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Andrew Dawson et Jon Mac Coll sur Spliff, ferment la marche


Tous à bon port
De Matetmat.com jusqu’à Spliff, lanterne rouge de la première étape, certains ont de bonnes raisons d’être satisfaits de leur parcours, d’autres sont forcément plus mitigés. Autour du club naval de Horta et de la capitainerie, les navigateurs prennent le temps de boire un verre et de dérouler, une fois de plus, le fil des évènements de cette première semaine de course.
Il y a tout d’abord les indestructibles tels le Britannique Andrew Dawson qui, armé de son grand sourire, lançait en réponse à la question d’accueil : « How are you ? » cette réponse définitive : « Late (en retard) ». Il y a ceux qui se disent qu’il serait difficile de demander plus tant ils sont heureux de leur première étape et ceux qui tentent d’évacuer les regrets pour se lancer débarrassés des doutes générés par une étape pas vraiment conforme à leurs ambitions.

Quatre pour un podium
Du côté des deux premiers, pas beaucoup de regrets à avoir. Yannick Bestaven et Christophe Bouvet (Aquarelle.com), tout comme Stéphane Le Diraison et Vincent Barnaud (Bureau Veritas), sont encore en phase de découverte du potentiel de leur bateau. Truster les deux premières marches du podium ne peut qu’être satisfaisant. Du côté des vainqueurs, une course bien maîtrisée, une trajectoire propre due à une bonne analyse de la situation météorologique. L’important vécu en course de Yannick et Christophe leur a permis de s’adapter très rapidement à ce nouveau support. Pour Vincent et Stéphane, c’est avant tout la satisfaction d’avoir su tirer le meilleur parti de leur bateau, malgré un choix de route hasardeux au départ d’une part, et de l’autre, d’avoir su résister à la tentation d’un recadrage trop hâtif en assumant ce choix initial et en essayant de le bonifier au fur et à mesure des opportunités. Le choix de contourner Pico par le sud fut un des éléments déterminants de cette réussite. Les deux prétendants à la troisième place ont, quant à eux, été bousculés dans leurs certitudes. Groupe Picoty, comme Mare.de2 sont aux mains d’habitués du Class40, mais ils ont été bousculés par deux équipages nouveaux venus sur le circuit. Jacques Fournier et Jean-Edouard Criquioche reconnaissent avoir flirté avec la zone rouge en terme de sommeil et avoir sûrement manqué de lucidité dans les dernières heures de course. Jörg Riechers et Etienne David ont frôlé la correctionnelle en s’engageant dans le canal entre Pico et Sao George, dont on sait combien il peut être piégeant. Il fallait, pour se tirer de ce mauvais pas, tout le flegme helvétique d’un Etienne David comparant sa navigation dans la pétole à certaines nocturnes étoilées sur le lac Léman entre lumières d’Evian et de Lausanne.

Chacun son challenge
Derrière, ils sont nombreux à évoquer leur plaisir d’avoir rempli leurs objectifs. C’est l’équipage de Matetmat.com, Mathis Prochasson et Matthieu Galland, qui pour sa première course sur l’ancien prototype d’Yvan Noblet, se satisfait grandement d’une sixième place acquise de haute lutte sur un bateau dont on sait que le près n’est pas son allure favorite. De même Stéphanie Alran et Caroline Olagne-Vieille (Velevent), sur le plus vieux bateau de la course étaient très fières d’avoir laissé deux équipages derrière elles, grâce notamment à un recentrage dans le nord-ouest particulièrement bien vu en fin de parcours. Andrea Fantini et Salvatore Merolla (Hip Eco Blue) étaient venus pour prendre en main leur machine et terminer sur un bateau en bon état. A mi-course, le contrat est rempli. Pour d’autres, le bilan est un peu plus mitigé : Arnaud Daval et Gilles Dutoit (Techneau) espéraient sûrement mieux. Mais leur Pogo40 de première génération est maintenant trop pénalisé aux allures de près pour espérer rivaliser. Olivier Grassi et Jean-Baptiste Glin (Grassi Bateaux) rageaient encore d’avoir laissé l’équipage de Matetmat.com échapper au contrôle qu’ils exerçaient depuis la sortie du golfe de Gascogne. Pour Lionel Régnier et Pierre-Yves Cavan (Wanted Partner), difficile de trouver du plaisir dans cette première étape. Aux prises avec quelques soucis de jeunesse de leur nouvelle monture, ils doivent de surcroit affronter une réalité qui se fait de plus en plus jour : sans partenaire miracle de dernière minute, leur rêve de faire le tour du monde en double s’arrêtera. Partagés entre les problèmes techniques de neuvage à résoudre, la tentation de ménager un bateau pour qu’il reste concurrentiel à la revente et ce sentiment diffus que chaque mille parcouru risque de les rapprocher d‘une échéance sans cesse repoussée, il est difficile pour les deux navigateurs de trouver les ressorts nécessaires pour être à la lutte pour les places d’honneur. Le plaisir reste un des moteurs essentiels de la performance.

Ils ont dit :

Matthieu Galland (Matetmat.com)
« On voulait être devant les bateaux de notre génération. On a laissé quelques bateaux plus récents derrière nous, donc on a un petit peu dépassé nos objectifs. On était un peu inquiet car on nous avait dit que ce bateau avait beaucoup de qualités, mais que son point faible était le près. Quand on a vu sur les logiciels de routage qu'il allait y avoir 80% de près. L'adaptation se fait vite, car ces bateaux-là ressemblent beaucoup en terme de comportement aux Minis. Après ce sont des bateaux plus physiques... Pour la deuxième étape, l'objectif, c'est de trouver du portant.".»

Caroline Olagne-Vieille (Velevent)
« On a eu un peu de difficulté à se remettre dans le rythme avec Stéphanie. On n’avait pas navigué ensemble depuis la Normandy Channel Race. Et le près n’est pas forcément notre allure préférée. Mais on est entrée progressivement dans la course et petit à petit, on a pu voir qu’on accrochait quelques bateaux. Ensuite, je crois qu’on a bien tricoté sur l’arrivée. Ça nous permet de laisser deux «équipages derrière nous. Mission accomplie donc. »

Classement provisoire de la première étape (en heures TU)

1 Aquarelle.com (Y Bestaven – C Bouvet) arrivé le 10 juillet à 3h 17mn 30s
2 Bureau Véritas (S Le Diraison – V Barnaud) arrivé le 10 juillet à 8h 05mn 35s
3 Groupe Picoty (J Fournier – JE Criquioche) arrivé le 10 juillet à 10h 36mn 34s
4 Mare.de2 (J Riechers – E David) arrivé le 10 juillet à 10h 36mn 35s
5 L’Express Sapmer (D Lazat – R Aubrun) arrivé le 10 juillet à 14h 28mn 12s
6 Matetmat.com (M Galland – M Prochasson) arrivé le 10 juillet à 20h 50mn 40s
7 Grassi Bateaux (O Grassi – JB Glin) arrivé le 10 juillet à 22h 42mn 01s
8 Techneau (A Daval – G Dutoit) arrivé le 11 juillet à 00h 49mn 40s
9 Hip Eco Blue (A Fantini – S Merolla) arrivé le 11 juillet à 04h 44mn 58s
10 Velevent (S Alran – C Olagne-Vieille) arrivé le 11 juillet à 05h 31mn 20s
11 Wanted Partner (L Régnier – PY Cavan) arrivé le 11 juillet à 10h 31mn 52s
12 Spliff (A Dawson – J Mac Coll) arrivé le 11 juillet à 10h 55mn 55s
DNF : Tales
DNF : Exedra
Rédigé par La Voile en Vendée le Mardi 12 Juillet 2011 à 14:49 Facebook Twitter LinkedIn Viadeo Pinterest La Voile en Vendée
Les jeux sont faits, rien ne va plus
Le front est passé. Toute la flotte des Class40 encore en course, fait, peu ou prou, route directe vers l'île de Faial, destination finale de la première étape. Ce n'est plus l'heure des options tactiques, il s'agit maintenant de tirer le maximum de bénéfice de ses choix. Comme à la table de roulette, il faut maintenant attendre que la roue cesse de tourner.


Exedra rentre sur Lorient
Aquarelle.com profite doublement de sa position au nord de la flotte et de l'abandon de Tales pour prendre la tête de course suivi comme son ombre par Mare.de2, mais Groupe Picoty et dans une moindre mesure, Bureau Veritas peuvent toujours prétendre à la victoire finale.
Actuellement les conditions sur zone sont plutôt favorables aux hommes du nord qui ,petit à petit, prennent un léger ascendant sur leurs adversaires. Mais à l'approche de l'archipel des Açores, bien des rebondissments sont encore possible. Que le vent vienne à mollir et adonner, ce sont alors les candidats les plus sous le vent qui pourraient se trouver dans une position plus favorable. Maintenant que les dés sont jetés, chacun s'applique avant tout à faire marcher le bateau et s'évite de gamberger sur la pertinence de choix effectués deux jours plus tôt. les regrets n'ont jamais fait avancer plus vite la machine.
Pour les équipage de Tales et d'Exedra, l'abandon tombe au plus mauvais moment. A l'heure où la flotte a fini de manger son pain noir et va commencer de retrouver les plaisirs de la glisse, les deux tandems n'ont pas d'autre choix que le retour à terre. Pour eux aussi, les jeux sont fait et rien ne va vraiment plus.
Rédigé par La Voile en Vendée le Mercredi 6 Juillet 2011 à 10:47 Facebook Twitter LinkedIn Viadeo Pinterest La Voile en Vendée

Difficile de rêver mieux pour démarrer cette première étape. Pour leur baptême du golfe, les duos des Sables – Horta ont rencontré des conditions idylliques. Vent portant modéré, mer belle, ciel étoilée, sans compter les inévitables dauphins qui ont joué les compagnons de route de nombre de concurrents. L'heure des choix pourrait ramener les équipages à la réalité : une course se perd parfois dans les premières heures. Il va falloir plancher sérieusement la météo pour éviter de garnir les rangs du fond de la classe.
©Christophe Breschi / ricochets17


Les Sables - Horta - Les Sables: Picoty mène la flotte dans le golfe de Gascogne
Il existe parfois des moments comme bénis des dieux. Depuis le départ des Sables d’Olonne, la flotte des quatorze tandems engagés aurait beau jeu de se plaindre. Un parcours côtier dans des conditions presqu’idéales, avec juste le vent nécessaire pour exprimer son sens tactique, une première nuit de rêve où les carènes planantes des Class40 ont trouvé de quoi s’ébrouer l’étrave sans pour autant sacrifier au confort des équipages. Il a bien fallu procéder à quelques changements de voile, engager les premiers empannages, veiller au réglage du spinnaker, mais la teneur des messages de la nuit l’exprime bien : ce fut une entrée en matière idéale. C’est à peine, si quelques équipages ont dû procéder à des bricolages qui relèvent plus de la mise au point tardive que de la casse matérielle.

Options marquées d’entrée

Un des effets secondaires d’un départ en soirée est que dès la première nuit, des options marquées ont pu être prises. Grosso modo, la flotte se divise en trois groupes : au nord, un groupe contenant plusieurs des favoris cherche à gagner dans l’ouest au plus vite pour se trouver rapidement sous l’influence de la dépression annoncée sur le proche atlantique. Au sud, un groupe emmené par Groupe Picoty et Bureau Veritas profite pour l’heure d’un gradient de pression plus favorable pour creuser l’écart sur le reste de la flotte. Au centre, un petit groupe de bateau pratique l’art de la procrastination en se disant qu’il sera toujours temps de choisir son camp.
Toute la question va être de savoir l’évolution des systèmes météorologiques pour les jours à venir. Actuellement sous l’influence d’un régime de vents anticycloniques de secteur est dominant, tous les équipages vont devoir négocier une zone de transition dans la nuit de dimanche à lundi, voire lundi matin. Pendant quelques heures, ils seront confrontés à des vents erratiques, variables faibles. Les hommes du nord parient sur le fait qu’ils toucheront le nouveau vent les premiers. Ceux du sud tablent sur l’arrivée plus rapide que prévue initialement du système perturbé et sur une zone de transition plus étroite que prévue à subir. Sans compter que, tout au moins dans un premier temps, ils bénéficieront quand le vent s’orientera au sud-ouest d’un angle de progression plus favorable que leurs concurrents du nord.

Impact psychologique

Au final, c’est avant tout une question de tempérament. Anticiper une bascule à venir, quitte à perdre du terrain nécessite une solidité mentale à toute épreuve. Rester dans un régime de vent dont on sait qu’il va disparaître, c’est aussi faire preuve du bon sens qui décrète que ce qui est pris n’est plus à prendre. Pour l’heure, les hommes du sud progressent avec un angle plus favorable à des vitesses plus élevées de deux à trois nœuds. Ce qui, au bout du compte, peut commencer à créer des écarts non négligeables. Le pointage de vingt heures devrait révéler quelques indications sur l’analyse de la situation par les navigateurs. Que les routes continuent de diverger, cela signifiera que le duel n’est pas encore vraiment commencé et que c’est après l’entrée dans le nouveau système que l’on pourra juger. Que des concurrents commencent à se rallier à la cause d’un groupe ne signifiera pas forcément qu’ils ont eu définitivement raison. Mais ce sera l’occasion pour ceux qui ont eu l’audace de trancher en premier de se conforter psychologiquement et de garnir leur escarcelle de quelques milles d’avance. Sans équivoque, la récréation de la première nuit de mer est terminée.
Rédigé par La Voile en Vendée le Dimanche 3 Juillet 2011 à 20:55 Facebook Twitter LinkedIn Viadeo Pinterest La Voile en Vendée

Aquarelle.com remporte le prologue avant le départ de samedi 2 juillet à 19h02


« Les Sables-Horta-Les Sables » : Première étape J-2
Comme prévu, la brise thermique s’est levée aux alentours de 14h, heure de départ du prologue de cette troisième édition des Sables – Horta. La flotte s’est donc affrontée sur un petit parcours côtier en baie des Sables d’Olonne, où il fallait faire montre d’un bon sens tactique, d’une certaine réactivité dans les manœuvres et témoigner d’une vitesse correcte. A ce petit jeu, deux équipages ont dominé la course : Aquarelle.com et Mare.de2.

Quinze ou vingt nœuds ? Au vu des moutons qui se formaient sur les crêtes des vagues, la plus grande part des équipages avait joué la prudence et se présentait sur la ligne de départ avec un ris dans la grand-voile. Mal leur en prenait car, quelques minutes après le départ lancé à l’heure pile, deux voiliers prenaient le large, à savoir Aquarelle.com et Mare.de2, les seuls à avoir osé partir sous grand-voile haute. A la première marque l’équipage de Yannick Bestaven et Jörg Riechers possédaient déjà plusieurs minutes d’avance sur le peloton des poursuivants. Une marge qui ne cessera de s’accroître au fur et à mesure de l’avancement de la régate. Pour la troisième place, c’est finalement Gonzalo Botin à bord de Tales qui prendra le meilleur de quelques longueurs sur Exedra de Patrice Bougard.


Un podium international

On le sait, la vérité du prologue n’est que rarement celle de la course. Entre la superstition qui veut que le vainqueur du prologue soit écarté des prétendants à la victoire finale, la volonté de préserver le bateau pour certains et l’affinage des derniers réglages pour beaucoup, il faudra bien se garder de tirer des enseignements définitifs de ces quelques bords en baie des Sables d’Olonne. On retiendra néanmoins, que les deux premiers semblent avoir déjà pris en main leur monture. Ce n’est guère étonnant pour Jörg Riechers qui a déjà une Route du Rhum sous la quille, c’est d’autant plus méritoire pour Yannick Bestaven et Christophe Bouvet qui n’en sont qu’à leurs premiers milles de course à bord de leur Class40. Derrière eux, le Tales de Gonzalo Botin fait montre d’une belle vitesse et confirme son gros potentiel déjà entrevu lors de l’édition 2009 des Sables – Horta où l’équipage ibérique avait tenu les avant-postes une grande partie de la première étape. Quoi qu’il en soit, la concurrence étrangère risque d’être forte avec un Allemand et un Espagnol sur les deuxième et troisième marches du podium.


Une course dans la course
Pour d’autres, les bateaux de plus ancienne génération, ce sera difficile de tenir le rythme que risquent d’imposer les premiers. D’autant que ce sont le plus souvent des équipages qui font leurs premières armes en Class40. Découvrir le fonctionnement très spécifique de ces bateaux, à mi-chemin entre la philosophie du Mini et celle du 60 pieds IMOCA, demande un peu de temps ou une faculté d’adaptation hors norme. Il risque donc bien d’y avoir deux courses dans la course. Celle des prétendants à la victoire finale devrait concerner la moitié de la flotte, sans qu’un grandissime favori ne se dégage… Il risque donc d’y avoir des retournements de situation et pour le grand bien du public, un possible suspens jusqu’à l’arrivée finale aux Sables d’Olonne. Pour les autres, se confronter aux bateaux de même génération permettra de tirer des enseignements profitables pour la suite et si, par bonheur, certains arrivent à mettre dans leur tableau arrière quelques gros bras de la course, ils n’en tireront que plus de satisfaction.



Classement du prologue
- 1er : Aquarelle.com, Yannick Bestaven – Christophe Bouvet
- 2ème : Mare.de2, Jorg Riechers – Etienne David
- 3ème : Tales, Gonzalo Botin – Pablo Santurde
- 4ème : Exedra, Patrice Bougard – Gilles Dadou
- 5ème : Wanted Partner, Lionel Régnier – Pierre-Yves Cavan
- 6ème : Groupe Picoty, Jacques Fournier – Jean-Edouard Criquioche
- 7ème : L’Express Sapmer, Denis Lazat – Rémy Aubrun
- 8ème : Grassi Bateaux, Olivier Grassi – Jean-Baptiste Glin
-9ème : Hip Eco Blue, Andrea Fantini – Salvatore Merolla
-10ème : Spliff, Andrew Dawson – Jon Mac Coll
-11ème : Matetmat.com, Matthieu Galland – Mathis Prochasson
- 12ème : Velevent, Stéphanie Alrand – Caroline Olagne-Vieille
-13ème : Bureau Veritas, Stéphane Le Diraison – Vincent Barnaud
- DNC Techneau, Arnaud Daval –Gilles Dutoit

A noter : Retransmission en direct des vacations à compter du 3 juillet, de 11h à 12h, sur le parvis de la Mairie.

Ce qu’il faut retenir de la course « Les Sables – Horta – Les Sables »

- Date départ : Samedi 2 juillet à 19h02 (heure locale). Les bateaux quitteront le ponton Vendée Globe vers 17h
- Parcours : Départ des Sables d’Olonne / Horta (Açores) / Les Sables d’Olonne

Le départ de la 2ème étape aura lieu le mercredi 13 juillet de Horta à 18h02 locale. L’arrivée aux Sables d’Olonne des premiers bateaux est prévue à partir du 19 juillet
- Nombre de milles à parcourir : La course se court uniquement en double sur un parcours dans l’Atlantique nord d’une distance totale de 2540 milles
- Nombre de bateaux : 14 bateaux
- Organisation : Ville des Sables d’Olonne en partenariat avec la ville de Horta aux Açores (Portugal)
- Remise des prix le 22 Juillet aux Sables d’Olonne
- Directeur de course : Denis Hugues
Rédigé par La Voile en Vendée le Jeudi 30 Juin 2011 à 18:52 Facebook Twitter LinkedIn Viadeo Pinterest La Voile en Vendée







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Les Sables Horta Les Sables : photo Stéphanie Gaspari
Les Sables Horta Les Sables  2011
Les Sables Horta Les Sables : photo Christophe Breschi


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Départ du Vendée Globe le 10 novembre 2012


Transat Jacques Vabre: départ le 3 novembre à 13h02