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La flotte de la Transgascogne 6.50 s'est élancée ce mardi peu avant 10h vers l'Espagne. Les orages puis la houle avaient contraint, par deux fois, la direction de course à reporter le départ de cette 14e édition, mais cette fois, ça y est, la compétition bat déjà son plein au cœur du golfe de Gascogne. Les Mini filent à 6 - 7 nœuds au près et de premières options se dessinent déjà.


Ça y est, les 62 concurrents de la Transgascogne 6.50 sont bel et bien en route pour Luanco
Un abandon est à déplorer. Son étrave délaminée suite à une collision juste après le départ, Pierre-François Dargnies (Kairos We - Van) a dû jeter l'éponge. Le duo Erwan et Thierry Le Draoulec impliqué dans cette collision a pu repartir suite à une réparation express : la solidarité entre marins a une fois encore fait des heureux... Deux sur trois, c'est déjà ça.

Hautes pressions en question
En mer, les ministes sont immédiatement entrés dans le vif du sujet. 15 à 20 nœuds établis d'ouest sud-ouest, un peu de mer et une bulle anticyclonique droit devant : les marins avaient de quoi s'occuper la tête et les jambes dès les premières heures de course.

La brise qui souffle actuellement au large des côtes vendéennes va faiblir en fin de journée à 5 nœuds. Cette nuit, les concurrents vont devoir contourner ou tenter de traverser cette petite zone de hautes pressions, centrée sur le sud du golfe de Gascogne. Ce système devrait cependant se décaler rapidement dans l'est et, dès demain matin, un flux de secteur est devrait souffler dans les voiles : les spis seront de sortie !

La cuiller basque
Dès le départ, les coureurs ont donc fait leur choix : aller au plus court quitte à passer par une case « sans vent » ou contourner la bulle par en dessous pour tenter de garder du vent tout le temps. Cette « cuiller basque » (route incurvée, au large de la cote basque), très tentante sur le papier, est en revanche un peu risquée à mettre en œuvre sur l'eau. Il suffit que le système de hautes pressions ralentisse sa progression, et le piège se referme. Mais si ça passe, le bénéfice peut être très intéressant.

Comme toujours en course au large, tout sera question de placement et de timing. Qu'ils soient partisans de l'ouest ou adeptes de l'option sud, les coureurs garderont donc un œil sur leur baromètre cette nuit, seul indicateur de la progression de ce fameux anticyclone. Ils pourront réajuster un peu leur cap, mais il leur faudra assumer leur option, quoi qu'il arrive.

Déjà des écarts latéraux
Après cinq heures de course, 5 milles séparent déjà Julien Pulvé (Chasseur de primes) le prototype le plus à l'ouest, d'Arthur Léopold Léger (Delcroix - Mécénat chirurgie cardiaque) le plus est. Tous deux filent à 7 nœuds, dans des conditions de vent similaires. Entre ces deux (relatifs) extrémistes, cinq autres solitaires progressent sur une même ligne : Bertrand Delesne (Tem Work), Gwénolé Gahinet (Logways-Watever), Louis Segre (Roll my chicken), Jorg Riechers (Mare) et Nicolas Boidevezi (C'est pas la mer à boire).


En bateaux de série, à des vitesses proches de 6 nœuds, Yannick Le Clech (Daoulic) le plus ouest, évolue à 4 milles de Ian Lipinski (Pas de futur sans numérique), le plus est. Entre eux, en ligne, là aussi, quatre concurrents à l'attaque : Bert Bossyns (Net Werk), Eric Cochet (Aber & Co), Justine Mettraux (Team Work) et Sylvain Leboeuf (Match Box).
Mais c'est pour l'instant Damien Cloarec (Lomig) qui a pris les devants des bateaux de série, sur une route médiane.


Nuit décisive ?
La nuit qui approche devrait donc être décisive, les décalages est/ouest vont-ils s'accentuer ? Les coureurs vont-ils jouer la prudence et rester sur des routes médianes ? L'anticyclone va-t-il passer rapidement ou pas ? Premières réponses demain matin... Et premières arrivées dès demain soir à Luanco.

Suivez la course : http://transgascogne.geovoile.com/2013/
Rédigé par le Mardi 30 Juillet 2013 à 16:57 Facebook Twitter LinkedIn Viadeo Pinterest

Le départ de la 14e édition de la Transgascogne 6.50 sera lancé ce lundi, à 20h, dans des conditions musclées, mais maniables. Le front orageux soufflant depuis hier sur le golfe de Gascogne avait contraint la direction de course à reporter le lancement de cet aller-retour entre la Vendée et l'Espagne.


La brise (20 nœuds annoncés) sera encore soutenue ce soir au large de Port Bourgenay, au moment du coup d'envoi de la Transgascogne 6.50. Et ce vent qui souffle depuis samedi sur le golfe de Gascogne a levé une houle de 2 à 3 mètres, particulièrement sensible à proximité des côtes vendéennes... Les 63 concurrents de la Transgascogne 6.50 se préparent à un départ plutôt sportif !

En profiter pour dormir

Au près, dans la nuit, l'étrave va cogner dans les vagues, le bateau sera gîté, les embruns vont balayer le pont... en solitaire comme en double, la mise en jambe de cette première étape vers Luanco sera physique et technique. Et ce flux d'ouest qui souffle actuellement sur les côtes vendéennes restera soutenu pendant environ 24h.
Heureusement, au près, le bateau est équilibré et bien calé dans le lit du vent : les pilotes automatiques pourront prendre le relais des marins. Ces derniers auront en effet besoin de se reposer au maximum en vue d'une bulle anticyclonique à négocier dans la nuit de mardi à mercredi.

Sur le qui-vive
Paradoxalement, c'est la deuxième nuit de course, dans la "pétole", qui devrait être la plus éprouvante pour les concurrents de la Transgascogne 6.50 : le vent va faiblir mardi soir, voire s'évanouir complètement pendant quelques heures, avant de revenir, instable, par l'est, en fin de matinée mercredi. Là, plus question de pilote automatique, il faudra régler le bateau le plus finement possible dans des conditions instables, être à l'affut des risées et, surtout, de l'évolution de cette petite bulle anticyclonique pour tenter de s'en extirper au plus vite.

Dès le coup d'envoi, de cette première étape vers Luanco (dans les Asturies en Espagne), les concurrents devront anticiper cette bascule de vent de 180° de façon à se retrouver, le plus frais possible, au bon endroit le moment venu... Des options stratégiques pourraient se dessiner dès les premières heures de course.

Fin à suspens ?
Enfin, à l'approche des côtes asturiennes, une autre bulle anticyclonique risque de stopper net la tête de flotte tandis que leurs poursuivants auront encore du vent... Un nouveau départ, ou tout au moins un solide suspens, sont à prévoir à quelques dizaines de milles de l'arrivée.


Benoit Marie (benoitmarie.com) : « Ça va être une mise en jambe pêchue ! On s'est beaucoup entrainé dans ces conditions-là cet hiver, à Lorient, donc ça ne pose pas de problème. Ce n'est jamais agréable au près, en Mini, par 22 nœuds et plus de 2 mètres de creux, mais cela reste maniable. Ensuite, il faudra être très vigilant dans la molle. La situation n'est pas stable, il faudra être sur le qui-vive pour bien se placer. Il peut y avoir des décalages est/ouest qui pourront créer des écarts à l'arrivée.
J'aime bien la brise, et j'aime bien quand il y a de la stratégie et des situations compliquées donc c'est parfait ! Et c'est super motivant d'aller en Espagne ! »

Elise Bakhoum (Qeramix) : « Partir dans la brise créée toujours une petite appréhension, ça demande une préparation un peu plus poussée, il faut tout anticiper au niveau matériel, avoir dormi et mangé. Mais là, ce sera juste inconfortable, ce n'est pas de la grosse « baston ». Ensuite, il ne faudra pas se laisser surprendre par la zone de transition. Et à l'arrivée, ça peut redistribuer... Rien ne sera joué avant l'arrivée, il faudra avoir de la patience, j'aime bien ce genre de situation.
Je vise le top 10, mais mon objectif est surtout de prendre un rythme de transat, de ne pas me mettre dans le rouge, de bien gérer mon sommeil notamment. »

Hervé Aubry (Voilerie HSD - Ville de Pornichet) : « J'aime bien le près dans la brise, ce départ ce soir c'est une très bonne nouvelle pour moi ! Il faudra se reposer dès cette nuit pour être en forme la nuit suivante dans l'anticyclone. Il faudra sans doute beaucoup manœuvrer et garder un œil sur le baromètre pour voir à quelle vitesse se déplace cette bulle et s'en dégager au plus vite.
L'idée est de créer un peu d'écart dès le départ pour avoir un peu de marge de manœuvre ensuite, car je ne connais pas encore bien ce bateau et je suis moins à l'aise dans le petit temps. Mais globalement ça va aller assez vite. »

Yannick Le Clech (Diaoulic) : « Mon objectif sur cette course est de finir à tout prix pour me qualifier pour la Mini Transat. Je suis surtout là pour valider ma course et ma vitesse. Mais j'aime bien le près, ça va être de belles conditions. D'autant qu'il va falloir anticiper avant le départ si on choisit de contourner la bulle anticyclonique par l'est ou par l'ouest. L'option est semble plus instable, mais plus directe... Et à l'arrivée ce sera compliqué aussi, mais on ne peut pas avoir de prévision fiable là-dessus à 48h.
Il sera donc important de partir devant pour être libre de ses choix de route. »

La Transgascogne 6.50 en chiffres

14e édition
1 parcours inédit de 590 milles, incluant le traditionnel contour de Belle Ile lors de la première étape.
63 concurrents (dont 42 qualifiés à la Mini Transat 2013 et 4 en cours de qualification)
Répartition:
36 bateaux de série solo
20 prototypes solo
8 bateaux de série double
1 prototype double


Programme de la Transgascogne 2013


Lundi 29 juillet
Briefing météo pour les skippers
20h00 - départ de la première étape vers Luanco, en route direct.


Mercredi 31 juillet
Premières arrivées de la flotte à Luanco (Espagne - Asturies)


Samedi 3 aout
Briefing des skippers au musée de mer
12h02 - départ de la deuxième étape vers Port Bourgenay


Lundi 05 aout
Premières arrivées de la flotte à Port Bourgenay
Rédigé par le Lundi 29 Juillet 2013 à 13:48 Facebook Twitter LinkedIn Viadeo Pinterest

63 bateaux prendront le départ de la 14e édition . Les concurrents seront de retour à partir du 5 août dans le port vendéen, après une escale à Luanco prévue entre le 30 juillet et le 3 août.


Port Bourgenay : départ de la Transgascogne dimanche à 12h02
Le départ sera donné le dimanche 28 juillet à 12 h 02 à Port Bourgenay. La Transgascogne continue à écrire une histoire humaine commencée en 1988 avec la création de Port Bourgenay. « Des Italiens, des Belges des Espagnols sont de la partie. C’est une course qui s’est internationalisée » a indiqué Denis Hugue le Directeur de la Course pour la quatrième fois jeudi lors des derniers contrôles de sécurité. Le Port de Luanco dans la province des Asturies en Espagne, est très motivé à l’idée d’accueillir pour la première fois une étape dans son port tout neuf. La convivialité et la bonne humeur, le professionnalisme des organisateurs font que la Transgascogne a su au fil des éditions se faire connaître « Cette course estivale est souvent la dernière possibilité pour de futurs concurrents de la Transat de se comparer aux autres ou de faire partager leur passion à leurs proches ».
Le Syndicat Mixte pour l’aménagement du Talmondais, l’Association pour la Promotion et l’Animation de Port-Bourgenay (APAPB), l’Association nautique de Bourgenau, les juges arbitres, les contrôleurs soit plus d’une 40 de personnes sont sur le pont pour organiser, vérifier la sécurité sur les embarcations La plupart travaillent ensemble sur les événements nautiques qu’accueillent Port Bourgenay C’est toute une organisation locale qui se met en place depuis plusieurs mois. « Les bénévoles, qui travaillent à l’organisation de cette course ont permis de faire connaître Port Bourgenay et ont fortement contribué à sa notoriété » a expliqué Alain Dana le Président de l’ANB qui a participé à la création et au lancement de la Transgascogne. « L’ANB met un point d’honneur au développement des courses nautiques et nous sommes fières de permettre aux jeunes skippers de grandir » Six bateaux accompagnateurs participent à la Transgascogne.
Rédigé par le Vendredi 26 Juillet 2013 à 11:26 Facebook Twitter LinkedIn Viadeo Pinterest

Il a coupé la ligne de la 2e étape à 3h33'16'' ce mardi, soit 1h30'59'' après Thomas Normand (Financière de l'Echiquier), grand vainqueur de ce parcours retour vers la Vendée.


David Raison (Team Work Evolution) remporte la Transgascogne 2011 en prototype !
Dans le sillage de ces deux skippers lorientais, les arrivées vont s'enchaîner toute cette fin de nuit et toute la journée à Port Bourgenay. Les premiers bateaux de série sont attendus en début de matinée.
David Raison (Team Work Evolution), vainqueur de la Transgascogne 2011 en prototype solitaire : « C'était une belle course, je suis vraiment très content !... content pour moi mais aussi pour mes partenaires qui suivent la voile avec passion, et le circuit Mini en particulier depuis 2005. Je suis donc très heureux de leur offrir cette victoire, c'est un juste retour des choses !
Côté stratégie, il faudra que je regarde les tracés pour analyser tout cela mais, en se basant sur les infos météo données par VHF et celles de Radio France, cela suffisait pour tactiquer. Ce n'était pas hyper compliqué.Après, il fallait faire marcher le bateau, travailler sur la vitesse pure... Mon bateau n'est pas spécialement conçu pour le petit temps mais comme il léger, je ne m'en sors pas trop mal. Mais c'est surtout le gros travail réalisé cet hiver avec notre entraineur Tanguy Leglatin qui porte ses fruits.
Avec deux heures d'avance à la première étape, je pouvais nourrir quelques espoirs de victoire mais il y avait beaucoup de concurrents à contrôler. Thomas a fait une très belle course. Il ne s'est pas découragé dans la 1ère étape : malgré son Solent déchiré, il s'est accroché, il a fait réparer en Espagne et là, il gagne l'étape et termine second... Mais il aurait très bien pu gagner aussi ! Je suis très content pour lui !Pour la Transat 6,50, je pars confiant avec un bateau fiabilisé et solide. Je savais déjà qu'il était rapide, on avait fait des speed-test très prometteurs...J'espère ne pas avoir trop de pression au départ de la Transat. La dernière « Mini » que j'ai faite, c'était en 1993, en bateau de série, j'étais un des favoris, ce n'est pas très agréable cette pression là... »

Thomas Normand (Financière de l'Echiquier), vainqueur de la 2e étape en prototype solitaire et 2nd au classement général : « j'ai fait ma course. Je ne voulais pas naviguer en regardant dans le rétroviseur, j'ai tracé ma trajectoire en fonction de mes propres choix.Au début, pendant les 36 premières heures, il a fallu être dessus tout le temps, sans dormir, aux réglages, car le vent était très faible et changeant...Ensuite, sur la deuxième partie de course, on a pu naviguer sous pilote. On a pu se reposer et profiter du large, ce qui est rare en course. Là, c'était génial ! On a vu des cétacés, des globi, des dauphins... ça discutait pas mal à la VHF aussi, c'était vraiment sympa.Thomas1-web.jpgPour la stratégie je me suis beaucoup basé sur le travail réalisé en amont de cette étape. J'ai suivi mes schémas pré-établis mais il a bien sûr fallu s'adapter au fur et à mesure à l'évolution des phénomènes qui ont pas mal changés en cours de route et puis aussi bien sûr contrôler les autres concurrents.Cette victoire d'étape c'est la concrétisation des trois ans de travail. Mon objectif cette saison était de gagner au moins une étape d'une grande course, voilà... c'est fait, je suis super heureux ! Je vais pouvoir partir en vacances la conscience tranquille ! C'est très important psychologiquement, juste avant la Transat, de montrer qu'on est là... »
Rédigé par La Voile en Vendée le Mardi 2 Août 2011 à 12:24 Facebook Twitter LinkedIn Viadeo Pinterest La Voile en Vendée

Grand soleil, mer étincelante à peine ridée, la météo estivale du Golfe de Gascogne n'a rien de réjouissante pour les concurrents de la Transgascogne.


Les premiers devraient rallier Port Bourgenay dans la nuit de lundi à mardi ou mardi matin.
Après 30 heures de course, les 44 Minis de La Transgascogne n'ont parcouru qu'un bon tiers du parcours retour vers Port Bourgenay. Ils progressent au près à petite vitesse (3 nœuds...) en attendant une brise plus soutenue demain. La flotte est très étalée avec 50 milles d'écart entre les concurrents les plus Sud et les partisans du Nord. Pour l'instant c'est la route la plus directe qui semble payer, avec Thomas Normand (Financière de l'Echiquier) en pôle position chez les protos et Jonas Gerckens (Liège Expo 2017) en bateaux de série. A 3 nœuds de moyenne, tout doucement, avec le clapotis de l'eau sur la coque comme indicateur de lenteur, la concentration est maximum à bord des Minis...Trois grandes options se sont dessinées dès les premières heures de course : Nord, centre et Sud. Désormais, les skippers tentent de l'exploiter au mieux en attendant les effets escomptés de leurs stratégies...Les Nordistes, avec à leur tête Sébastien Rogues (Eole Génération - GDF Suez) en proto et Christophe Fialon (Aventures 05 Briançon) en bateau de série, accusent pour l'instant une dizaine de milles de retard par rapport à leurs leaders respectifs et commencent à être à la peine dans une brise faiblissante.Au centre, la stratégie - pour l'instant gagnante - consiste à faire le moins de route possible en optimisant chaque bascule du vent. C'est l'option choisi par une large majorité de la flotte avec à sa tête Thomas Normand (Financière de l'Echiquier) en proto et Jonas Gerckens (Liège Expo 2017) en bateau de série. Les Sudistes, dont Aymeric Chappellier (La Tortue de l'Aquarium - La Rochelle) en proto et Pierre Brasseur (Voiles Océan) en bateau de série, sont décalés d'une trentaine de milles par rapport à la route directe, mais ils pourraient être les premiers à bénéficier d'un renforcement attendu du vent, par le Sud, la nuit prochaine.
Lundi matin c'est même un flux régulier de 10 à 15 nœuds de secteur Est qui devrait s'installer sur toute la moitié Sud du Golfe de Gascogne. En fin de journée lundi, cette brise, générée par une dépression orageuse devrait se renforcer encore à 15 nœuds en s'orientant à l'Est-Nord-Est, soit pile dans l'axe de la route des Minis. A l'approche des côtes vendéennes, le vent sera doute plus instable et le temps orageux...Les concurrents de la Transgascogne n'ont donc pas fini de tirer des bords de près. Une allure inconfortable et peu rapide... une allure souvent synonyme de « punition » pour les marins, et en particuliers pour les « ministes » ! Remise des prix à Talmont St Hilaire le 3 août.
Retrouvez toutes les positions et classements sur le site de la course en cliquant ici
Rédigé par La Voile en Vendée le Lundi 1 Août 2011 à 09:02 Facebook Twitter LinkedIn Viadeo Pinterest La Voile en Vendée
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Les Sables Horta Les Sables : photo Stéphanie Gaspari
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Départ du Vendée Globe le 10 novembre 2012


Transat Jacques Vabre: départ le 3 novembre à 13h02