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Les petits plus



Bilan 2012 sur la Sécurité routière en Vendée
Bilan des infractions constatées

En 2012, l’action des forces de police et de gendarmerie sur le terrain s’est traduite par :
. le maintien d’un niveau d’exigence élevé sur les dépistages d’alcoolémie et le ciblage des contrôles,
. le renforcement des actions répressives vis-à-vis des vitesses excessives ou inadaptées, notamment par les contrôles avec interception, et par la politique d’implantation des radars automatiques et pédagogiques sur le réseau secondaire, en concertation avec les élus locaux.

Les infractions constatées
- En matière de contrôle de vitesse, les radars automatiques démultiplient l’action des forces de l’ordre sur le terrain. Le département de la Vendée dispose à ce jour de 28 radars automatiques fixes, d’un radar automatique de franchissement de feu rouge et de 10 radars automatiques embarqués en service.

On dénombre 71 033 infractions pour l’année 2012 (-13,71 %), dont 65 672 pour les radars automatiques. Les contrôles traditionnels avec interception restent bien présents et nécessaires avec 7 830 infractions constatées. Plus de 95 % des infractions relevées par ces dispositifs automatiques concernent des dépassements inférieurs à 20 km/h au-dessus des vitesses légales autorisées.

- Le nombre d’infractions relatives à l’alcool connaît une diminution de 9 % et s’établit à 4 311 infractions. Ce résultat encourageant est à rapporter au 159 005 dépistages réalisées, soit 2 013 dépistages de plus qu’en 2011.

- Le nombre de suspensions du permis de conduire s’élève à 2 459 en 2012 contre 2 230 en 2011, soit une augmentation de 10,27 %.
Des dépistages pour détecter la conduite sous l’emprise des stupéfiants sont menés chaque semaine sur l’ensemble du département. 1 198 dépistages urinaires et salivaires ont été réalisés en 2012, 445 se sont révélés positifs par prise de sang (+0,91 %).
Rédigé par Les Sables d'Olonne Info le Dimanche 17 Février 2013 à 11:52 Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
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Réserve naturelle nationale de la casse de La Belle Henriette
Installation du gestionnaire et du conservateur de la réserve

La Belle Henriette, un site remarquable

Partie intégrante de l’ensemble naturel du Marais Poitevin, la réserve naturelle de la Casse de la Belle Henriette a été créée le 31 août 2011, à l’issue d’une procédure mise en oeuvre par le ministère chargé de la protection de l’environnement.

Elle est le résultat de l’important travail de concertation mené par les services de l’Etat avec les acteurs locaux, en particulier les représentants des communes, des chasseurs et des
associations concernés par le projet.

Située majoritairement sur le domaine public maritime face aux communes de la Faute sur Mer et la Tranche sur Mer, sa superficie atteint les 337 hectares dont 200 hectares pour la
superficie lagunaire.

La lagune de la Belle Henriette était, jusqu'au 16ème siècle, le débouché d'un bras du Lay dans l'Océan Atlantique. Dans un contexte général de recul de la côte, sa situation actuelle est due à l'évolution tout au long du 20ème siècle, d'ouest en est, d'un cordon dunaire.
Elle fait depuis le début des années 1980 l'objet de préoccupations à la fois de protection et d'aménagement. Au fil
des années, dans le contexte très sensible de l'instabilité du trait de côte, diverses solutions sont envisagées pour alimenter la lagune et conserver ainsi ses caractéristiques naturelles.

En 2000, la commission départementale des sites de Vendée approuve le classement de l'ensemble de la lagune et les dunes de la Belle Henriette en espace remarquable relevant des dispositions de l'article L. 146-6 de la loi Littoral.
Avec la Casse de la Belle Henriette, la Vendée compte 4 réserves naturelles nationales - les marais de Müllembourg sur l’Ile de Noirmoutier, la Baie de l’Aiguillon, St Denis du Payré et
4 réserves naturelles régionales – le Marais de la Vacherie, le Polder de Sébastopol, le Marais communal du Poiré de Velluire et la Ferme de Choisy.

Rédigé par Les Sables d'Olonne Info le Dimanche 17 Février 2013 à 11:17 Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
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Au petit matin tu arriveras
À la latitude de l’île d’Yeu et la longitude de la Pointe du Raz, Tanguy de Lamotte savoure ses derniers instants en mer, entre manœuvres, navigation au milieu des pêcheurs et désir d’en finir, c’est en début de matinée dimanche qu’Initiatives Cœur devrait franchir la ligne d’arrivée. Plus loin, à 150 milles de Sao Miguel aux Açores, Alessandro di Bendetto savoure, quant à lui, une navigation à plus de 10 nœuds de moyenne sur une route quasi directe vers le cap Finisterre.

Lors du dernier appel téléphonique avec Tanguy de Lamotte, le récit de sa navigation donne la mesure des derniers milles. « Je viens de passer au milieu d’une flotte de bateaux de pêche. Il faut vraiment faire attention car le trafic est intense. Je suis actuellement tribord amure vers les côtes et je vais virer dans la nuit pour redescendre bâbord amure vers Les Sables d’Olonne. » Avec la remontée du plateau continental et la proximité des lignes maritimes, Tanguy navigue dans une zone relativement fréquentée et doit redoubler de vigilance. Pressé d’en finir, Tanguy devrait arriver devant Les Sables d’Olonne dans la matinée de dimanche entre 9 et 10h. Il est actuellement à 124 milles des Sables d’Olonne en route directe mais avec encore un peu de louvoyage à faire, soit environ 150 milles.
Après avoir coupé la ligne d’arrivée, Initiatives Cœur pourra se lancer dans la remontée du chenal qui s’annonce d’ores et déjà festive, haute en couleurs et émouvante pour ce marin qui aura été l’un des grands animateurs de cette course.

1200 milles derrière Tanguy, Alessandro di Benedetto profite pleinement d’une navigation idyllique. Au portant avec une quinzaine de nœuds de vent et dans des conditions climatiques ni trop chaudes, ni trop froides, Team Plastique est passé de 99 milles à 284 milles parcourus en 24h. Une progression très honnête qui permet à Alessandro d’envisager une arrivée aux Sables vers le 21 février.
Rédigé par Les Sables d'Olonne Info le Dimanche 17 Février 2013 à 10:08 Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
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Le skipper d’Initiatives-Cœur attendu samedi
Dernière ligne droite pour Tanguy de Lamotte. Le skipper d’Initiatives-Cœur devrait maintenant bénéficier de vents portants jusqu’à l’entrée du golfe de Gascogne. Les derniers milles risquent d’être plus lents avec le retour du beau temps.C’est pour ce Week-end si tout continue de se dérouler comme prévu. Tanguy de Lamotte est de retour dans des eaux familières. La nuit dernière, le navigateur lorientais a laissé l’île de Florès à quelques milles sur son tribord. Il a pu voir les lumières de l’île, premier signe de civilisation depuis un long bail. Et des Açores aux sables d’Olonne, on a le sentiment de déjà connaître la route. Pour Alessandro Di Benedetto, il faudra compter une semaine supplémentaire avant de toucher au Graal. Et malgré toute sa verve, ces derniers jours de navigation risquent de peser lourd dans la balance. C’est toujours difficile de rester seul en mer quand tout le monde est arrivé. Il faut alors se raccrocher à des choses positives : se dire qu’on a la chance de faire partie des heureux élus qui vont boucler ce tour, profiter des derniers instants de beau temps avant de retrouver l’hiver, mesurer le chemin parcouru depuis le jour où l’on a eu l’idée de participer au Vendée Globe.Ensuite les attendent la remontée du chenal, les retrouvailles avec le public qui envahira de nouveau les quais, le champagne pour fêter le retour, le premier repas agrémenté d’un verre de Châteauneuf du Pape ou d’eau minérale, c’est selon… Ceux qui les ont précédés l’ont tous dit : finir est déjà une victoire.
Rédigé par Les Sables d'Olonne Info le Jeudi 14 Février 2013 à 08:25 Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
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Après sa fermeture hivernale, le Zoo des Sables va rouvrir ses portes le samedi 16 février 2013. Pour les vacances de février et de Pâques des animations sont proposées tout au long de l’après-midi.


Couple Gibbons à favoris blanc
Couple Gibbons à favoris blanc
Que s’est-il passé cet hiver ?

Bien que l’hiver ne soit pas la période préférentielle pour les naissances et les éclosions, c’est la saison durant laquelle le zoo organise le plus de transferts :

- Naissances :
Grâce aux bons soins de Nicolas, leur animalier, l’hiver a été favorable pour les manchots du Cap ! Huit jeunes ont éclos dans l’incubateur et ont été remis sous les parents.
Cinq jeunes loriquets ont également éclos cet hiver dans la grande volière d’Océanie. La famille du zoo continue de s’agrandir fin janvier 2013 avec la naissance de 2 petits suricates.

- Arrivées :
Une femelle Gibbon à favoris blanc est enfin arrivée au zoo. Cette espèce est classée « En danger critique d’extinction » sur la liste rouge de l’Union Mondiale pour la Conservation de la Nature (UICN). Les femelles de cette espèce sont très rares en captivité (Plan d’élevage européen) : " il nous a fallu attendre plusieurs années pour en recevoir une, compatible avec notre mâle. Son jeune frère, avec lequel il a partagé l’île durant tout ce temps est parti fonder un couple dans un grand parc zoologique, en Turquie" explique Sandrine Silhol, adjointe de direction/Curator.

Un couple de calao terrestre a remplacé les calaos bicornes dans leur volière. "Par soucis du bien-être de nos animaux, mi- novembre, le couple de calao bicorne, présent au zoo depuis plusieurs années, a été transféré dans un autre parc zoologique. La volière qui n’est pas très haute, n’était pas bien adaptée à des oiseaux vivants dans la canopée. Nous avons donc opté pour des calaos vivant essentiellement au sol : des calaos terrestres. Cet oiseau, originaire d’Afrique, est le plus grand calao du monde" précise Sandrine Silhol.

Une femelle muntjac de Reeves, petit herbivore du Sud-Est asiatique, vient de rejoindre le mâle dans la grande volière d’Océanie.

Un mâle Wallaby d’Eugénie est enfin arrivé. Cette petite espèce de marsupial australien est relativement peu présente dans les parcs zoologiques européens. "Il nous a fallu attendre longtemps la naissance d’un mâle pour trouver un compagnon aux 4 femelles déjà présentes au zoo des Sables".

Un Ibis d’Australie a rejoint la grande volière d’Océanie. Deux jeunes pénélopes à gorge bleue ont intégré la volière des tamarins dorés. Cet oiseau Sud-Américain, de la taille d’une perdrix est classé « Vulnérable » sur la liste rouge de l’UICN.
Rédigé par Les Sables d'Olonne Info le Mercredi 13 Février 2013 à 11:34 Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
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Bertrand de Broc (Votre Nom autour du Monde avec EDM Projets), tour du monde bouclé !
Bertrand de Broc est arrivé en neuvième position du Vendée Globe 2012-2013
Le skipper a franchi la ligne d'arrivée dimanche 10 février 2013, à 18h12m14s
Son temps de course est de 92j17h10m14s après pénalités de 12h pour avoir déplombé son bidon d'eau de survie.

Premier tour du monde bouclé pour sa 3ème participation au Vendée Globe.

Rédigé par Les Sables d'Olonne Info le Dimanche 10 Février 2013 à 18:41 Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
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Dominique Wavre a franchi la ligne d’arrivée du Vendée Globe à 16h 16mn 42s, heure française. Il prend la septième place de la course derrière Mike Golding.


Son temps de course est de 90j 03h 14mm 42s. Sa vitesse moyenne sur le parcours aura été de 11,3 nœuds. Il aura parcouru 27 396 milles sur l’eau à la vitesse moyenne de 12,7 nœuds. Rappel : la distance théorique du parcours est de 24 394 milles.

Le tonton flingueur est bien aimable

En bouclant son troisième Vendée Globe, Dominique Wavre ajoute un dixième tour du monde à son palmarès. Un bilan impressionnant pour le navigateur suisse qui aura démontré une fois de plus que l’on peut être compétiteur de haut niveau et rester d’une courtoisie et d’un fair-play impeccables.

La cellule familiale en pivot

Dominique Wavre n’a pas dérogé à la règle qui est la sienne depuis des années. Avec l’aide de sa compagne Michèle Paret et de la fille de celle-ci Magali, il monte ses projets en famille. Michèle, compétitrice dans l’âme l’accompagne sur chacune de ses courses en double, quand Magali gère les aspects logistiques. Etabli à La Rochelle la plupart du temps, Dominique veille toujours à préparer ses projets avec beaucoup de méticulosité. Le navigateur suisse a, comme Jean Le Cam, choisi de préparer son Vendée Globe sans trop aller se confronter aux autres IMOCA. Une philosophie qui lui a permis d’aborder cette édition 2012-2013 sans trop de pression vis à vis de la concurrence des bateaux de dernière génération.

Chacun son rythme

Dès le début de la course, Dominique Wavre a dû accepter de laisser partir par devant les prototypes de dernière génération qui, aux allures de reaching modéré, bénéficient d’un potentiel de vitesse supérieur. Les conditions météo de ce début de course favorisent les hommes de tête qui creusent rapidement l’écart. Très vite, Dominique se trouve au sein d’un groupe de chasse aux côtés de Mike Golding et Jean Le Cam. Devant eux la cavalerie légère des leaders mène la danse jusqu'au pot au noir qui se révèle difficile pour tout le groupe de tête.

Naissance des tontons


Le groupe des quinquas profite de ce regroupement pour revenir à une centaine de milles des cinq premiers que seul Alex Thomson parvient à titiller sur une unité datant de 2007. Ce trio groupé des cinquantenaires provoquera l’amusement de Dominique qui, l’affublera du surnom lié au titre du film d’Audiard. Le groupe des tontons flingueurs va naviguer au contact, jusqu’au large de la Tasmanie où Jean Le Cam prendra la poudre d’escampette. Mais cette navigation collés serrés va donner lieu à quelques scènes cocasses comme cette rencontre avec Jean Le Cam où les deux concurrents naviguent à moins d’une encablure l’un de l’autre. Chacun immortalisera la scène de vidéos à regarder en miroir.

Dixième cap Horn

Franchir le « cap dur » ne peut pas être anodin. Auparavant, il faut franchir l’obstacle des mers du Sud. Ces mers, symbole de liberté et d’espaces sauvages, Dominique a du mal à les voir se civiliser sous l’effet des portes des glaces. S’il n’en conteste pas l’intérêt pour des questions de sécurité, il n’aime pas la navigation séquencée que la répétition des passages obligés impose. D’autant que plusieurs fois, derrière les leaders, les poursuivants se trouvent englués dans des dorsales anticycloniques qui les freinent. Politesse helvétique oblige, il ne haussera jamais le ton plus que nécessaire, mais on sent bien que cette multiplication des obstacles n’est pas vraiment sa tasse de thé. Malgré tout, son dixième cap Horn est fêté avec les égards dus à l’événement.

Le purgatoire atlantique


Usuellement, le passage du cap Horn est une délivrance. Mais Dominique Wavre est trop fin renard pour ne pas savoir qu’il reste encore trois à quatre semaines de course avant de rallier les Sables d’Olonne et que ces derniers milles sont parfois compliquées. Et pourtant, jamais Dominique Wavre n’aura connu une remontée de l’Atlantique Sud aussi pénible. Vents contraires et erratiques, fichiers météo en total décalage avec la réalité, mer casse bateau. Comme tous ses compagnons d’infortune, Jean Le Cam, Javier Sanso, Arnaud Boissières, Mike Golding, le Suisse souffre. Mais il encaisse sans broncher, sachant que c’est aussi ces moments difficiles qui font que l’on apprécie encore les autres. En terminant à la septième place de cette édition 2012-2013, il boucle ainsi son quatrième Vendée Globe. Qui sait si ce diable d’homme n’est pas capable de nous en proposer un autre dans quatre ans ?

Points de repères

- Plus grande distance parcourue en 24 heures :
- Les Sables – équateur : 11j 20h 43mn (record détenu par Jean Le Cam en 2004-2005 en 10j 11h 28mn)
- Equateur – Bonne Espérance : 12j 17h 10mn (record JP Dick 12j02h40mn)
- Bonne Espérance – Cap Leeuwin : 14j 20h 50mn (record F Gabart 11j 06h 40mn)
- Cap Leeuwin – Cap Horn : 20j 11h 33mn (record F Gabart 17j 18h 35 mn)
- Cap Horn – équateur : 16j 21h 26mn (record F Gabart 13j 19h 28mn)
- Equateur – Les Sables d’Olonne : 13j 07h 32mn 05s.
Rédigé par Les Sables d'Olonne Info le Samedi 9 Février 2013 à 10:20 Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
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