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L'Assemblée Générale de l'IMOCA s'est tenue la semaine dernière à Paris dans le cadre du Nautic. Validation du calendrier 2018-2020, création des Globe Series, Antoine Mermod, Président de la classe, revient sur les grandes décisions prises lors de cette AG


L'Assemblée Générale de l'IMOCA rencontré une forte adhésion de la part des membres de la classe ?
Antoine Mermod : « Oui, clairement. Tous les projets actifs étaient représentés à travers les skippers, les teams managers ou les sponsors. Il y avait environ 65 personnes au total. Tous les membres se sentent concernés par la vie de la classe. Il nous semble intéressant d'organiser une AG au mois de décembre car cela permet de dresser le bilan de la saison écoulée et de se projeter sur l'année suivante. »

La Présidence et le bureau de l'IMOCA avaient été renouvelés lors de la précédente AG le 26 avril dernier. Quels ont été depuis les principaux changements dans le fonctionnement de la classe ?


« La principale modification est d'essayer d'impliquer plus de personnes dans les processus de réflexion et de décision. L'IMOCA est une association, l'objectif est de fédérer. Nous avons ainsi créé une commission sportive regroupant des skippers et des directeurs de course. L'objectif de cette commission est de régler des questions purement sportives, relatives aux règles de qualification pour les courses, par exemple. Il est important de débattre de ces questions bien en amont. Cela soulage par ailleurs le conseil d'administration qui peut travailler sur d'autres sujets. »

La création des GLOBE SERIES

Vous avez beaucoup parlé calendrier durant la dernière Assemblée Générale. Quelles sont les grandes orientations à ce sujet ?
« Nous assumons le fait que le Vendée Globe est notre événement le plus populaire et le plus médiatique. Pour trouver une certaine continuité, il faut créer plus de liens entre les courses pour monter en puissance vers cette épreuve phare. C'est pourquoi nous avons imaginé une refonte de notre Championnat qui sera rebaptisé « Globe Series », avec un système de points et de coefficients sur quatre ans que nous détaillerons prochainement. L'idée est d'organiser chaque année deux grands événements réunissant des flottes importantes, ainsi que d'autres épreuves, appelées « courses exhibition ». En 2018, les deux événements majeurs seront constituées par une nouvelle course organisée à Monaco début juin (dont le nom sera révélé en début d'année), puis la Route du Rhum, destination Guadeloupe en novembre. En 2019, nous aurons la Barcelona World Race et la Transat Jacques Vabre. Puis en 2020, année de Vendée Globe, les skippers de la classe prendront part à The Transat et à la New York-Vendée. Il n'est pas impossible que d'autres courses viennent se greffer à ce calendrier. Mais nous avons déjà mis en place une colonne vertébrale solide car proposer un calendrier de qualité est indispensable pour attirer marins et sponsors. »

Vous évoquiez la nouvelle épreuve organisée à Monaco. Plus globalement, la Méditerranée sera mise à l'honneur au printemps 2018…
« Quitte à faire descendre une flotte d'IMOCA en Méditerranée, nous voulions proposer un programme complet. A l'issue du Grand Prix Guyader à Douarnenez, nous organiserons une course en solitaire vers Cascais (Portugal), qui sera qualificative pour la Route du Rhum. Après l'épreuve à Monaco où nous attendons 10 à 15 bateaux, nous allons proposer aux organisateurs de la Giraglia (entre Saint Tropez et Gênes) d'inscrire la classe IMOCA. Il est à nos yeux primordial de mettre en avant la façade méditerranéenne qui offre des conditions de navigation exceptionnelles au printemps. De plus, la Méditerranée est un marché intéressant pour l'IMOCA, et des projets sportifs se montent là-bas. »

Comment se présente la prochaine Barcelona World Race, dont le départ sera donné le 12 janvier 2019 ?
« Une conférence de presse est organisée aujourd'hui à Barcelone pour dessiner les contours de la prochaine édition. La situation politique est complexe à Barcelone et c'est un vrai défi pour la FNOB d'organiser une telle course. Mais les nouvelles sont bonnes. Des teams sont vraiment intéressés et nous espérons que l'épreuve réunira une dizaine d'IMOCA. »
Rédigé par le Mercredi 20 Décembre 2017 à 07:57 Facebook Twitter LinkedIn Viadeo Pinterest
Cinq femmes pour donner le « la » sur l’eau
Cinq femmes sur une flotte de 39 bateaux prendront dimanche, à 13h02, le départ de la 47ème Solitaire Bompard Le Figaro, l’une des éditions les plus féminines de l’histoire de cette grande dame de la course au large. Claire Pruvot (Port de Caen Ouistreham) en route pour une 4è participation, Sophie Faguet (Région Normandie), récidiviste après avoir disputé la course l’année dernière, la Suissesse Justine Mettraux (TeamWork), la Britannique Mary Rook (Artemis 37) et Cécile Laguette (Deauville) en lice toutes les trois pour une grande première, composent les rangs de cette délégation de filles qui promettent de faire parler d’elles.

La victoire de Florence Arthaud sur La Route du Rhum, les parcours exemplaires d’Ellen Mac Arthur et de Samantha Davies sur le Vendée Globe parlent d’eux-mêmes. Ces beaux faits d’armes rappellent que le métier de marin se conjugue volontiers au féminin et que la mixité a toujours le vent en poupe dans une discipline sportive qui aime tous les genres.

Une bonne dynamique féminine

Sur La Solitaire Bompard Le Figaro, en 1975, Clare Francis est la première femme à remporter une étape et signe une troisième place au général, démontrant que les femmes ont les moyens de rivaliser au meilleur niveau de performance avec leurs concurrents masculins. L’histoire récente du circuit Figaro Bénéteau reste aussi marquée par la persévérance d’Isabelle Joschke qui compte parmi les plus solides talents de la navigation en solitaire, et de Jeanne Grégoire qui endosse aujourd’hui le rôle de coach au Pôle Finistère Course au Large.
« Les filles sont nombreuses cette année et elles sont surtout inscrites dans une bonne dynamique. En Figaro, à l’exception de la remontée du mouillage qui peut demander plus de temps à une solitaire, je pense sincèrement, que dès lors qu’elles sont en pleine forme physiquement, les femmes naviguent sur un pied d’égalité face aux hommes », explique Jeanne qui entraîne aujourd’hui certains des favoris de la course.

À armes égales

Pas de guerre des roses qui tienne et sur l’eau c’est bien à armes égales que ces cinq filles vont se battre tout au long du parcours long de 1 525 milles. La voile et plus particulièrement la course au large reste l’un des rares sports, avec l’équitation, où les hommes et les femmes se battent avec les mêmes armes, tout particulièrement en solitaire. « Les femmes n’ont globalement pas la même puissance physique que les hommes. Sur le circuit, j’ai pu voir que je ne hisse pas mon spi aussi vite que Gildas Morvan mais en solitaire il y a tellement de paramètres différents qui comptent, les compartiments du jeu sont si nombreux que ce n’est pas la vitesse à laquelle le spi arrive en tête de mât qui fait la différence », complète Samantha Davies, ambassadrice en France du Magenta Project, le premier réseau sportif international de navigatrices professionnelles qu’elle a lancé avec ses anciennes co-équipières de la Volvo Ocean Race.

Justine Mettraux, un talent à suivre

« Les filles sont un peu plus nombreuses cette année, mais aucune d’elle n’a suffisamment de participations à son actif pour compter dans les favoris. Mais une chose est sûre, il faudra compter avec elles et Justine Mettraux est tout à fait capable de gagner le classement Bénéteau des bizuths. Elle est travailleuse, elle sacrifie beaucoup de choses à la performance. A bord de SCA sur la Volvo Ocean Race, c’était la meilleure barreuse de petit temps. Et dans quelques années, tout comme les autres si elles persévèrent, elle sera capable de gagner La Solitaire », ajoute Samantha Davies.

Attendu aussi aux côtés des cinq filles de la course sur la conférence autour de la mixité, Anthony Marchand (Ovimpex – Secours Populaire) ne se laisse pas tromper. Gare aux filles qui n’ont pas fini de faire des étincelles. « Elles sont de plus en plus nombreuses et se préparent physiquement avec beaucoup de conviction. La question dépend aussi beaucoup du bateau et de la puissance physique qu’il réclame. A mon sens, le Figaro, c’est la série parfaite pour les femmes. » Messieurs, vous êtes prévenus !

Elles ont dit...

Sophie Faguet (Région Normandie) : « C’est plutôt sympa toutes ces nanas ! Sur toutes les courses d’avant-saison, cela nous a permis de nous pousser un peu plus, notamment avec l‘arrivée de Justine (Mettraux) qui a une forte expérience en Mini. Elle est aussi une bonne sportive qui a un gros potentiel en stratégie. Ce sont de nouvelles concurrentes aussi bonnes que les mecs. Avec Claire (Pruvot) et Cécile (Laguette), on était en coloc’ cette année et une entraide s’est mise en place tout naturellement. C’est positif pour l’état d’esprit. Cette année, en terme de préparation, je suis beaucoup mieux cette année. Mon objectif est d’accrocher les 20 premiers, voire de faire des incursions dans les 15, c’est-à-dire faire bien mieux que l’année dernière ! Je vais essayer de plus me pousser dans mes retranchements et mieux appréhender la préparation de la météo. »

Claire Pruvot (Port de Caen Ouistreham) : « En 2013 j’étais toute seule, nous étions deux en 2014, puis trois en 2015, cette année on explose les scores ! Nous nous connaissons toutes bien, avec Mary Rook aussi car nous étions concurrentes en match racing. L’ambiance est super sympa ! Mon bateau est quasi prêt, j’ai hâte de partir. Ce sera ma dernière Solitaire Bompard Le Figaro (projet Class40, ndlr), alors je vais en profiter au maximum. J’aimerais finir sur une bonne note, faire le mieux possible. Si je fais les choses bien, ça suivra, je vais prendre chaque étape l’une après l’autre. Il va falloir rester zen jusqu’au bout. »

Mary Rook (Artemis 37) : « Mon objectif est de finir cette Solitaire et surtout d’en profiter un maximum et essayer d’apprendre le plus possible. J’ai besoin de naviguer en Figaro Bénéteau avant de faire des résultats corrects. Il faut avant tout que je termine la course, c’est le plus important. Je connais Justine (Mettraux), on s’est entraînée ensemble et je connais Claire (Pruvot) par le match-racing. C’est super que l’on soit cinq filles et puis ce sont de grandes compétitrice, mais franchement pour moi il n’y aucune différences entre les hommes et les femmes… »

Cécile Laguette (Deauville) : « J’ai vraiment hâte d’y être, de naviguer. Je commence à me mettre la course bien dans la tête. Forcément, il y a un peu d’appréhension et de stress qui montent progressivement, mais j’essaye de temporiser. Je fais beaucoup de sport et de yoga, ça m’aide à garder la pression positive. J’espère faire une belle course, rester accrochée au paquet afin de pouvoir garder l’énergie et la niaque tout au long des quatre étapes. Je trouve ça super qu’on soit cinq cette année, mais il faudrait que cela devienne la norme. Je pense qu’on aura gagné quand on arrêtera d’en parler ! »

Justine Mettraux (TeamWork) : « Je trouve que c’est positif qu’il y ait cinq femmes au départ. Habituellement, il y en deux ou trois, j’espère vraiment que la courbe va continuer dans ce sens là ! La Solitaire Bompard Le Figaro, c’est là où il y a le plus haut niveau en solitaire. C’est pour moi une manière de progresser et de m’améliorer en entrant sur ce circuit. Mon objectif est le classement « bizuth », mais j’ai aussi envie d’être satisfaite de ma façon de naviguer. Les étapes vont être longues, il faudra que je trouve mes marques au niveau de la gestion de moi-même. Mais je me sens prête, Guillaume Farcy m’a bien aidé au niveau de la préparation. J’ai fait ce que je pouvais, il falloir maintenant bien naviguer. »

Rédigé par le Vendredi 17 Juin 2016 à 07:01 Facebook Twitter LinkedIn Viadeo Pinterest
C’est parti… Les conditions météorologiques vont enfin permettre à la flotte des 84 Minis de s’élancer et de quitter les rives de la Bretagne. Si la traversée du golfe de Gascogne devrait se faire sans encombre, le passage du cap Finisterre pourrait s’avérer délicat pour les derniers concurrents. Néanmoins, on est loin des conditions de ces quinze derniers jours.

Ils sont partagés. A la fois, tous ont envie de s’échapper de Douarnenez malgré la qualité de l’accueil du port cornouaillais et de ses habitants. Mais dans le même temps, la route ne s’avère pas un délicieux chemin pavé de roses. Principal obstacle sur le chemin de Lanzarote, les abords du cap Finisterre qui peuvent correspondre à un renforcement des vents jusqu’à 30 nœuds. Des conditions qui seront loin d’être confortables mais qui ne devraient pas constituer un obstacle insurmontable pour la flotte des Minis. Néanmoins, Denis Hugues, le directeur de course, a tenu à rappeler lors du briefing météo de ce lundi soir, que chaque concurrent dispose du droit de faire escale pendant 48 heures dans un port de son choix, comme le stipulent les instructions de course.
Pour la traversée du golfe de Gascogne, la flotte devrait commencer dans un régime de nord-ouest qui mollira rapidement avant de s’établir au secteur ouest dominant. La nuit de vendredi à samedi devrait être la plus difficile à négocier pour les Ministes qui seront encore aux abords du cap Finisterre avec un régime de sud-ouest fort. Mais les vents tourneront vite au secteur nord-ouest et devraient ensuite mollir progressivement sur la route des Canaries. Plus délicate à gérer, la nouvelle qui est tombée aujourd’hui, à savoir la perte de 15 « boites » par un porte-conteneur entre le cap Finisterre et Ouessant. La direction de course est en relation avec la Préfecture Maritime de manière à préciser la position des conteneurs et la communiquer aux coureurs.

Timing de départ :
- 6h30 début d’émargement et remise des téléphones portables
- 7h00 à 8h00 départ des pontons de Tréboul
- 9h00 Signal d’avertissement de l’étape Douarnenez – Lanzarote.
- La ligne de départ sera mouillée devant l’île Tristan et visible depuis la jetée de Tréboul.

Comment suivre les premières heures de course
- Sur les réseaux sociaux : twitter et facebook
- twitter : @MiniTransa2013 et #MiniTransat
- facebook : Mini Transat
- Pendant les dix premiers milles de course, la cartographie sera actualisée toutes les dix minutes.
- Sur la home page du site, retrouvez le passage du raz de Sein à l’aide de la webcam du sémaphore de la pointe du Raz.

Rédigé par le Mardi 29 Octobre 2013 à 08:31 Facebook Twitter LinkedIn Viadeo Pinterest

Mini Transat : branle-bas de combat


Mini-Transat 2013: départ de Douarnenez le 13 octobre 2013
Tout le monde sur le pont : ce soir les 84 solitaires seront tous présents, ou presque, sur les pontons du Port Rhu. Avec le soleil retrouvé, les concurrents découvrent l’écrin dans lequel sont enchâssées leurs machines de course. Pendant ce temps, bénévoles et professionnels s’activent pour mettre la dernière main au village dont l’inauguration est prévue demain à 11h.

« Entre les équipes mer, la logistique terrestre et l’accueil tant des coureurs que du public, ce sont un peu plus de 150 bénévoles qui sont mobilisés pendant dix jours », constate Gwen Chapalain, délégué général de la Mini Transat. Avec quelques moments forts, notamment lors du prologue « Tout commence en Finistère » (dimanche 6 octobre) et le jour du départ (dimanche 13 octobre). C’est déjà un sacré pari que de vouloir, le jour du départ, faire sortir 84 bateaux du Port Rhu dans un temps d’environ une heure trente. C’est, entre autres, un des petits exploits quotidiens que l’équipe bénévole va devoir réaliser. Au final, c’est une cinquantaine d’embarcations et leurs pilotes qui vont être mobilisés pour remorquer les bateaux vers la zone de départ, assurer les périmètres de sécurité, embarquer la presse et les spectateurs.

Derniers coups de marteau
Sur le quai du Port Rhu, les exposants s’affairent pour que pas un bouton de guêtre ne manque demain vendredi, jour de l’inauguration. La CCI de Cornouaille prépare l’habillage de la tente des marins, où chaque jour, huit à neuf coureurs seront présentés au public de 14h à 15h30. C’est sous ce chapiteau que Lucile Chombart de Lauwe présentera son exposition de photographies consacrée aux coureurs de la Mini Transat de 2011. Les portraits en noir et blanc des hommes et des femmes de cette aventure au départ et à l’arrivée de la course de l’autre côté de l’Atlantique montrent sans équivoque à quel point ils sont marqués après plusieurs semaines en solitude. Au stand de la région Bretagne, c’est l’exposition « Mer en vue ! » qui finit de se monter : 150m2 consacrés aux ports, aux énergies marines renouvelables, à la pêche et l’aquaculture pour faire prendre conscience aux Bretons de la formidable opportunité de disposer de plus 2700 km de côtes.

A pied, à cheval, en voiture
C’est ce soir à 18h, l’heure limite pour être présent dans le Port Rhu. A quelques exceptions près, ils seront donc tous là après des convoyages plus ou moins longs et exigeants. Les solitaires basés sur la côte atlantique et en Manche ont unanimement rallié Douarnenez par la mer. Pour beaucoup, ce convoyage était l’occasion de faire un dernier comparatif à l’occasion d’une navigation en flotte. C’est le cas de Damien Cloarec et Yannick Le Clec’h qui ont navigué de conserve depuis la baie de Morlaix ou des coureurs lorientais qui n’ont pas dérogé à leurs bonnes habitudes de navigation en flotte. Il en était tout autrement de ceux qui venaient de Méditerranée. Dans ce cas, seul le transport routier s’avérait possible et nombre de Ministes ont du apprécier que la jauge impose une largeur maximum des bateaux conforme au gabarit routier, évitant de faire appel à un transport exceptionnel. Seul coureur allemand, Henrik Mazekowitz est ainsi arrivé aujourd’hui à Douarnenez. Eprouvé par près de vingt-quatre heures de conduite avec son Mini en remorque, il a demandé l’autorisation à la direction de course de ne rejoindre le Port Rhu que demain après avoir mis son bateau à l’eau dans la matinée. Pour les retardataires qui ne pourront justifier d’un cas de force majeure, la règle est simple : ce sera une pénalité financière de 80€ par jour au profit de la SNSM. Pendant que le Port Rhu vibrionne, les dames de la Mini bénéficiaient quant à elles d’une séance de soins gracieuse à la Thalasso de Douarnenez. Sept des dix concurrentes présentes sur la course ont répondu à l’invitation. Il n’y a pas que des inconvénients à faire partie des minorités.

Le programme en intégralité ici
Le détail des animations (cinéma maritime, exposition l’Aventure de la mini Transat au Port-musée, conférence Eurolarge ) ici.
Rédigé par le Jeudi 3 Octobre 2013 à 19:27 Facebook Twitter LinkedIn Viadeo Pinterest

A 18 mois de la 10ème édition de La Route du Rhum, la société Pen Duick, organisateur de la reine des épreuves transatlantiques, lance le Club Entreprises et invite les partenaires des coureurs, les marins eux-mêmes mais aussi les dirigeants de sociétés à l'échelon national, à former un équipage fort. Parrainé par Michel Desjoyeaux, ce Club a vocation à réunir dans une ambiance conviviale les décideurs impliqués et intéressés par l'univers de la voile et de la mer, à l'occasion de rencontres trimestrielles.


A terre, comme en mer, une Route du Rhum et toutes les courses en général, se préparent en amont et leur réussite s'appuie toujours sur le partage d'expériences. Partant de ce principe, Pen Duick a choisi de donner la possibilité à tous les acteurs connus et reconnus du monde de la course au large, mais aussi aux nouveaux venus et aux partenaires pressentis ou fortement intéressés, de disposer d'une structure pour se réunir et échanger. Le Club Entreprises va donc leur proposer de se retrouver lors d'évènements trimestriels, et d'évoquer les problématiques liées à la course au large sous toutes ses formes, mais aussi et surtout de partager et présenter leur projet, leur histoire. Animées par un journaliste, les rencontres permettront aux membres d'être informés des dernières nouvelles et des évolutions du milieu, de créer du lien, de trouver des réponses à leurs questions et d'assister ensemble aux départs et aux arrivées des grands évènements.

Le Rhum au cœur des échanges

A un an et demi du coup d'envoi de la 10ème édition de la Route du Rhum, la plus célèbre des transatlantiques en solitaire constituera un sujet commun et offrira la possibilité de découvrir son histoire unique. Parrainé par Michel Desjoyeaux, la première réunion du Club Entreprises se déroulera à Paris le 14 mai, en présence de Guo Chuan, premier navigateur chinois à avoir effectué un tour du monde à la voile en solitaire et sans escale. Financé par des sponsors et les cotisations des membres, ce Club devrait également se réunir à Saint-Malo, Rennes et Brest notamment, dans les mois à venir, afin de toucher le plus grand nombre de participants.

Calendrier prévisionnel :
14 mai - Paris
Courant octobre - Paris, Saint-Malo, Rennes
Décembre - dans le cadre du Salon Nautique de Paris
2014 - à définir


Rédigé par le Lundi 13 Mai 2013 à 17:12 Facebook Twitter LinkedIn Viadeo Pinterest
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Les Sables Horta Les Sables : photo Stéphanie Gaspari
Les Sables Horta Les Sables  2011
Les Sables Horta Les Sables : photo Christophe Breschi


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Jacques Fournier et Jean-Christophe Caso... par francebleu-nordnormandie


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Départ du Vendée Globe le 10 novembre 2012


Transat Jacques Vabre: départ le 3 novembre à 13h02