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Un arrêté encore en phase de finalisation par les services du gouvernement et demandant l’extinction des éclairages des bâtiments non-résidentiels entre 1h et 6h du matin suscite actuellement l’émoi chez certains commerçants et syndicats de l’éclairage. Cette mesure est une évidence pour France Nature Environnement pour qui tous les gisements d’économie d’énergie doivent être exploités, surtout dans un contexte de renchérissement des prix de l’énergie. Explications.


Extinction des enseignes : une idée lumineuse !
Une idée lumineuse : éteindre !

L'extinction obligatoire des éclairages des bâtiments non-résidentiels la nuit entre 1 heure et 6 heures, à partir du 1er juillet 2012, devrait permettre d’économiser l’équivalent de la consommation électrique de 260 000 ménages. Cette mesure, portée par FNE lors de la Table ronde nationale sur l’efficacité énergétique menée par Nathalie Kosciusko Morizet en 2011, fait partie d’une vingtaine de propositions visant à réduire les consommations d’énergie. Elle est essentielle dans la mesure où elle permet de lutter contre un gaspillage flagrant et stupide d’électricité. A quoi servent ces bâtiments éclairés la nuit et ces enseignes lumineuses qui perturbent la biodiversité nocturne, qui nous empêchent de voir les étoiles et qui parfois gênent le sommeil des voisins.

Un devoir d’exemplarité

Les efforts pour réduire nos consommations d’énergie et d’électricité en particulier ne peuvent pas être demandés uniquement aux ménages. Ce sont tous les secteurs d’activité qui doivent se sentir concernés. Pour Maryse Arditi, responsable du réseau Energie de FNE « c’est une mesure de bon sens que nous saluons et nous espérons que d’ici sa publication, l’arrêté ne sera pas vidé de sa substance. » Et d’ajouter : « On est à la limite de la provocation lorsqu’on demande aux français de faire des efforts conséquents d’économie d’énergie et qu’on leur donne à voir des immeubles vides et des commerces éclairés comme des sapins de Noël en plein milieu de la nuit »

Stop à l’ébriété énergétique

Bruno Genty : « Cet arrêté met fin à une absurdité économique et écologique dont les conséquences sont payées par toute la société. Le gaspillage énergétique doit cesser. Cette énergie que nous jetons par les fenêtres aujourd'hui manquera demain. Nous devons engager la transition énergétique et faire de la sobriété et de l’efficacité énergétique les fondements d’une société durable.»
Tags : Environnement
Rédigé par Les Sables Info le Lundi 2 Avril 2012 à 19:18 Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
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Des agriculteurs souffrent et meurent en silence...


"La mort est dans le pré", est un documentaire bouleversant sur les victimes des pesticides. Il sera diffusé sur France 2 (autour de 22h00). Réalisé par Eric Guéret, ce documentaire de 52 mn dévoile le « piège chimique » tendu aux agriculteurs et leurs difficultés à sortir d’un système verrouillé. Les agriculteurs tombent malades, victimes des pesticides qu'ils pulvérisent depuis 50 ans.

Mais des agriculteurs prenent la parole et brisent le silence pour la première fois. Reconnaissance professionnelle de leur maladie, remise en cause des pratiques agricoles, ils nous racontent leur parcours du combattant pour qu'éclate ce scandale sanitaire.

Ce documentaire a été projeté en avant-première le 23 mars à l'Hotel de ville de Paris, dans le cadre du Congrès "Pesticides et santé : quelles voies d'amélioration possibles ?".

Site officiel : www.semaine-sans-pesticides.com
Tags : Environnement
Rédigé par Les Sables Info le Jeudi 29 Mars 2012 à 20:18 Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
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L’observatoire régional de l’agriculture biologique des Pays de la Loire (Orab) est un dispositif coordonné et animé par la Chambre régionale d’agriculture avec la participation, au sein d’un comité de pilotage, de la Coordination agrobiologique, de l’Interbio des Pays de la Loire et de la DRAAF.


Observatoire régional de l'agriculture biologique des Pays de la Loire : les données 2010
L'Observatoire régional de l'agriculture biologique s'appuie sur des données issues d'enquêtes auprès de l'ensemble des producteurs certifiés de la région : orientations d'exploitations, mixité bio et non bio, mais aussi main-d'oeuvre et commercialisation. 85 % des exploitations sont suivies dans cette base, permettant d'avoir une image représentative de la production bio régionale. Ainsi, en 2010 on compte 1 649 exploitations en bio ou conversion pour une SAU bio de 92 780 hectares. Des cartes identifient les zones de fort dynamisme bio.
C'est un dispositif animé par la Chambre régionale d’agriculture et co-piloté avec la Coordination AgroBiologique et l’Interbio des Pays de la Loire.

Les Pays de la Loire, la 2e région française en surface bio, se hisse au 8e rang en part de SAU bio. Pour en savoir plus cliquez ici sur le site de la Chambre régionale d’agriculture des Pays de la Loire.

Présenté sous forme de fiches, ce document fait le point sur :
L’agriculture bio en France,
Les chiffres clés de la bio en Pays de la Loire,
Les exploitations bio,
La main d’oeuvre dans les exploitations bio,
Les surfaces en bio,
Les grandes cultures bio,
La viticulture bio,
Les fruits et légumes bio,
Les semences bio,
La production bovins lait bio,
La production avicole bio,
La production bovins viande bio,
La production porcine bio,
Les productions caprine et ovine bio...

Un observatoire pour un accompagnement optimal du développement de l’agriculture biologique et une base de données détaillée pour une connaissance améliorée de l’agriculture biologique régionale.
Tags : Environnement
Rédigé par Les Sables Info le Mardi 13 Mars 2012 à 11:33 Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
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La France reste le premier pays européen consommateur de pesticides, avec une consommation en hausse malgré les décisions du Grenelle de réduire les pesticides de 50% d'ici 2018. Alors que le dossier rebondit dans l’actualité (condamnation de Monsanto pour intoxication de Paul François à l’herbicide Lasso, demande du rapporteur du Conseil d’Etat de réexaminer l’autorisation de l’herbicide Round-Up Express), nous célébrons cette année le 50ème anniversaire du livre « Printemps Silencieux » de Rachel Carson, point de départ de la prise de conscience du scandale des pesticides.


Dans quelques jours, à l’occasion des 10 premiers jours du printemps, débutera la 7ème édition de la Semaine pour les alternatives aux pesticides. Cette année encore, des centaines d’évènements sont programmés dans toute la France : conférences-débats, ateliers, marches, projections de films, stands d’information, animations pédagogiques, repas bio, fermes ouvertes… Objectifs : informer sur les risques des pesticides de synthèse, promouvoir les alternatives et mobiliser un public de plus en plus large pour un avenir sans pesticides.

Le temps fort de la mobilisation citoyenne sur les pesticides : Fédérant de nombreux acteurs (associations, agriculteurs, collectivités locales, entreprises, particuliers…), l’évènement s’adresse à tous et rassemble de plus en plus de partenaires. Née en France en 2006 à l’initiative de l’association Générations Futures –aujourd’hui coordinatrice de l’opération- et de l’ACAP, collectif de 160 organisations, l’opération est relayée cette année dans au moins 16 pays (Belgique, Royaume-Uni, Allemagne, Suisse, Espagne), en Afrique (Bénin, Burkina-Faso, Cameroun, Mali, Ouganda, Sénégal, Togo, Maroc, Congo) et pour la première fois dans des pays plus inattendus comme le Tadjikistan, les Iles Maurice…

400 évènements sont déjà programmés et mis en ligne aujourd’hui sur le site officiel, qui sera régulièrement actualisé : www.semaine-sans-pesticides.com. Voici quelques animations choisies :
- Un congrès scientifique sans précédent sur « pesticides et santé » (23-24 mars au Palais du Luxembourg) avec la remise de doléances aux décideurs : www.congrespesticides.org
- Le « jardinage naturel ou écologique » sera de nouveau à l’honneur : ateliers, démonstrations de matériel, installation de panneaux « zone sans pesticide », signatures de chartes d’engagement…
- De plus en plus de collectivités territoriales s’impliquent dans le cadre de leurs politiques « zéro phyto » et de l’introduction du bio dans les cantines: Paris La Rochelle, Villeurbanne, Mulhouse …
- Des marches symboliques dans une quinzaine de régions
- Des dizaines de conférences, débats sur l’eau, les abeilles, l’alimentation, la biodiversité avec des experts tels que : Marc Dufumier, Pierre Rabhi, François Veillerette, Jean-Paul Jaud…
- De nombreux autres évènements pour tous les goûts : visites de fermes, sorties nocturnes, construction de nichoirs, concours de dessins…

Le succès croissant de cet évènement montre que la société civile ne veut pas être tenue à l’écart de la question. François Veillerette, porte-parole de Générations Futures déclare : « Quelque semaines avant les élections, les Français exprimeront de manière forte leur opposition aux pesticides. Pour la première fois, les victimes des pesticides, professionnels et particuliers, seront au coeur de ce mouvement. La question des effets des pesticides sur notre santé ne pourra plus être passée sous silence. »
www.semaine-sans-pesticides.com
Tags : Environnement
Rédigé par Les Sables Info le Dimanche 11 Mars 2012 à 11:20 Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
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La nouvelle campagne s'organise dès aujourd'hui pour débuter en mai avec un second passage en juin.


Nouvelle campagne de stérilisation des oeufs de goélands aux Sables
La nouvelle campagne de stérilisation des œufs de goélands débutera en mai 2012 aux Sables d'Olonne avec un premier passage, puis un second en juin prochain pour couvrir la totalité de la période de ponte.

Les Sablais sont invités à indiquer dès maintenant la présence de nids de goélands sur leurs toits et ceux de leurs voisins, résidents secondaires. Ils faciliteront ainsi le traitement par l'équipe de professionnels accompagnée de la garde urbaine. Pour ce faire, un formulaire est mis en ligne sur le site Internet de la Ville www.lessablesdolonne.fr à partir du 1er mars 2012. Les personnes concernées peuvent également retirer un formulaire à l'accueil de l'hôtel de ville. La date butoir d’inscription est fixée au lundi 23 avril.

Aux Sables d'Olonne, le nombre élevé de goélands crée des nuisances pour la population : cris stridents, salissures ou encore dégradations des toitures. Pour y faire face, la Ville a recours depuis 1994 à la méthode efficace de stérilisation des œufs de goélands pendant la période de reproduction.

Le procédé mis en place consiste à pulvériser un mélange de formol et de paraffine sur les œufs de goélands. La paraffine étouffe le petit à l'intérieur de l'œuf alors que le formol permet de le conserver afin que le goéland continue de couver. En continuant de couver, l'animal ne cherche pas à se reproduire. Quand il découvre le leurre, il est trop tard pour reprendre son cycle d'éclosion, créer un nouveau nid et effectuer une nouvelle ponte. Il s'aperçoit que le site n'est plus propice à sa reproduction et fuit.

476 nids ont été traités en 2011, soit un total de 1182 œufs stérilisés.

Pour l'efficacité de l'opération, il faut que les oiseaux continuent à couver jusqu'à ce que la pulsion de reproduction soit passée. Il est donc recommandé pendant la période de traitement :

- de ne pas ôter les œufs des nids, ce qui entraînerait une deuxième ponte,
- de ne pas détruire les nids qui seraient alors rebâtis par le couple nicheur,
- de faciliter l'accès de votre toit aux équipes de spécialistes,
- de ne pas nourrir les oiseaux

Pour vous inscrire, retrouvez notre formulaire en ligne sur notre site internet www.lessablesdolonne.fr à partir du jeudi 1er mars.


Tags : Environnement
Rédigé par Les Sables Info le Mercredi 29 Février 2012 à 08:37 Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
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La mesure concerne les 31 900 communes de moins de 2000 habitants qui regroupent plus de 25 % de la population française. Egalement source de pollution lumineuse, l’éclairage public représente pour elles près de 50 % de leur consommation d’électricité. L’amélioration de leurs solutions d’éclairage est l’un des premiers leviers pour réaliser des économies d’énergie.


Éclairage public : l’État aide les petites collectivités à réduire leur consommation et leur facture d’énergie
Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l’Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement, a confié à François LOOS, Président de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME, la mission d’aider les communes de moins de 2000 habitants à rénover leur éclairage public. Cette mesure, présentée par la Ministre en décembre 2011 lors de la Table ronde nationale pour l’efficacité énergétique et dotée de 20 M€ de subventions, permettra de réduire de 50 % la consommation d’électricité des villes concernées, de diminuer la pollution lumineuse et la pointe d’électricité à la tombée de la nuit.

« La modernisation de l’éclairage public représente un gisement très important d’économies d’énergie, qui peut permettre de gagner 25 % sur la facture d’électricité des communes. Les petites communes n’ont souvent pas les moyens suffisants pour engager ces travaux. Avec cette aide, le Gouvernement fait en sorte qu’il n’y ait pas d’exclu de la transition énergétique », a déclaré Nathalie Kosciusko-Morizet.

Plus de la moitié du parc actuel, qui représente 9 millions de lampes, est composée de matériels obsolètes et énergivores : 40 % des luminaires en service ont plus de 25 ans et 1/3 du parc héberge des lampes à vapeur de mercure1. L’ADEME estime que le potentiel de réduction de la consommation d’énergie est de 50 à 75 %.

L’ADEME soutiendra notamment des travaux permettant une division par 2 des consommations sur la partie rénovée. Les opérations visant les luminaires type « boule » pourvus de lampes à vapeur de mercure, et concernant un nombre significatif de points lumineux, seront prioritaires. Les dossiers concernant un nombre significatif de points lumineux traités seront privilégiés.

Avec ce dispositif, l’État souhaite accélérer la rénovation du parc d’éclairage français pour :
• remplir les engagements européens et internationaux en terme d’efficacité énergétique à l’horizon 2020 et 2050 ;
• anticiper le règlement européen qui implique un retrait du marché des lampes à vapeur de mercure haute pression en avril 2015 (le délai de disparition des équipements en place sera ensuite d’au moins 10 ans) et les textes législatifs français à paraître imposant des actions pour réduire les nuisances lumineuses ;
• réduire la pointe d’appel d’électricité : aujourd’hui le pic de puissance appelée à la tombée de la nuit est de 1 260 MW. Cette puissance pourrait être réduite de plus de 25 % avec cette mesure ;
• préserver l’emploi et développer les compétences et l’innovation : les équipements d’éclairage public sont fabriqués essentiellement en France et installés par des entreprises établies en France ;
• réduire les nuisances lumineuses afin de contribuer notamment à la préservation de la biodiversité et la qualité d'observation de la voûte céleste.

Au total, la politique nationale en faveur de l’efficacité énergétique doit permettre une diminution des consommations à l’horizon 2020 comprise entre 19,7 et 21,4 %. Cela représente l’équivalent de la consommation annuelle de 16 millions d'habitants.

Télécharger la plaquette d'informations destinée aux collectivités ici
Tags : Environnement
Rédigé par Les Sables Info le Mercredi 22 Février 2012 à 16:45 Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
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Une des actions principales du plan d’action « agriculture » de la Stratégie nationale pour la biodiversité portée par le Ministère de l’Agriculture et de la Pêche est de mettre en place un outil de suivi de l’état de la biodiversité et de son évolution. En 2009, une étude a été confiée au Muséum National d’Histoire Naturelle afin d’identifier les indicateurs les plus pertinents à mobiliser à différentes échelles spatiales (parcelle, exploitation, régionale, nationale..). Ainsi, 4 protocoles simplifiés ont été testé en 2010 et diffusé en 2011, puis 2012.


Des agriculteurs vendéens s'investissent dans la préservation de la biodiversité
Le programme de développement rural (LEADER) du Pays du Symptamm (Syndicat Mixte du Pays du Talmondais, des Achards, du Mareuillais et du Moutierrois) a débuté en 2010. Une des actions de ce programme est de « maintenir et de développer les habitats favorables à la biodiversité dans les collectivités et en milieu agricole ». La Chambre d’agriculture a été missionnée pour cette action en partenariat avec l’association environnementale du Groupe Associatif Estuaire (GAE) de Talmont Saint-Hilaire.
Première mission : la réalisation de l’état des lieux de la biodiversité en milieu agricole et suivre son évolution sur la durée du programme 2010-2014.

La Chambre d’agriculture de la Vendée participe à la phase de test des indicateurs de la biodiversité du Muséum en 2010 et suit l’évolution de ces indicateurs en 2011, 2012, 2013 et 2014. C'est ainsi qu'un réseau de 44 exploitations agricoles du Pays du Symptamm a été mis en place.

Des agriculteurs volontaires observent la biodiversité sur leurs parcelles à l’aide de protocoles standardisés. Les protocoles visent la collecte de données sur la biodiversité dite « ordinaire » à l’aide de placettes pour vers de terre, plaques pour mollusques et carabes, transects d'observation de papillons et nichoirs pour abeilles solitaires. L'objectif est de mieux connaître la biodiversité en milieu agricole, son évolution au cours du temps et les relations avec les pratiques.

Chaque année, en décembre, une réunion de restitution a lieu à Moutiers les Mauxfaits (85).

Les objectifs sont :
- Faire valoir le rôle positif des agriculteurs dans la préservation de la biodiversité auprès de la société,
- Créer une base de données,
- Mieux connaître la biodiversité en milieu agricole, son évolution au cours du temps,
- Approfondir les connaissances sur la biodiversité en milieu agricole et le lien avec les pratiques,
- Fournir des outils de suivi de la biodiversité ordinaire.

Les 4 protocoles.
Plaquette de présentation
Source : http://www.agri85.fr

Tags : Environnement
Rédigé par Les Sables Info le Mardi 21 Février 2012 à 16:26 Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
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