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La Mairie des Sables vous informe que la rue Carnot sera fermée à la circulation à la hauteur de la rue Frégate Adélaïde jusqu'à la rue Montebello le lundi 12 novembre 2012 de 7h à 18h en raison d'un chantier situé au numéro 4 de la rue Carnot.
L'avenue Nicot rouverte dans les deux sens à la circulation facilitera l'accès aux parkings situés à proximité pour permettre notamment le dépôt des enfants à l'école du Centre.
L'avenue Nicot rouverte dans les deux sens à la circulation facilitera l'accès aux parkings situés à proximité pour permettre notamment le dépôt des enfants à l'école du Centre.
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Les Sables Info
Dans 18m de long par 5m de large (au plus large), le skipper Maître CoQ, engagé sur le Vendée Globe 2012, va devoir embarquer trois mois de nourriture, les dix voiles autorisées par le règlement de course, les outils, le matériel de rechange et de réparation, ses vêtements pour supporter les températures extrêmes des 50èmes rugissants, l’équipement vidéo et informatique et, bien sûr, tout le matériel médical et de sécurité obligatoire. Bref, il faut caser le maximum dans un minimum d’espace et pour un minimum de poids : un véritable défi à l’ingéniosité, relevé par le Team Maître CoQ.
Le dilemme des coureurs au large est toujours le même : embarquer l’ensemble du matériel nécessaire pour faire face à tous les aléas techniques et météo possibles dans un espace très limité, tout en gardant un bateau le plus léger possible. Ainsi, pendant les mois de préparation précédant le grand départ, Jérémie Beyou et son équipe ont optimisé chaque élément, pièce ou avitaillement à embarquer sur ce tour du monde.
L’avitaillement, par exemple, est empaqueté par ration journalière. Chaque aliment a été débarrassé des conditionnements superflus. La ration de chacun de ces sachets quotidiens contient juste la quantité de calories nécessaires pour la météo rencontrée, à priori, ce jour-là.
Les outils et le matériel de rechange sont, eux aussi, sortis des emballages inutiles et triés sur le volet. Ils sont ensuite rangés dans de simples bacs en plastique dont les couvercles, en composite ou en carbone, peuvent être utilisés par Jérémie pour une réparation.
Autre astuce parmi tant d’autres : en cas de fracture, Jérémie pourra se soigner grâce des bandes de plâtre constituées d’une résine médicale qui se durcie au contact de l’eau. Ce matériel, conçu pour un usage médical professionnel est à la fois pratique et léger.
Bref, chaque détail a été étudié, pensé, rentabilisé pour être le plus efficace et rentable possible.
Le matériel embarqué par Jérémie Beyou
Outils de communication
Les solitaires du Vendée Globe entrent tous les jours en liaison avec le PC course, pour des raisons de sécurité, mais aussi de communication. Ils appellent aussi régulièrement leur équipe et, bien sûr, leurs proches. Jérémie disposera de quatre téléphones au total.
Énergie
Deux sources principales d’énergie alimenteront l’électronique et l’informatique du bord du monocoque Maître CoQ : un hydrogénérateur et une génératrice alimentée par le moteur gasoil de 37 CV, obligatoire.
Matériel de sécurité
Il y aura à bord du monocoque Maître CoQ tout le matériel obligatoire, dont deux radeaux de survie, six balises de positionnement, des fusées de détresse, des gilets de sauvetage, de la fluorescéine, etc.
Vêtements
Deux jeux de ciré, une combinaison étanche, une combinaison de survie (TPS), des « sous-couches », des « premières couches », des polaires et des « wind-stoppeurs » de la marque Musto, partenaire technique de Jérémie Beyou.
Hygiène
Jérémie se servira au quotidien de lingettes, brosse à dents et rasoir. Les douches seront occasionnelles, sous une averse ou avec un seau d’eau salée et du shampoing spécial lorsque la course et le climat le permettront.
Avitaillement
Substitut de repas, œufs brouillés lyophilisés, gâteaux secs pour le petit-déjeuner, des repas complets à base d’un féculent et d’un apport protéiné grâce à des plats à base de poulet Maître CoQ spécialement conçus et conditionnés pour Jérémie par la marque « Marie », des repas lyophilisés, de soupes chinoises, viande séchée, conserves, de barres de céréales, fruits secs, salades de fruits et du pain pour se nourrir ... mais pas seulement.
Le skipper Maître CoQ va embarquer quatre pains des Abers de 900gr, spécialement conçus pour les marins, par Michel Izard un « maître » boulanger. Le concept de ce pain qui se conserve jusqu’à 30 jours, a été mis au point il y a une quinzaine d’années par ce boulanger-voyageur, désormais installé dans les Abers (à Lannilis dans le Finistère).
Quel plus beau symbole du partage, du repas et de la famille que le pain ? Pour Jérémie Beyou, c’est ce lien si évocateur des racines terriennes qu’il emportera à bord de Maître CoQ.
Michel Izard, de la Maison du Boulanger, un expert du pain : « Le pain est né d’une complicité implicite avec un marin des Abers. Nous avons réfléchi ensemble à un pain qui réponde à un besoin gustatif, qualitatif et vital. Après plusieurs essais, le pain a été baptisé pain des Abers et testé sur le Trophée Jules Verne.
Il est composé de farines bio ou label rouge, de froment, seigle et un petit peu de sarrasin puis des quatre autres ingrédients, l’eau, le levain, le sel et un peu de levure. Il faut le pétrir lentement, 15 minutes. Puis on le laisse dehors, on lui donne des rabats, on le pèse, on le façonne, on le met en banneton et on le laisse fermenter entre 12 et 24 heures selon la saison.
Ce qui fera la différence, c’est ce que tout le monde recherche et a de moins en moins : le temps, dont a besoin le levain pour fermenter. Il est l’âme du pain qui apporte toutes les subtilités olfactives, gustatives, l’acidité, la mâche.
La cuisson se fait dans un four à bois à l’inertie importante. On va le monter en température jusqu’à 240 °, le laisser poser puis enfourner. Le pain va cuire à chaleur dégressive, s’épanouir et commencer la formation de la croûte. À la fin de la cuisson, le pain sera à 220°. La croûte va se colorer et développer les arômes.
Pour assurer une bonne conservation, vont suivre deux cuissons à température descendante. Cela va épaissir la croûte sans trop cuire l’intérieur et sans trop la colorer. Entre deux cuissons, il faudra laisser le pain refroidir, au risque de ramollir la croûte. C’est elle qui permet la conservation du pain puisqu’elle va éviter les échanges d’hydrométrie entre la mie et l’air ambiant.
Le pain de Jérémie sera cuit trois fois et cela va se faire sur trois jours parce qu’il faut laisser refroidir une quinzaine d’heures entre deux cuissons. À la boulangerie, nous savons que nous avons une responsabilité importante ; quand on mange du pain et que l’on ferme les yeux, la mémoire gustative est importante, on s’évade et ce moment nous souhaitons qu’il soit le meilleur possible pour Jérémie. »
Au total, ce sont 110 kg de rations journalières que Jérémie va embarquer pour ses trois mois de course. Il disposera également de deux dessalinisateurs électriques, et manuels à la fois. Le règlement impose également aux solitaires d’embarquer 18 litres d’eau potable.
L’avitaillement, par exemple, est empaqueté par ration journalière. Chaque aliment a été débarrassé des conditionnements superflus. La ration de chacun de ces sachets quotidiens contient juste la quantité de calories nécessaires pour la météo rencontrée, à priori, ce jour-là.
Les outils et le matériel de rechange sont, eux aussi, sortis des emballages inutiles et triés sur le volet. Ils sont ensuite rangés dans de simples bacs en plastique dont les couvercles, en composite ou en carbone, peuvent être utilisés par Jérémie pour une réparation.
Autre astuce parmi tant d’autres : en cas de fracture, Jérémie pourra se soigner grâce des bandes de plâtre constituées d’une résine médicale qui se durcie au contact de l’eau. Ce matériel, conçu pour un usage médical professionnel est à la fois pratique et léger.
Bref, chaque détail a été étudié, pensé, rentabilisé pour être le plus efficace et rentable possible.
Le matériel embarqué par Jérémie Beyou
Outils de communication
Les solitaires du Vendée Globe entrent tous les jours en liaison avec le PC course, pour des raisons de sécurité, mais aussi de communication. Ils appellent aussi régulièrement leur équipe et, bien sûr, leurs proches. Jérémie disposera de quatre téléphones au total.
Énergie
Deux sources principales d’énergie alimenteront l’électronique et l’informatique du bord du monocoque Maître CoQ : un hydrogénérateur et une génératrice alimentée par le moteur gasoil de 37 CV, obligatoire.
Matériel de sécurité
Il y aura à bord du monocoque Maître CoQ tout le matériel obligatoire, dont deux radeaux de survie, six balises de positionnement, des fusées de détresse, des gilets de sauvetage, de la fluorescéine, etc.
Vêtements
Deux jeux de ciré, une combinaison étanche, une combinaison de survie (TPS), des « sous-couches », des « premières couches », des polaires et des « wind-stoppeurs » de la marque Musto, partenaire technique de Jérémie Beyou.
Hygiène
Jérémie se servira au quotidien de lingettes, brosse à dents et rasoir. Les douches seront occasionnelles, sous une averse ou avec un seau d’eau salée et du shampoing spécial lorsque la course et le climat le permettront.
Avitaillement
Substitut de repas, œufs brouillés lyophilisés, gâteaux secs pour le petit-déjeuner, des repas complets à base d’un féculent et d’un apport protéiné grâce à des plats à base de poulet Maître CoQ spécialement conçus et conditionnés pour Jérémie par la marque « Marie », des repas lyophilisés, de soupes chinoises, viande séchée, conserves, de barres de céréales, fruits secs, salades de fruits et du pain pour se nourrir ... mais pas seulement.
Le skipper Maître CoQ va embarquer quatre pains des Abers de 900gr, spécialement conçus pour les marins, par Michel Izard un « maître » boulanger. Le concept de ce pain qui se conserve jusqu’à 30 jours, a été mis au point il y a une quinzaine d’années par ce boulanger-voyageur, désormais installé dans les Abers (à Lannilis dans le Finistère).
Quel plus beau symbole du partage, du repas et de la famille que le pain ? Pour Jérémie Beyou, c’est ce lien si évocateur des racines terriennes qu’il emportera à bord de Maître CoQ.
Michel Izard, de la Maison du Boulanger, un expert du pain : « Le pain est né d’une complicité implicite avec un marin des Abers. Nous avons réfléchi ensemble à un pain qui réponde à un besoin gustatif, qualitatif et vital. Après plusieurs essais, le pain a été baptisé pain des Abers et testé sur le Trophée Jules Verne.
Il est composé de farines bio ou label rouge, de froment, seigle et un petit peu de sarrasin puis des quatre autres ingrédients, l’eau, le levain, le sel et un peu de levure. Il faut le pétrir lentement, 15 minutes. Puis on le laisse dehors, on lui donne des rabats, on le pèse, on le façonne, on le met en banneton et on le laisse fermenter entre 12 et 24 heures selon la saison.
Ce qui fera la différence, c’est ce que tout le monde recherche et a de moins en moins : le temps, dont a besoin le levain pour fermenter. Il est l’âme du pain qui apporte toutes les subtilités olfactives, gustatives, l’acidité, la mâche.
La cuisson se fait dans un four à bois à l’inertie importante. On va le monter en température jusqu’à 240 °, le laisser poser puis enfourner. Le pain va cuire à chaleur dégressive, s’épanouir et commencer la formation de la croûte. À la fin de la cuisson, le pain sera à 220°. La croûte va se colorer et développer les arômes.
Pour assurer une bonne conservation, vont suivre deux cuissons à température descendante. Cela va épaissir la croûte sans trop cuire l’intérieur et sans trop la colorer. Entre deux cuissons, il faudra laisser le pain refroidir, au risque de ramollir la croûte. C’est elle qui permet la conservation du pain puisqu’elle va éviter les échanges d’hydrométrie entre la mie et l’air ambiant.
Le pain de Jérémie sera cuit trois fois et cela va se faire sur trois jours parce qu’il faut laisser refroidir une quinzaine d’heures entre deux cuissons. À la boulangerie, nous savons que nous avons une responsabilité importante ; quand on mange du pain et que l’on ferme les yeux, la mémoire gustative est importante, on s’évade et ce moment nous souhaitons qu’il soit le meilleur possible pour Jérémie. »
Au total, ce sont 110 kg de rations journalières que Jérémie va embarquer pour ses trois mois de course. Il disposera également de deux dessalinisateurs électriques, et manuels à la fois. Le règlement impose également aux solitaires d’embarquer 18 litres d’eau potable.
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Les Sables Info
ANSEL, l'association de Nettoyage au Service de l'Environnement et du Littoral organise une opération nettoyage de la plage et sensibilisation de l'impact des dechets sur la faune et la flore avec le soutien des Communes des Sables d'Olonne de Concarneau et leur partenaire QUIKSILVER : " Nous espérons la présence de nombreux navigateurs. Vous souhaitez aider les skippers à faire une belle course , venez nous rejoindre pour le nettoyage de la plage vous comprendrez pourquoi c'est important de ramasser et surtout de ne plus en jeter.... "
Rendez-vous ce mercredi 07 novembre 2012 à 14H30 plage du Paracou aux Sables d'Olonne.
Association Ansel, 15 rue Henri Cevaër 29900 Concarneau.
Téléphone : 02 98 50 55 35.
Rendez-vous ce mercredi 07 novembre 2012 à 14H30 plage du Paracou aux Sables d'Olonne.
Association Ansel, 15 rue Henri Cevaër 29900 Concarneau.
Téléphone : 02 98 50 55 35.
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Les Sables Info
A 4 jours du départ du Vendée Globe, Jean-Pierre Dick revient sur ses motivations et ses objectifs pour sa troisième participation à ce tour du monde en solitaire. Samedi prochain, JP prendra le départ de ce Graal à bord de Virbac-Paprec 3. Au-delà de la compétition et de l’Aventure que représente cette course, le skipper véto vient aussi chercher « l’osmose avec la nature ».
Interview.
Pourquoi une troisième participation au Vendée Globe ?
JP : « Retrouver cette course du Vendée Globe est important pour moi, c'est une sorte de revanche. Lors de la dernière édition, j'ai été contraint d'abandonner pour un problème de casse matérielle, alors que j'avais fait un bon début de course et que je naviguais en tête. La déception était immense, et la frustration était telle au moment de l'abandon que j'avais déjà décidé dans un coin de ma tête de ne pas en rester là. Je savais déjà que je repartirais quatre ans plus tard et que je me donnerais tous les moyens pour achever le travail interrompu de façon accidentelle. Et me revoilà en effet avec un nouveau bateau. Virbac-Paprec 3 est champion du monde et détient le record de distance parcourue en 24 heures en IMOCA 60. Il a donc fait ses preuves et démontré son potentiel.»
L’âge de la maturité ?
« Depuis ma dernière participation à cette course mythique, j'ai gagné en expérience, et ajouté deux belles victoires à mon palmarès. Je travaille aussi beaucoup sur moi même, et je me prépare physiquement et mentalement. Je nage pratiquement tous les matins, à la fois pour m'entretenir et pour me détendre. J’aborde ce Vendée Globe d’une façon différente de mes précédents.»
Quels sont tes objectifs pour ton ultime Vendée Globe ?
« Lors de mon premier Vendée Globe, mon objectif était de participer et de bien figurer. Le but premier était de terminer la course, sans véritable ambition pour le classement. Plus de dix années se sont écoulées, je repars pour mon troisième Vendée Globe, et mes objectifs ont bien sûr beaucoup évolué. Cette fois, je compte rivaliser avec les meilleurs : je pars au mieux pour gagner, au moins pour être sur le podium ! »
Souffres-tu de la solitude en mer ?
« J'aime me retrouver seul face à moi même, responsable et concentré sur un objectif clair. C'est un voyage intérieur intéressant, que j'apprécie. Je me découvre, j'apprends à gérer les éventuels conflits entre mes pulsions qui peuvent m'inciter à prendre des risques, et la sagesse, qui m'aide à tempérer mes élans excessifs. Il faut trouver l'équilibre entre les deux faces de sa personnalité, le téméraire et le rationnel, et parvenir à une complète maîtrise de soi-même pour une meilleure efficacité en mer.»
Qu’est ce qui t’attire dans cette aventure ?
« C'est aussi l'expérience de l'homme dans la nature qui m'attire. Face aux éléments pendant près de trois mois, on accède à une forme d'osmose avec la nature. On parvient à vivre en fonction du soleil, on adapte sa vie aux températures froides et chaudes, on réinvente les rythmes du jour et de la nuit, on redécouvre des relations naturelles avec les animaux... C'est pour moi une fausse solitude, car les animaux et la nature nous accompagnent. Ce ne sont plus les contacts humains qui régissent notre vie, mais d'autres formes de compagnie. Nous ne sommes jamais vraiment seuls. »
Pourquoi une troisième participation au Vendée Globe ?
JP : « Retrouver cette course du Vendée Globe est important pour moi, c'est une sorte de revanche. Lors de la dernière édition, j'ai été contraint d'abandonner pour un problème de casse matérielle, alors que j'avais fait un bon début de course et que je naviguais en tête. La déception était immense, et la frustration était telle au moment de l'abandon que j'avais déjà décidé dans un coin de ma tête de ne pas en rester là. Je savais déjà que je repartirais quatre ans plus tard et que je me donnerais tous les moyens pour achever le travail interrompu de façon accidentelle. Et me revoilà en effet avec un nouveau bateau. Virbac-Paprec 3 est champion du monde et détient le record de distance parcourue en 24 heures en IMOCA 60. Il a donc fait ses preuves et démontré son potentiel.»
L’âge de la maturité ?
« Depuis ma dernière participation à cette course mythique, j'ai gagné en expérience, et ajouté deux belles victoires à mon palmarès. Je travaille aussi beaucoup sur moi même, et je me prépare physiquement et mentalement. Je nage pratiquement tous les matins, à la fois pour m'entretenir et pour me détendre. J’aborde ce Vendée Globe d’une façon différente de mes précédents.»
Quels sont tes objectifs pour ton ultime Vendée Globe ?
« Lors de mon premier Vendée Globe, mon objectif était de participer et de bien figurer. Le but premier était de terminer la course, sans véritable ambition pour le classement. Plus de dix années se sont écoulées, je repars pour mon troisième Vendée Globe, et mes objectifs ont bien sûr beaucoup évolué. Cette fois, je compte rivaliser avec les meilleurs : je pars au mieux pour gagner, au moins pour être sur le podium ! »
Souffres-tu de la solitude en mer ?
« J'aime me retrouver seul face à moi même, responsable et concentré sur un objectif clair. C'est un voyage intérieur intéressant, que j'apprécie. Je me découvre, j'apprends à gérer les éventuels conflits entre mes pulsions qui peuvent m'inciter à prendre des risques, et la sagesse, qui m'aide à tempérer mes élans excessifs. Il faut trouver l'équilibre entre les deux faces de sa personnalité, le téméraire et le rationnel, et parvenir à une complète maîtrise de soi-même pour une meilleure efficacité en mer.»
Qu’est ce qui t’attire dans cette aventure ?
« C'est aussi l'expérience de l'homme dans la nature qui m'attire. Face aux éléments pendant près de trois mois, on accède à une forme d'osmose avec la nature. On parvient à vivre en fonction du soleil, on adapte sa vie aux températures froides et chaudes, on réinvente les rythmes du jour et de la nuit, on redécouvre des relations naturelles avec les animaux... C'est pour moi une fausse solitude, car les animaux et la nature nous accompagnent. Ce ne sont plus les contacts humains qui régissent notre vie, mais d'autres formes de compagnie. Nous ne sommes jamais vraiment seuls. »
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Les Sables Info
Pour échanger avec les producteurs sur la situation des coopératives du département ou encore l'avancée de l’association régionale des producteurs Lactalis, la section laitière renouvelle cette année encore quatre réunions d’échange ouvertes à tous.
Marie-Thérèse Bonneau, qui est aussi secrétaire générale de la FNPL, sera présente lors de ces quatre rendez-vous :
- Lundi 19 novembre, aux Herbiers (lieu à définir) à 14h30,
- Lundi 19 novembre, à Challans, salle de l'ISMA à 20h,
- Vendredi 23 novembre, à Petosse, salle de la mairie à 10h30,
- Lundi 26 novembre à La Roche sur Yon, Ecole des Etablières, amphithéâtre des BTS à 20h.
Marie-Thérèse Bonneau, qui est aussi secrétaire générale de la FNPL, sera présente lors de ces quatre rendez-vous :
- Lundi 19 novembre, aux Herbiers (lieu à définir) à 14h30,
- Lundi 19 novembre, à Challans, salle de l'ISMA à 20h,
- Vendredi 23 novembre, à Petosse, salle de la mairie à 10h30,
- Lundi 26 novembre à La Roche sur Yon, Ecole des Etablières, amphithéâtre des BTS à 20h.
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Les Sables Info
Dans moins d' une semaine sera donné le départ du plus célèbre et du plus extrême tour du monde, le Vendée Globe. Discret comme à son habitude, le roi « Jean » se confie quelques minutes avant de retrouver son équipe technique pour finaliser les derniers détails.
Dans quel état d’esprit es-tu à 7 jours du départ ?
« Je suis serein, confiant sans être impatient ni excité. Mon équipe s’occupe de tout à bord et je passe les voir de temps à temps pour vérifier quelques détails ou faire les derniers tests. SynerCiel est déjà en configuration Vendée Globe. Il ne reste que l’avitaillement à charger. »
A quoi ressemblent ces dernières journées passées à terre ?
« Tout est organisé pour ne pas me stresser. Le matin, je n’ai pas d’impératif. Je me réveille à l’heure que je veux. Ce matin, j’avais mis un réveil à 11h00 mais je me suis réveillé à 9h30. On va tellement avoir une dette de sommeil rapidement que j’essaye de faire de bonnes nuits. Je regarde un peu la météo puis je rejoins mon équipe sur le village vers midi. L’après-midi est partagé entre les relations publiques avec les partenaires et les interviews média. Quand j’ai des trous dans mon planning, j’en profite pour aller à bord. Et le soir, je dine le plus souvent au Charcot avec qui veut bien partager mon diner ! Le plus souvent des amis ou mon équipe. »
Suis-tu un régime spécial ?
« Non, je ne fais rien de spécial. J’essaye juste de bien dormir. Je mange des repas équilibrés faits avec de bons produits, c’est tout. »
Pour suivre l’actualité du projet www.jeanlecam.fr
« Je suis serein, confiant sans être impatient ni excité. Mon équipe s’occupe de tout à bord et je passe les voir de temps à temps pour vérifier quelques détails ou faire les derniers tests. SynerCiel est déjà en configuration Vendée Globe. Il ne reste que l’avitaillement à charger. »
A quoi ressemblent ces dernières journées passées à terre ?
« Tout est organisé pour ne pas me stresser. Le matin, je n’ai pas d’impératif. Je me réveille à l’heure que je veux. Ce matin, j’avais mis un réveil à 11h00 mais je me suis réveillé à 9h30. On va tellement avoir une dette de sommeil rapidement que j’essaye de faire de bonnes nuits. Je regarde un peu la météo puis je rejoins mon équipe sur le village vers midi. L’après-midi est partagé entre les relations publiques avec les partenaires et les interviews média. Quand j’ai des trous dans mon planning, j’en profite pour aller à bord. Et le soir, je dine le plus souvent au Charcot avec qui veut bien partager mon diner ! Le plus souvent des amis ou mon équipe. »
Suis-tu un régime spécial ?
« Non, je ne fais rien de spécial. J’essaye juste de bien dormir. Je mange des repas équilibrés faits avec de bons produits, c’est tout. »
Pour suivre l’actualité du projet www.jeanlecam.fr
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Les Sables Info
Le Vendée Globe est un formidable événement pour faire connaître aux plus jeunes le monde de la voile. Le Conseil général de la Vendée a donc décidé de renouveler et de développer en 2012 son Vendée Globe Junior.
Mis en ligne depuis le mois de septembre 2012, le site internet www.vendee-globe-junior.vendee.fr a été relooké. Il dispose de ressources pédagogiques diverses et complètes, notamment un large panel de fiches informatives ainsi qu’une webcam pour observer la vie des pontons en direct durant l’ouverture du village et le départ du Vendée Globe.
L’accès à des liens vers une webcam permet de suivre en direct la vie des pontons.
Vous avez la possibilité de télécharger des ressources pédagogiques pour les tableaux numériques interactifs (TNI) mis à disposition des collèges de Vendée.
A la fin du mois de septembre 2012, l’ensemble des écoles de Vendée s'est vu distribuer une nouvelle mallette pédagogique Vendée Globe Junior 2012-2013, comprenant fiches, photos, posters, animations pour TNI, kits de suivi de course, films sur l’histoire de la navigation, du Vendée Globe, sur la vie d’un skipper ou la découverte d’un bateau, etc...
Un espace de découverte pour les scolaires est installé au sein du Village des Sables d’Olonne, avec la participation de l’Ecole Départementale des Arts et du Patrimoine (EDAP) qui fera découvrir les pontons et les stands aux jeunes mais aussi au grand public.
L’événement sera aussi l’occasion de proposer un vaste programme d’activités pédagogiques durant toute l’année scolaire à venir. Axé sur la thématique de la mer et de la course, ce programme se partagera entre trois antennes de l’EDAP : Talmont, l’Historial et la Chabotterie. Enfin, en plus du dispositif Vendée Globe Junior, le quotidien Ouest-France (en collaboration avec le Conseil Général de la Vendée) éditera au mois de février 2013 un supplément de 24
pages à partir de reportages réalisés par les collégiens vendéens.
Tout pour atteindre l’un des objectifs du Vendée Globe 2012-2013, à savoir attirer un nouveau public : les jeunes (scolaires, primaires et collégiens) et leurs familles.
L’accès à des liens vers une webcam permet de suivre en direct la vie des pontons.
Vous avez la possibilité de télécharger des ressources pédagogiques pour les tableaux numériques interactifs (TNI) mis à disposition des collèges de Vendée.
A la fin du mois de septembre 2012, l’ensemble des écoles de Vendée s'est vu distribuer une nouvelle mallette pédagogique Vendée Globe Junior 2012-2013, comprenant fiches, photos, posters, animations pour TNI, kits de suivi de course, films sur l’histoire de la navigation, du Vendée Globe, sur la vie d’un skipper ou la découverte d’un bateau, etc...
Un espace de découverte pour les scolaires est installé au sein du Village des Sables d’Olonne, avec la participation de l’Ecole Départementale des Arts et du Patrimoine (EDAP) qui fera découvrir les pontons et les stands aux jeunes mais aussi au grand public.
L’événement sera aussi l’occasion de proposer un vaste programme d’activités pédagogiques durant toute l’année scolaire à venir. Axé sur la thématique de la mer et de la course, ce programme se partagera entre trois antennes de l’EDAP : Talmont, l’Historial et la Chabotterie. Enfin, en plus du dispositif Vendée Globe Junior, le quotidien Ouest-France (en collaboration avec le Conseil Général de la Vendée) éditera au mois de février 2013 un supplément de 24
pages à partir de reportages réalisés par les collégiens vendéens.
Tout pour atteindre l’un des objectifs du Vendée Globe 2012-2013, à savoir attirer un nouveau public : les jeunes (scolaires, primaires et collégiens) et leurs familles.
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