leur sillage, mais ne devront leur salut qu’à un retour des vents au sud-sud-ouest ou à une accélération du vent le long des côtes de Galice. Même cas de figure en proto pour Etienne Bertrand (Chasseur de Primes) qui compte malgré tout plus de cent milles de retard sur Giancarlo Pedote (Prysmian) toujours leader. Benoît Marie (benoitmarie.com) semble avoir d’ores et déjà choisi son camp puisqu’il file sur une route plein sud à près de dix nœuds de moyenne, acceptant de perdre du gain au vent. A moins que le gaillard n’ait pas dévoilé un souci technique et qu’il compte s’arrêter pour réparer dans un port de la côte espagnole. S’il ne s’agit que d’un choix stratégique, Benoît est en bonne position pour gagner le prix de la radicalité audacieuse…
Position stratégique confortable
Pour les hommes du nord, la situation est plus simple. Bien calés au vent, ils peuvent voir venir. En fonction de la météo, ils pourront toujours ouvrir un peu les écoutes ou bien au contraire, décider de serrer le vent pour gagner dans l’ouest. C’est le pari qu’ont fait Milan Kolacek (Follow Me) et Aymeric Chappellier (La Tortue de l’Aquarium La Rochelle) qui comptent maintenant un écart latéral de près de 50 milles avec Giancarlo Pedote.
En série, le petit groupe qui se chicane sur la route nord a clairement pris l’ascendant sur le reste de la flotte. Les écarts sont toujours aussi serrés entre les quatre premiers. C’est bien connu la régate au contact est le meilleur aiguillon pour faire avancer son bateau.
Du côté des Sables d’Olonne, c’est donc l’abandon définitif pour Becky Scott (Artemis). La jeune Britannique, après avoir fait tourner des routages, a constaté qu’elle n’avait guère de chance d’arriver avant le 11 voire le 12 août à Horta pour un retour le 14. Naviguer en queue de flotte sans la proximité d’un bateau accompagnateur pour ne même pas profiter de l’escale n’est guère motivant… Becky s’est donc résolue à abandonner. C’est peut-être le même raisonnement que s’est tenu Julien Marcelet (Hissons les Voiles en Nord Pas-de-Calais) : depuis le milieu d’après-midi il fait route directe sur Les Sables d’Olonne. Avec les démâtages de Hugo Plantet (FT Marine) et Renaud Mary (www.runo.fr) c’est actuellement la flotte des bateaux de série qui paie le plus lourd tribut aux conditions difficiles rencontrées depuis le départ.
Classement au 31 juillet à 16h (TU+2)
Prototypes :
1 Prysmian – Giancarlo Pedote, à 1018,7 milles de l’arrivée
2 Follow Me – Milan Kolacek, à 0,7 milles
3 La Tortue de l’Aquarium La Rochelle – Aymeric Chappellier à 2,8 milles
4 Fondation terrevent.org – Nicolas Boidevezi, à 7,6 milles
5 benoitmarie.com – Benoît Marie, à 37,4 milles
Série :
1 Tout le Monde Chante contre le Cancer – Aymeric Belloir à 924,3 milles de l’arrivée
2 Team Work – Justine Mettraux, à 0,4 milles
3 Althing – Ian Lipinski, à 1,3 milles
4 Go 4 It – Simon Koster, à 2,1 milles
5 Groupe Accueil Négoce, à 7,4 milles
Mais comment faire quand on est sans récepteur satellite, sans cartes météo ? Une seule solution, observer les évolutions du vent, les nuages et veiller très attentivement le baromètre qui risque d’être le meilleur juge de paix dans les prochains jours. En clair, il faut savoir attendre avant de prendre une décision qui aurait un caractère irrévocable.
Finisterre dans la mire
Visiblement quelques uns n’ont pas ces états d’âme. Il y a d’abord ceux qui pour l’heure n’ont d’autre préoccupation que de pouvoir doubler la pointe de l’Espagne. C’est le cas de quelques concurrents qui n’ont pas pu ou su gagner suffisamment dans l’ouest à l’instar de Damien Audrain (Stered Lostek) ou Yoann Tricault (C-possible) en série. Ces deux-là emmènent respectivement un petit groupe dans leur sillage, mais ne devront leur salut qu’à un retour des vents au sud-sud-ouest ou à une accélération du vent le long des côtes de Galice. Même cas de figure en proto pour Etienne Bertrand (Chasseur de Primes) qui compte malgré tout plus de cent milles de retard sur Giancarlo Pedote (Prysmian) toujours leader. Benoît Marie (benoitmarie.com) semble avoir d’ores et déjà choisi son camp puisqu’il file sur une route plein sud à près de dix nœuds de moyenne, acceptant de perdre du gain au vent. A moins que le gaillard n’ait pas dévoilé un souci technique et qu’il compte s’arrêter pour réparer dans un port de la côte espagnole. S’il ne s’agit que d’un choix stratégique, Benoît est en bonne position pour gagner le prix de la radicalité audacieuse…
Position stratégique confortable
Pour les hommes du nord, la situation est plus simple. Bien calés au vent, ils peuvent voir venir. En fonction de la météo, ils pourront toujours ouvrir un peu les écoutes ou bien au contraire, décider de serrer le vent pour gagner dans l’ouest. C’est le pari qu’ont fait Milan Kolacek (Follow Me) et Aymeric Chappellier (La Tortue de l’Aquarium La Rochelle) qui comptent maintenant un écart latéral de près de 50 milles avec Giancarlo Pedote.
En série, le petit groupe qui se chicane sur la route nord a clairement pris l’ascendant sur le reste de la flotte. Les écarts sont toujours aussi serrés entre les quatre premiers. C’est bien connu la régate au contact est le meilleur aiguillon pour faire avancer son bateau.
Du côté des Sables d’Olonne, c’est donc l’abandon définitif pour Becky Scott (Artemis). La jeune Britannique, après avoir fait tourner des routages, a constaté qu’elle n’avait guère de chance d’arriver avant le 11 voire le 12 août à Horta pour un retour le 14. Naviguer en queue de flotte sans la proximité d’un bateau accompagnateur pour ne même pas profiter de l’escale n’est guère motivant… Becky s’est donc résolue à abandonner. C’est peut-être le même raisonnement que s’est tenu Julien Marcelet (Hissons les Voiles en Nord Pas-de-Calais) : depuis le milieu d’après-midi il fait route directe sur Les Sables d’Olonne. Avec les démâtages de Hugo Plantet (FT Marine) et Renaud Mary (www.runo.fr) c’est actuellement la flotte des bateaux de série qui paie le plus lourd tribut aux conditions difficiles rencontrées depuis le départ.
Classement au 31 juillet à 16h (TU+2)
Prototypes :
1 Prysmian – Giancarlo Pedote, à 1018,7 milles de l’arrivée
2 Follow Me – Milan Kolacek, à 0,7 milles
3 La Tortue de l’Aquarium La Rochelle – Aymeric Chappellier à 2,8 milles
4 Fondation terrevent.org – Nicolas Boidevezi, à 7,6 milles
5 benoitmarie.com – Benoît Marie, à 37,4 milles
Série :
1 Tout le Monde Chante contre le Cancer – Aymeric Belloir à 924,3 milles de l’arrivée
2 Team Work – Justine Mettraux, à 0,4 milles
3 Althing – Ian Lipinski, à 1,3 milles
4 Go 4 It – Simon Koster, à 2,1 milles
5 Groupe Accueil Négoce, à 7,4 milles
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Les Sables Info
On prend les mêmes et on recommence en tête de flotte des bateaux de série engagés dans la première étape des Sables-Les Açores-Les Sables. Après trois jours de course, Aymeric Belloir et quelques uns de ses plus coriaces concurrents ouvrent toujours la route à vue les uns des autres dans un vent d'ouest, sud-ouest de 17-18 noeuds…. Après avoir mis cap à l'ouest dans des brises contraires qui ne favorisent une progression rapide, ce petit groupe des quartiers nord de l’orthodromie (route directe) a pu, en sortie de front la nuit dernière, enclencher un virement de bord pour mettre du sud dans sa trajectoire en direction du cap Finisterre…
Le moins que le puisse dire, c'est que ces premiers de cordée ne se lâchent pas d'une semelle. Alors qu'il pointent à plus de 370 milles au large de l'embouchure de la Gironde, Aymeric Belloir et ses plus proches poursuivants naviguent comme s'ils régataient en baie… Ou comme s'ils disputaient la célèbre Solitaire du Figaro, cette incontournable classique de la course au large à bord de bateaux tous strictement identiques, sur laquelle l’imperturbable leader depuis le départ a forgé, le temps de trois participations, son solide tempérament de compétiteur.
Collés-serrés sur l’eau, promiscuité dans les classements
Ce mercredi après-midi, les deux Suisses Justine Mettraux (Team Work) et Simon Koster (Go4it), tous deux vissés à la barre d'un Nacira, ainsi que l'Anglo-Saxon Ian Lipinski (Althing) engagé à bord d'un Pogo 2, progressent collés-serrés dans un mouchoir de 2 milles aux trousses de Tout le monde chante contre le cancer. Cette promiscuité dans les classements constitue la meilleure garantie pour affiner les réglages, soigner la trajectoire et optimiser la vitesse. Elle impose aussi un rythme des plus soutenus, dans des conditions qui, si elles n'ont rien de dantesques, ne s'en revèlent pas moins très sélectives.
Dans une brise contraire et sur les eaux mal pavées du golfe de Gascogne, le bateau tape et les organismes sont soumis à rude épreuve… Pas de plaisir de la glisse qui tienne, place plutôt à la rigueur d'une laborieuse progression à la gîte. Encore aux avant postes hier, à une jetée de mille dans le tableau arrière d'Aymeric, Renaud Mary (www.runo.fr), l'un des gros favoris sur les rangs, en a malheureusement fait le frais. Alors que le vent commençait à forcir au passage d'un front corsant copieusement l'affaire, il a été victime d'un démâtage hier en début de soirée.
L’honneur est dans le près
D'après les dernières prévisions, le plus dur est désormais dans les sillages. Pour autant, à la vue des fichiers de vents, ce n’est pas encore demain la veille qu’Aymeric et ses acolytes solitaires des Sables-Les Açores-Les Sables vont pouvoir franchement lâcher les écouter pour goûter à l’ivresse de la vitesse à bord de leur petite fusée à voiles de 6,50 mètres. En ce début de course avec plus de 900 milles à parcourir pour rallier Horta, force est de constater, qu’à défaut de bonheur, c’est bien l’honneur qu’il faut d'abord sauver dans le près…
Classement Séries – 1ère étape Les Sables-Les Açores - Mercredi 1er août, 16h :
1 – Aymeric Belloir (Tout le monde chante contre le cancer), à 924 milles de l’arrivée
2 – Justine Mettraux (Team Work), à 0,4 mille du premier
3 – Ian Lipinski (Althing), à 1,3 mille du premier
4 – Simon Koster (GO4it), à 2,1 milles du premier
5 – Clément Bouyssou (Groupe Accueil Négoce), à 7,1 milles du premier…
Pour suivre la course :
www.lessables-lesacores.com
www.cap56.org
Collés-serrés sur l’eau, promiscuité dans les classements
Ce mercredi après-midi, les deux Suisses Justine Mettraux (Team Work) et Simon Koster (Go4it), tous deux vissés à la barre d'un Nacira, ainsi que l'Anglo-Saxon Ian Lipinski (Althing) engagé à bord d'un Pogo 2, progressent collés-serrés dans un mouchoir de 2 milles aux trousses de Tout le monde chante contre le cancer. Cette promiscuité dans les classements constitue la meilleure garantie pour affiner les réglages, soigner la trajectoire et optimiser la vitesse. Elle impose aussi un rythme des plus soutenus, dans des conditions qui, si elles n'ont rien de dantesques, ne s'en revèlent pas moins très sélectives.
Dans une brise contraire et sur les eaux mal pavées du golfe de Gascogne, le bateau tape et les organismes sont soumis à rude épreuve… Pas de plaisir de la glisse qui tienne, place plutôt à la rigueur d'une laborieuse progression à la gîte. Encore aux avant postes hier, à une jetée de mille dans le tableau arrière d'Aymeric, Renaud Mary (www.runo.fr), l'un des gros favoris sur les rangs, en a malheureusement fait le frais. Alors que le vent commençait à forcir au passage d'un front corsant copieusement l'affaire, il a été victime d'un démâtage hier en début de soirée.
L’honneur est dans le près
D'après les dernières prévisions, le plus dur est désormais dans les sillages. Pour autant, à la vue des fichiers de vents, ce n’est pas encore demain la veille qu’Aymeric et ses acolytes solitaires des Sables-Les Açores-Les Sables vont pouvoir franchement lâcher les écouter pour goûter à l’ivresse de la vitesse à bord de leur petite fusée à voiles de 6,50 mètres. En ce début de course avec plus de 900 milles à parcourir pour rallier Horta, force est de constater, qu’à défaut de bonheur, c’est bien l’honneur qu’il faut d'abord sauver dans le près…
Classement Séries – 1ère étape Les Sables-Les Açores - Mercredi 1er août, 16h :
1 – Aymeric Belloir (Tout le monde chante contre le cancer), à 924 milles de l’arrivée
2 – Justine Mettraux (Team Work), à 0,4 mille du premier
3 – Ian Lipinski (Althing), à 1,3 mille du premier
4 – Simon Koster (GO4it), à 2,1 milles du premier
5 – Clément Bouyssou (Groupe Accueil Négoce), à 7,1 milles du premier…
Pour suivre la course :
www.lessables-lesacores.com
www.cap56.org
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Les Sables d'Olonne Info
Eric et les berniques sont les Maîtres dans l'art de faire rire en chansons.
Si la musique adoucit les mœurs, elle peut aussi sacrément muscler les zygomatiques et on peut dire qu'Eric et les Berniques sont passés maîtres dans l'art de faire rire en chansons. Avec humour et lucidité, Eric et les Berniques se moquent de tout, de vous et surtout d’eux-mêmes, à travers un spectacle hilarant, tout en finesse.
Avec Eric (guitare, chant) méprisant avec conviction la mauvaise foi d'Arnaud (basse, guitare électrique), la naïveté de Gaëlle (chant) et l'insouciance de Morguy (batterie)
Ils ont participé au Festival Juste pour Rire de Nantes en 2006 et 2007 et ils ont eu le prix du public des "Beaux Débuts" à la Roche sur Yon en 2008.
Gratuit
Avec Eric (guitare, chant) méprisant avec conviction la mauvaise foi d'Arnaud (basse, guitare électrique), la naïveté de Gaëlle (chant) et l'insouciance de Morguy (batterie)
Ils ont participé au Festival Juste pour Rire de Nantes en 2006 et 2007 et ils ont eu le prix du public des "Beaux Débuts" à la Roche sur Yon en 2008.
Gratuit
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Les Sables Info
C'est une comédie moderne écrite et mise en scène par Leslie Bevillard.
Le temps d’une soirée, une fête surprise qui devait être mémorable vire au cauchemar…
Il y a un cadavre dans le frigo !!! D’accusations en crêpages de chignon, en passant par l’hystérie et la panique la plus totale, les filles se retrouvent au milieu d’un tourbillon qu’elles ne maîtrisent plus. L’amitié entre ces trois copines, une star montante, une styliste gay et une femme de footballeur, va être mise à rude épreuve. Avec des dialogues percutants et des comédiennes investies, la combinaison est détonante. En bref un sujet drôlement inattendu !
En cas d'intempéries les spectacles sont déplacés à l'auditorium Saint-Michel.
Renseignement au 06 16 28 62 28 ou http://www.lesouffleurdarundel.fr/
Tarif réduit : 10 €, tarif plein : 12 €, gratuit pour les enfants de -12ans.
Mercredi 01 août 2012 Tour d'Arundel, La Chaume à partir de 21h00.
Il y a un cadavre dans le frigo !!! D’accusations en crêpages de chignon, en passant par l’hystérie et la panique la plus totale, les filles se retrouvent au milieu d’un tourbillon qu’elles ne maîtrisent plus. L’amitié entre ces trois copines, une star montante, une styliste gay et une femme de footballeur, va être mise à rude épreuve. Avec des dialogues percutants et des comédiennes investies, la combinaison est détonante. En bref un sujet drôlement inattendu !
En cas d'intempéries les spectacles sont déplacés à l'auditorium Saint-Michel.
Renseignement au 06 16 28 62 28 ou http://www.lesouffleurdarundel.fr/
Tarif réduit : 10 €, tarif plein : 12 €, gratuit pour les enfants de -12ans.
Mercredi 01 août 2012 Tour d'Arundel, La Chaume à partir de 21h00.
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