La voile en Vendée

La Route du Rhum-la Banque Postale sera logiquement l’épreuve phare du calendrier 2010 de la Class40. Pour les skippers et leurs partenaires, la célèbre transat en solitaire disputée tous les 4 ans reste un événement sportif et médiatique attendu et incontournable. Pas moins de 35 solitaires devraient être sur les rangs en Class40, à Saint Malo, le 31 octobre prochain.
D’ici là, les skippers Class40 vont pouvoir découvrir de nouvelles épreuves et retrouver des événements éprouvés à l’instar du Grand Prix de Douarnenez qui ouvrira le bal de la saison 2010, au printemps prochain…

9 nouvelles épreuves au calendrier
La saison 2010 sera marquée par huit nouvelles courses au calendrier Class40 :
- quatre épreuves en Méditerranée : la SNIM, la Roma per due, la Giraglia et le Tour du Corse,
- deux tours des îles Britanniques et de l’Irlande,
- une course au large de l’Allemagne,
- une épreuve en Manche, dédiée aux Class40,
- le Championnat du Monde à Gijon en Espagne,
- un chrono autour de l’île de Groix…

Suite à la disparition de la course des « 1000 milles Brittany Ferries » pour des raisons économiques, deux nouvelles épreuves, toutes deux très intéressantes, se sont proposées à la Class40 : le Grand Prix de l’Ecole Navale et un parcours de 1000 milles, en Manche. Le calendrier 2010 de la Class40 avait besoin d’une course au large de remplacement, et non d’un grand prix, « mais nous restons en contact avec l’Ecole Navale et la ville de Brest » précise Jacques Fournier, président de la Class40.

Des courses du Nord au Sud …
La vocation internationale de la Class40 l’incite à repousser toujours plus loin ses frontières en termes d’organisation de courses. La Class40 cherche également à animer plusieurs bassins maritimes à la fois. Forte de ses 130 adhérents et des 90 bateaux en circulation, la flotte des Class40 est en mesure de se dispatcher au Nord et au Sud de l’Europe.
Cette répartition d’événements facilite ainsi l’organisation des skippers et la médiatisation de leurs partenaires. Par ailleurs, le Championnat du Monde 2010, qui se tiendra à Gijon en juillet, sera comme un trait d’union entre nordistes et sudistes.

Travailler en bonne entente pour le bénéfice de tous
Le bureau de la Class40 a profité du Salon Nautique de Paris pour convier les organisateurs de courses à une réunion. L’objectif de ce rendez-vous était d’échanger ouvertement sur les attentes de chacun en termes de création d’événements. Le but de la Class40 étant de travailler main dans la main avec chaque organisateur.
Une douzaine d’intervenants a répondu présent et exposé ses projets. Le dialogue s’est révélé constructif et reste ouvert entre la classe et les organisateurs pour créer ensemble des événements pérennes qui répondent aux attentes de tous : skippers, partenaires, média, grand public.

Suite à cette réunion, un calendrier 2010 a été établi (cf. ci-dessous et en pièce jointe), il sera présenté dans le détail lors de l’Assemblée Générale de la Class40 le 9 janvier 2010, à Marseille. Un programme de course américain (sur les côtes Est et Ouest des Etats-Unis) sera également présenté lors de cette AG.

Le programme 2011 se dessine
Pour 2011, les grandes lignes du calendrier se profilent et seront débattues le 9 janvier prochain :
- Une transat Est-Ouest est en projet pour le début du printemps 2011, de sérieux contacts ont notamment été engagés avec Saint Domingue.
- La Global Ocean Race, un tour du monde en double avec escales, le départ sera donné en septembre 2011 (arrivée prévue en mai 2012). Josh Hall, organisateur de cette circumnavigation, enregistre déjà 10 intentions de participation et la classe estime que 15 à 20 duos devraient être au départ : « ce tour de monde va attirer de nouveaux coureurs issus des cinq continents qui ne sont pas encore adhérents à la Class40 », précise Jacques Fournier.
- Suite au succès remporté par la Solidaire du Chocolat, la class40 fera tout pour que l’événement soit reconduit en 2011. Cette transat en double entre la France et le Mexique est complémentaire du tour du monde et devrait attirer de nombreux concurrents.
La Solidaire du Chocolat sera d’ailleurs dignement célébrée vendredi prochain, 11 décembre, au Nautic, par une « journée chocolat ».

Touché mais pas coulé, le secteur nautique espère booster ses ventes lors du salon de Paris, qui ouvre ses portes du 5 au 13 décembre. Tendances, nouveautés, infos pratiques : L'Internaute fait le point. L'industrie nautique a subi de plein fouet le ralentissement de l'économie mondiale. A titre d'exemple, le yachting de luxe enregistre une baisse de 40 % de son chiffre d'affaires sur la période 2008-09. Le salon parisien arrive donc à point nommé pour les constructeurs, qui réalisent pour certains la moitié de leurs ventes annuelles sur place.
Cette année, le Nautic mise sur la voile. Près de 500 bateaux seront exposés dans le Pavillon 1 au Parc des Expos de la porte de Versailles. L'offre, diversifiée, se compose de bateaux plaisirs, day-boats (pour naviguer à la journée) et autres voiliers de croisière.

Tous les grands constructeurs seront présents à Paris . Le groupe vendéen Jeanneau misera sur son nouveau "53", un grand voilier conçu pour la navigation en famille. Autres nouveautés : le Catana 43, le Lagoon 400, le Lipari de Fountaine Pajot.

Côté moteur, ça bouge aussi
D'un point de vue comptable, les bateaux à moteur gardent la main : ce sont 600 modèles qui seront exposés au Nautic. Amorcé depuis plusieurs années déjà, le virage écologique se poursuit. Les nouvelles solutions hybrides tiendront le haut du pavé, de même que les diesels jugés plus "propres" (disons plutôt, moins polluants) qu'auparavant.

Là encore, tous les grands chantiers navals répondent présents. Le groupe Bénéteau, par exemple, débarque à Paris avec trois nouveaux bateaux : l'Antares 42, l'Antares 6.80 et le Monte Carlo 42.

Sauveteurs et chefs étoilés en vedette
L'édition 2009 du Nautic accueille des grands noms de la cuisine française : les chefs étoilés Patrick Jeffroy, Christophe Aribert et Jean Sulpice, mais aussi Jean-Marie Zimmerman, qui officie sur le Queen Mary 2. Pendant toute la durée du salon, ils prépareront leus meilleurs plats sur de véritables cuisines de bateaux. Ils seront parfois assistés de skippers reconnus. Samantha Davies, Michel Desjoyeaux, Mike Golding et Marc Guillemot viendront notamment mettre la main à la pâte.

Autre présence inédite : celle d'une vedette de la SNSM, l'association des Sauveteurs en Mer. Les visiteurs pourront monter à bord du bateau (une VI longue de 14,05 m) et visiter son poste de pilotage, pour découvrir dans quelles conditions et avec quels moyens les sauveteurs opèrent.

Dates : du samedi 5 décembre au dimanche 13 décembre
Entrée : 13 € plein tarif, 7 € pour les 16-18 ans et les groupes de plus de 10 personnes ; gratuit pour les moins de 16 ans et les étudiants de moins de 27 ans (pré-enregistrement sur le site et justificatif à l'entrée).Horaires d'ouverture : Tous les jours de 10 h à 19 h (nocturne le 11 jusqu'à 22 h)
Station Porte de Versailles : Métro Ligne 12, Tramway T2 et T3, Bus Ligne 80 le dimanche

Née de la volonté de la Classe Mini de créer une épreuve alternative, tous les 2 ans à la Transat 6,50 " La Rochelle - Bahia ", " Les Sables - Les Açores – Les Sables ", organisée par les Sports Nautiques Sablais et soutenue par la Ville des Sables d’Olonne et la Région des Pays de la Loire, prépare sa 3ème édition après avoir connu un franc succès lors des deux précédentes. Disputée pendant la période estivale, cette épreuve permet aux Ministes de venir se mesurer sur l'Atlantique sur un parcours en deux étapes de 1270 milles.
Le Portugais Francisco Lobato, vainqueur en 2006, a réalisé en 2008 lors de la deuxième édition le grand chelem en remportant les deux étapes en temps réel parmi les voiliers de série et le classement général devant tous les prototypes ! Une première dans le circuit Mini depuis que les deux catégories existent… Plus de 50 bateaux avaient pris le départ en 2008. Classée parmi les épreuves adressées aux plus aguerris des Ministes, « Les Sables – Les Açores – Les Sables » demande des conditions strictes de qualification, qui devraient être remplies, avant le départ le 1er août 2010, par environ 70 coureurs qui pourront ainsi s’élancer des Sables d’Olonne.

www.sportsnautiquessablais.com

Arrivées mouvementées et pluvieuses à Puerto Limon pour les quatre bateaux encore en bagarre pour la cinquième place. Entre W Hotel et Veolia Environnement, tout s'est joué dans les derniers milles avec une différence de moins de cinq minutes sur la ligne d'arrivée. Pour la septième place, la lutte au couteau entre Aviva et Akena Vérandas a tourné finalement à l'avantage de Vincent Riou et Arnaud Boissières. Et pourtant, quelques heures avant l'arrivée Roland Jourdain et Jean-Luc Nélias, tout comme Dee Caffari et Brian Thompson pensaient avoir partie gagnée. A rebours de toutes leurs certitudes, les circonstances en ont décidé autrement.

Le ciel était de méchante humeur ce matin sur les quais de Puerto Limon : c'est sous une pluie diluvienne que les bateaux en lutte pour la cinquième place se sont présentés sur la ligne d'arrivée. Tout le monde attendait Veolia Environnement, quand la voile de W Hotels est apparue derrière la jetée du port de commerce, à la surprise générale. Pourtant Roland Jourdain et Jean-Luc Nélias pensaient avoir fait le plus dur en virant de bord opportunément dans un grain la nuit dernière. Au premières heures de la matinée (en heure française), ils possédaient encore une avance de cinq milles sur leurs adversaires… Leur joli monocoque rouge avançait tranquillement vers la ligne quand sous un grain, ils ont vu revenir à leur vent, Alex Pella et Pepe Ribes lancés comme une fusée… Le temps qu'ils reprennent à leur tour du vent, le tandem espagnol était repassé devant et réussissait à conserver cet avantage jusque l'arrivée. Beaux joueurs, mais un peu estourbis par ce coup du sort, Roland et Jean-Luc choisissaient de s'en remettre à une leurs armes favorites, l'humour… Sur le ponton, ça chambrait sec et le sourire radieux d'Alex Pella était peut-être le meilleur baume au cœur de leurs adversaires malheureux du jour. Quand on peut faire plaisir…

Bis repetitae
C'est un peu le même scénario qui se répétait, trois heures plus tard, quand Akena Vérandas soufflait, au nez et la barbe de l'équipage d'Aviva la septième place dans les derniers milles. Arnaud Boissières et Vincent Riou, longtemps relégués en queue de peloton n'ont eu de cesse de se dire que toute place était bonne à prendre après une option sud qui les avait plongés dans les profondeurs du classement. Sur les quais, Jean Le Cam accompagné d'Yves Le Blévec attendait son pote Vincent qui va, maintenant, pouvoir se consacrer pleinement à la préparation de son nouveau bateau pour le Vendée Globe 2012. Et pourtant, rien n'était gagné puisque Vincent et Arnaud naviguaient sans leur solent depuis plusieurs jours, un handicap certain dans le petit temps. C'est à la faveur d'un bord radical dans les derniers milles qu'ils ont réussi à prendre le meilleur sur les deux Britanniques. Le temps bas et gris qui régnait sur Puerto Limon aurait pu faire penser aux sombres heures de Waterloo plutôt qu'au soleil d'Austerlitz, mais l'histoire avait décidé, cette fois-ci, de ne pas repasser les plats… Qui sait si la morale répétée de cette arrivée ne vas donner des idées aux deux Multi50 encore en bagarre pour la deuxième place. Lalou Roucayrol (Région Aquitaine Port-Médoc) montrait en tous les cas ce matin une détermination intacte, tandis que Victorien Erussard (Guyader pour Urgence Climatique) continuait de jeter un œil dans le rétroviseur, histoire de garder son adversaire à distance. Histoire que Puerto Limon ne devienne pas, une nouvelle fois, le juge de paix versatile d'une traversée de l'Atlantique de plus de trois semaines.

Ils ont dit :
Alex Pella, W Hotels, 5ème au classement IMOCA
« C'était notre première course en double avec Pepe sur un IMOCA et le fait d'arriver cinquième est vraiment une belle satisfaction. Les dernières heures ont été incroyables avec Veolia Environnement. On ne savait pas où ils étaient, on l'a su seulement ce matin. On était tous en furtif mais avec Veolia on s'est vu toute la nuit. Entre nous deux, ça n'a pas servi à grand-chose. Nous venons de faire un très bon entraînement pour la Barcelona World Race. Nous sommes très contents d'être venus sur cette course. Notre classement est un très bon classement pour nous ! »

Roland Jourdain, Veolia Environnement, 6ème au classement IMOCA
« Avant on avait les Anglais maintenant on a les Espagnols ! C'était rude ! On s'est éclaté parce qu'il y avait une belle bagarre pour la première place dans le deuxième groupe ! C'était intense et riche en tout. On savait que ce parcours serait plus varié au niveau des conditions, ça a vraiment été le cas. Nous avons même eu le droit à une petite escale technique, on aime bien avec Jean Luc ! C'est pour ça qu'on envisage de faire des courses par étapes. On aurait bien aimé jouer en première classe.
Cet arrêt technique, on aurait aimé s'en passer. On ne pensait pas que ce serait aussi douloureux. On était optimistes mais on a vu le tain passer. Marco va vraiment très vite. D'accord ils ont pris la bonne direction, les bonnes options mais ils vont vraiment très vite.
Hier matin c'était l'enfer, on attendait du vent d'est et du nord et en fait on a eu du sud. Derrière on a vu un bateau qu'on a réussi à larguer. Hier soir, on l'a retrouvé et on a empanné. Dans un grain, on a viré et on leur a mis 5 milles. Et ce matin, on arrivait tranquille et on a vu un bolide arriver à fond, on a cru que c'était un bateau à moteur ! Ce n'est pas poli ! On voit bien que Veolia a des trous par rapport aux bolides neufs. On arrive encore à faire des coups parce que je connais la mobylette mais c'est frustrant quand même. »


Arnaud Boissières, Akena Vérandas, 7ème au classement IMOCA
«Je suis très content d'avoir navigué avec Vincent. J'ai vraiment pu me familiariser avec le bateau, même si sur ces engins, on peut continuer des jours et des jours, il ya toujours à apprendre. Même si le classement ne correspond pas à nos espérances, je garde des bons souvenirs de cette Transat, notamment certains surfs à plus de vingt nœuds. Il existe vraiment une différence de puissance entre mon ancien bateau et celui-là. »

Dee Caffari, Aviva, 8ème au classement IMOCA
« Je suis vraiment contente que Brian, Aviva et moi soyons arrivés au Costa Rica. Ça a été une course difficile, non seulement du fait de la météo extrême de la première semaine mais aussi à cause de nos problèmes permanents avec le générateur et le manque d'électricité à bord qui en a découlé. Naviguer avec Brian a été une super expérience, nous nous sommes bien entendus à bord et nous sommes soutenus dans les moments plus difficiles ! »

Après un stop de 48h à Saint Martin aux Antilles où les deux skippers de Vale Inco Nouvelle Calédonie ont refait le plein d’énergie et réparé un peu leur grand-voile, Yves et Lionel ont repris la mer dimanche dernier, direction La Guadeloupe.
Là, ils vont désarmer le bateau pour l’hiverner. Yves reviendra le chercher au printemps prochain pour le ramener en métropole.
Demain, mercredi, ils s’envolent pour le Mexique, et jeudi 19 novembre, après un voyage de 24 heures via Miami, Mexico, Merida puis Progreso, ils seront à destination, comme promis pour mener à bout leur mission solidaire.

Grâce au soutien de l’ensemble des partenaires et amis d’Yves et de Lionel, des quelques 350 enfants de Nouvelle Calédonie impliqués dans le programme pédagogique du skipper calédonien, des collégiens de Saint Brévin, des petits lous de Talmont Saint Hilaire en Vendée et de l’association « 1 Maillot pour la Vie », la course continue !

Par la voie des airs, par la route, par la volonté… les deux complices ont trouvé un autre chemin pour aller au bout de l’aventure : ils vous donnent rendez-vous dans deux jours, à Progreso au Yucatan.

Le mot de la fin pour les enfants de Nouvelle Calédonie
« Nous avons appris la mauvaise nouvelle au sujet des voiles qui vous ont lâchés. Mais nous voyons que vous gardez le moral. Nous sommes très désolés pour vous. Mais le principal est de participer et d'aller jusqu’au bout. Grâce à vous, nous apprenons qu'avec de la volonté on peut aller au bout de nos rêves. Vous nous faites toujours autant voyager. Bon courage et vivement la fin du mois que l’on puisse se retrouver ! »

Crédit photo : Sillage Calédonie


Association 1 Maillot pour la vie - www.unmaillotpourlavie.com
L'objectif premier de l'Association "1 Maillot pour la Vie" est de redonner le sourire aux enfants malades et leur faire vivre des moments d'évasion grâce au soutien des sportifs de haut niveau. En 9 ans d'existence, 180 goûters ont été réalisés à travers les hôpitaux de France, 11 000 enfants malades visités par près de 3 500 sportifs de haut niveau. Ce sont également 700 Rêves réalisés (JO de Turin en 2006, Coupe du Monde de Rugby 2007, Euro de Foot 2008,...).
Les actions entreprises ne sont pas un antidote à la douleur ni un moyen de guérison. Elles sont en revanche un baume au coeur, un rayon de soleil dans la journée d'un enfant...

Le programme pédagogique et sportif d’Yves Ecarlat : installé à Nouméa depuis près de 20 ans, le skipper Yves Ecarlat a mis en place en 2006, à l’occasion de la « Route du Rhum », un double programme sportif et pédagogique destiné à sensibiliser les enfants calédoniens à la protection de l’environnement.
En 2006, 5 classes de CM1 de Nouméa ont suivi sa course, en travaillant notamment sur le thème des baleines. Désormais ce sont 15 classes de CM1-CM2, soit plus de 300 enfants, issus de tout le territoire calédonien qui travaillent avec Yves et suivent ses courses de près.

La Solidaire du Chocolat : une aventure solidaire : www.lasolidaireduchocolat.com
Cette toute nouvelle épreuve présente deux grandes originalités :
- 5000 milles (9300 km) : la transatlantique la plus longue jamais disputée à la voile. Et, jamais encore une course océanique n’est arrivée au Mexique.
- Cette course est bien plus qu’une compétition : chaque équipage est le porte drapeau d’une association humanitaire et de son mécène.
Cette course innovante et solidaire correspond tout à fait aux objectifs du skipper calédonien pour qui chaque nouveau départ en mer est avant tout une aventure à faire partager : avec les enfants de Nouvelle Calédonie, avec ses partenaires, mais aussi, pendant la Solidaire du Chocolat, avec l’ensemble des enfants aidés par l’association « 1 Maillot pour la Vie ».