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La grande arrivée est toujours prévue pour ce dimanche (demain !) dans la matinée, entre 5 et 10 h du matin.


Il arrive !
Alors qu'Alessandro Di Benedetto (Team Plastique) navigue encore à plus de 5000 milles de l'arrivée, malgré une belle progression sur son plan Finot-Conq à quille fixe de 1998, François Gabart (MACIF) et Armel Le Cléac'h (Banque Populaire) attaquent les derniers milles d'une giration à vitesse grand V. Les Sables d'Olonne ne sont désormais plus qu'à une journée de mer. Alex Thomson (Hugo Boss) a incurvé sa route pour surveiller Jean-Pierre Dick (Virbac Paprec 3) lors du passage d'un front pendant que derrière le reste de la flotte poursuit sa remontée de l'Atlantique, avec le retour prévu de Dominique Wavre (Mirabaud) dans l'hémisphère nord en milieu de matinée.

Avec toujours 100 milles d'écart, François Gabart (MACIF) et Armel Le Cléac'h (Banque Populaire) progressent ce matin toujours à bonne allure en direction des Sables d'Olonne. Poussés par un vent d'ouest-nord-ouest d'une vingtaine de nœuds, qui a basculé au sud-sud-ouest, les deux jeunes marins filent à respectivement 14 et 17 nœuds depuis cette dernière heure. Le leader a empanné cette nuit vers une heure du matin. Son fidèle poursuivant avait effectué la même manœuvre un peu plus tôt dans la matinée d'hier (5 h 30 du matin), ce qui lui a permis de faire route directe depuis, avec une vitesse sensiblement supérieure depuis le dernier classement de 20 h, avec 137,4 milles parcourus à 15 noeuds de moyenne contre 107 pour François Gabart (soit 11,7 nœuds de moyenne). Reste que les chances pour le skipper de Banque Populaire de reprendre la tête sont maintenant liées à des facteurs autres que ceux de la stratégie météorologique puisque la situation est maintenant claire jusqu'à l'arrivée, à savoir un vent de sud-sud-ouest fraîchissant jusqu'à 30 nœuds qui va basculer à l'ouest-nord-ouest (25 noeuds), impliquant pour les deux hommes un dernier empannage. C'est une course de vitesse dans une houle de plus de 4 mètres qui va maintenant faire les dernières heures de ce sprint planétaire...avant la grande arrivée, toujours prévue pour ce dimanche (demain !) dans la matinée, entre 5 et 10 h du matin.

Alex Thomson, prévenant troisième

A 130 milles dans le sud-ouest des Açores, Alex Thomson (Hugo Boss) a incurvé sa route pour se rapprocher de Jean-Pierre Dick (Virbac Paprec 3), qu'il vient de doubler ce matin. Si le skipper niçois, à 40 milles dans l'est du Gallois, est parvenu jusque-là, malgré la perte totale de sa quille, a progresser sans trop d'encombres, les conditions météorologiques qui se durcissent actuellement, avec un flux de 25-30 nœuds de sud-ouest pourraient rendre les effets de cette avarie beaucoup plus compliqués à gérer, dans le froid du vent et la mer démontée. Le geste du skipper gallois est à saluer, applaudir même. Il montre toute la solidarité, nécessaire, de ces marins solitaires mais solidaires qui doivent assurer seuls au milieu des océans leur propre sécurité, mais également celle de leurs partenaires de course et d'aventure. L'histoire du Vendée Globe est jalonnée de ces moments héroïques qui donnent à cet course ce caractère si fort et singulier, quand l'adversaire devient la mer et que le concurrent d'hier celui que l'on doit sauver. Ces dispositions prises par Alex Thomson sont heureusement pour l'instant seulement préventives et ce coup de vent sera pour Jean-Pierre Dick l'occasion de se faire une dernière opinion de ce que sa nouvelle configuration de navigation peut lui permettre de supporter. Il s'est donné jusqu'à demain pour prendre une décision...

Dominique Wavre dans l'Atlantique Nord ce matin

Pendant que Jean Le Cam (SynerCiel), cinquième, et Mike Golding (Gamesa), sixième à une centaine de milles l'un de l'autre glissent paisiblement dans un alizé de nord-est d'une quinzaine de noeuds, après s'êtres extirpés des calmes du pot au noir, le Suisse Dominique Wavre (Mirabaud) s'apprête à franchir l'équateur, aux alentours de 10 h ce matin. Un passage synonyme de délivrance pour ce groupe de marins très expérimentés qui de leurs propres aveux, n'avaient jamais traversé un Atlantique Sud aussi désagréable et compliqué. A 50 milles de l'île Fernando de Noronha, Arnaud Boissières (Akena Vérandas) poursuit sa remontée dans un vent d'est de 15 nœuds, à près de 3000 milles du leader, 120 milles devant l'Espagnol Javier Sanso (Acciona 100 % EcoPowered). Les deux marins devraient bénéficier de ce bon flux toute la journée.

Du près à l'arrière

Après une très belle remontée de l'Atlantique Sud, Bertrand de Broc (Votre Nom autour du Monde avec EDM Projets) est maintenant freiné, au près dans un vent de nord-est qui l'empêche de faire route directe vers le nord, tout comme Tanguy de Lamotte (Initiatives-coeur), 350 milles dans son sillage. Pour Alessandro Di Benedetto (Team Plastique), la progression est encore plus difficile, face au vent dans un puissant flux de nord d'une trentaine de nœuds. Dans le sillage exact des deux leaders qui s’apprêtent à bientôt franchir la ligne d'arrivée, à 4470 milles de son étrave, le skipper franco-italien poursuit sa course, faite de blessures, d'avaries, d'enthousiasme et de plaisir, de formidables moments de mer qui se plait à partager avec le charme qu'on lui connait. Pour les premiers, la boucle se termine, pour les derniers l'aventure est loin d'être terminée. Tant mieux !
Rédigé par le Samedi 26 Janvier 2013 à 08:29 Facebook Twitter LinkedIn Viadeo Pinterest
François Gabart a franchi le cap Horn
Mardi 1er janvier, à 18h20 TU (19h20, heure française), François Gabart (Macif) a franchi le cap Horn en tête après 52 jours, 6 heures et 18 minutes de course.



Dans des conditions délicates (visibilité inférieure à deux milles) à l'avant d'un front qui le poursuit, François Gabart a franchi en tête le cap Horn en ce premier jour de l'année 2013, après 52 jours, 6 heures et 18 minutes de course. A la barre de son monocoque Macif, le plus jeune skipper de la flotte (29 ans) améliore ainsi le temps record de son parrain Michel Desjoyeaux (56j15h08') de 4 jours, 8 heures et 50 minutes.



Les conditions de navigation sur zone, trop difficiles au moment du passage du Horn, n'ont pas permis de joindre le marin charentais pour recueillir ses premières impressions de nouveau cap-hornier.



Michel Desjoyeaux (double vainqueur du Vendée Globe, parrain de François Gabart)
« J'ai eu François de façon brève, par échange de SMS parce qu'il est au bout du monde. Il reçoit les SMS par iridium, c'est plus simple pour lui de communiquer de cette façon. Il me dit que sa visibilité est inférieure à 2 milles soit 3,5 km. Il se situe à l'avant d'un front qui le poursuit, il me dit que pour la visio on verra plus tard. Je suis d'accord avec lui, il a autre chose à faire. Il y a une partie riche en émotion dans ce passage du Horn, de revenir à proximité de la terre ferme, mais je pense qu'en ce moment, il n'a même pas le temps d'en profiter puisque les données fournies par CLS montrent qu'il y a de la glace partout. Nous, à terre, on n'a pas de vision assez précise de tous les glaçons qu'il y a là-bas. François a besoin d'être présent sur le pont, de faire une veille visuelle, la chance c'est que derrière ce cap, il y a un peu moins de houle, ce qui devrait lui permettre de voir les petits glaçons. Je pense que lui et Armel vont se diriger vers la Terre de Feu, mais il ne faut pas passer trop près de la côte... Titouan Lamazou avait failli perdre son Vendée Globe à cet endroit là car il y une brusque remontée des fonds. »



Denis Horeau (directeur de course)
« La météo est difficile, le vent passe de 15 à 40 noeuds, la mer est dure, la visibilité réduite. En plus, c'est un moment exceptionnel pour lui, il se concentre entièrement au passage de ce cap. »


Rédigé par La Voile en Vendée le Mercredi 2 Janvier 2013 à 18:55 Facebook Twitter LinkedIn Viadeo Pinterest La Voile en Vendée

Ce Vendée Globe est en train de consacrer les maîtres de la planification, les ingénieurs de la performance sportive. Fluidité des trajectoires, maîtrise du matériel, entrainement sportif rigoureux sont quelques unes des clés de la réussite des leaders.


Armel Le Cléac’h (Banque Populaire) et François Gabart (MACIF) vont pouvoir s’envoler à nouveau,
Décidément, la bonne fortune semble devoir accompagner les leaders de ce Vendée Globe 2012-2013. Alors que, de Jean Le Cam (SynerCiel) à Javier Sanso (Acciona 100% EcoPowered), le peloton devrait subir un nouveau coup d’arrêt en traversant une petite dorsale, Armel Le Cléac’h (Banque Populaire) et François Gabart (MACIF) vont pouvoir s’envoler à nouveau, poussés par des vents forts générés par une petite dépression qui s’est formée en mer de Tasmanie. Un autre centre de basses pressions accompagne déjà Tanguy de Lamotte (Initiatives-cœur), Bertrand de Broc (Votre Nom autour du Monde avec EDM Projets) ainsi qu’Arnaud Boissières (Akena Vérandas). Il devrait rattraper le reste du peloton et provoquer un resserrement relatif des positions. Dominique Wavre (Mirabaud) ainsi que Mike Golding (Gamesa) devraient donc, tout à la fois, se réjouir de revenir en partie sur Jean Le Cam et déplorer de voir leurs poursuivants réduire l’écart.


Entre les deux leaders, la lutte ne baisse toujours pas d’intensité : trajectoires au cordeau, optimisation du plan de voilure, les deux adversaires se rendent coup pour coup. Même leur communication reste sous contrôle, quand ils avouent du bout des lèvres avoir, eux aussi, leur comptant de plantés de vagues. On ne dévoile pas ses faiblesses à la concurrence

Coques en vrac
Pour autant devant, les choses ne seront pas forcément simples. Pour Jean-Pierre Dick (Virbac-Paprec 3), Alex Thomson (Hugo Boss) et Bernard Stamm (Cheminées Poujoulat), la course poursuite risque de comporter encore quelques figures de styles. Retrouver le bateau en vrac suite à un planté magistral dans une vague, peut révéler des caractères fort contrastés, du méthodique qui prendra patiemment le temps de tout remettre en état dans l’ordre, à l’énervé qui, à la manière du capitaine Haddock, s’en prendra à la mer entière et traitera les éléments de « coloquinte, courge » ou autre cucurbitacée.


Tous les concurrents, de plus ou moins bon gré, finissent par l’avouer. Le départ au tas est une des composantes de la navigation dans les mers du sud. Aujourd‘hui les bateaux sont menés à près de 100% de leur potentiel et chaque arrêt buffet est aussi une contrainte supplémentaire infligée au matériel. Jusqu’en 2008-2009, on abordait encore les mers du sud avec la volonté affichée d’en garder sous le pied, partant du principe que le matériel a de la mémoire. Depuis la victoire de Michel Desjoyeaux, les hommes de tête considèrent maintenant qu’un bateau doit pouvoir être mené au maximum de sa puissance. C’est une affaire de confiance dans la conception de la machine, dans la qualité des constructions. A ce titre, les deux bateaux de tête, construits chez CDK à Port-la-Forêt, dans un des chantiers les plus réputés en la matière, s’ils passent l’examen des mers du sud sans encombre, auront montré qu’un grand pas aura été fait en la matière.

L’ascension de JP
Il reste que personne n’est à l’abri d’un incident technique pouvant handicaper la marche du bateau. Jean-Pierre Dick, aux prises avec ce que l’on suppose être un souci de hook de foc et de gennaker de capelage, a dû faire l’ascension de son mât sur une bonne vingtaine de mètres pour réparer. Avec au final, deux heures d’un travail exténuant pour remettre son voilier en configuration de marche optimale. Jean-Pierre, visiblement épuisé à l’issue de l’exercice, pourra se consoler, en se disant qu’il dispose maintenant d’une machine capable de rivaliser avec les deux leaders. Il n’est après tout qu’à un peu plus d’une journée de route de la tête de course. Tous les espoirs sont donc permis…
Rédigé par La Voile en Vendée le Mercredi 19 Décembre 2012 à 18:07 Facebook Twitter LinkedIn Viadeo Pinterest La Voile en Vendée

Alessandro di Benedetto (Team Plastique) à 450 milles de Tristan da Cunha.


Tous derrière… et eux devant !
Décidément, ça passe toujours pour ceux qui sont devant. Les cinq leaders ce matin continuent d’engranger les milles à près de 18 nœuds de vitesse moyenne (Bernard Stamm sur Cheminées Poujoulat a avalé 435 milles en 24 heures). Alors, que derrière, ça commence à freiner. Une dorsale anticyclonique ralentit les trois mousquetaires, Mike Golding (Gamesa), Jean Le Cam (Synerciel) et Dominique Wavre (Mirabaud), malgré leur dextérité à mener leur bateau.

Armel Le Cléac’h (Banque Populaire) reste leader ce matin, cap sur la deuxième porte des glaces, qu’il devrait atteindre dès demain. 430 milles le séparent de la porte Crozet. Autant dire que ça va vite, très vite pour les quatre premiers du classement poussés par 25 nœuds de vent. François Gabart (Macif), non localisé à 4 H TU, était à la troisième place au classement de 3 h TU à 10 milles derrière Jean-Pierre Dick (Virbac Paprec 3). Le Suisse, Bernard Stamm (Cheminées Poujoulat) continue de se rapprocher du trio de tête. Sur son IMOCA signé de l’architecte Farr datant de la génération 2008, Alex Thomson (Hugo Boss) réalise une superbe course. Il talonne les bateaux de dernière génération avec audace. Et tente des coups… Alors qu’Armel Le Cléac’h (Banque Populaire) est positionné au nord du peloton de tête, l’anglais pointe au sud-est pour toucher encore plus de vent venu d’une dépression du sud. Objectif : conserver un angle d’attaque idéal.

Coup de frein

Frustrant. Agaçant. Rageant. On imagine ce qui leur passe par la tête. Mike Golding (Gamesa), Jean Le Cam (Synerciel) et Dominique Wavre (Mirabaud) ont beau se démener pour ne pas augmenter l’écart avec la tête du peloton, ils ne peuvent rien contre le ciel ! Une bulle anticyclonique les rattrape et fait chuter les vitesses. 8 nœuds de vent ce matin, de quoi de se taper la tête contre une cloison… Bonne Espérance est encore à 150 milles. Ce matin 450 milles séparaient Mike Golding (Gamesa) de son compatriote Alex Thomson (Hugo Boss). Un chiffre qui devrait encore augmenter dans les prochaines heures. L’Espagnol Javier Sanso (Acciona 100% EcoPowered) demeure bien mal en point lui aussi. Malgré tous ses efforts, l’anticyclone continue de lui coller au train. Il affiche ce matin la vitesse la plus basse du classement : 7,7 nœuds en moyenne sur les dernières 24 heures… Il tente une option très sud pour trouver du vent.

Le bonheur de naviguer…


Sourire retrouvé pour les quatre skippers de l’arrière de la flotte. Enfin les belles glissades, le bonheur de naviguer dans des conditions plus musclées. Arnaud Boissières (Akena Vérandas), Bertrand de Broc (Votre nom autour du monde avec EDM Projets) et Tanguy de Lamotte (Initiatives Cœur) cavalent désormais, cap sur la porte des Aiguilles. 19,5 noeuds pour Bertrand de Broc, le plus rapide du classement ce matin ! Inutile de préciser que l’Italien Alessandro di Benedetto (Team Plastique) vit une course de rêve sur son plan Finot de 1998, finalement bien plus confortable qu’un Mini Transat 6,50 ! Contemplatif et curieux, nul doute qu’il nous donnera des infos sur cette île mystérieuse de Tristan da Cunha à 450 milles devant son étrave…
Rédigé par le Mercredi 5 Décembre 2012 à 16:13 Facebook Twitter LinkedIn Viadeo Pinterest
A peine 70 milles séparent Armel Le Cléac’h (Banque Populaire) de Jean-Pierre Dick (Virbac Paprec 3). François Gabart (Macif)
Les écarts entre les concurrents s’amoindrissent. A peine 70 milles séparent Armel Le Cléac’h (Banque Populaire) de Jean-Pierre Dick (Virbac Paprec 3). François Gabart (Macif), quant à lui, recolle au tableau arrière du skipper niçois à moins de 20 milles. La course-poursuite continue entre les huit bateaux de tête, tandis qu’à l’arrière, le mot d’ordre demeure « vitesse » pour passer avant la fin du front, synonyme de vent faiblard.

L’île de Tristan da Cunha est en vue ! Ce matin aux alentours de 8h00, heure française, la tête de flotte croise ce bout de terre au milieu de l’Atlantique Sud. François Gabart (Macif), toujours aussi enthousiaste de réaliser son premier Vendée Globe, envoie ce petit message : « J’espère pouvoir venir en croisière m’arrêter chez vous un jour pour faire plus ample connaissance. Je suis persuadé que pour vivre sur une île comme celle-ci vous devez avoir plein d’histoires à raconter ! ». Bâbord amure, avec un vent soutenu et bien établit (entre 17 et 20 nœuds), les IMOCA filent à vive allure vers la porte des Aiguilles située à près de 1200 milles, qu’ils devraient atteindre d’en moins de quatre jours, pour les premiers.


Jean-Pierre Dick (Virbac Paprec 3), pied au plancher était à 20 nœuds hier soir. Ce matin, il avait engrangé 456,8 milles. La magie du Vendée Globe bat son plein avec des skippers tentés de grappiller des milles au leader Armel Le Cléac’h (Banque Populaire), tout en ménageant leurs montures avant d’entrer dans le vif du sujet. Force est de constater que désormais les routes convergent : de 400 milles d’écart en latéral entre Virbac Paprec 3 et Banque Populaire, la distance ce matin n’est plus que de 200 milles. Derrière les trois premiers (Armel Le Cléac’h, Jean-Pierre Dick et François Gabart), les cinq chasseurs ne lâchent rien. Bernard Stamm (Cheminées Poujoulat) reprend la place de quatrième à Alex Thomson (Hugo Boss), tandis que Jean Le Cam (Synerciel), Mike Golding (Gamesa) et Dominique Wavre (Mirabaud) restent bien dans le tempo avec des vitesses au compteur jamais en dessous de 17 nœuds.

La vitesse coûte que coûte

En queue de flotte, la musique ne joue pas tout à fait sur le même rythme. Alessandro Di Benedetto (Team Plastique) devrait toucher du vent mollissant, tandis que Bertrand de Broc (Votre Nom Autour du Monde avec EDM Projets), Tanguy De Lamotte (Initiatives Cœur) et Arnaud Boissières (Akena Vérandas) font face actuellement à un petit manque de pression qui ne leur permet pas de recoller au paquet de tête. Seul Javier Sanso (Acciona 100% EcoPowered) semble jouer les électrons libres entre les deux groupes, avec une vitesse de 17,3 nœuds. Le Vendée Globe est un course au large qui prend en ce moment des airs de régate autour de trois bouées….

Rédigé par La Voile Info le Vendredi 30 Novembre 2012 à 10:35 Facebook Twitter LinkedIn Viadeo Pinterest La Voile Info
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Départ du Vendée Globe le 10 novembre 2012


Transat Jacques Vabre: départ le 3 novembre à 13h02