Le Parti Libéral Démocrate félicite ses candidats aux élections départementales de Mars 2015 pour leur engagement. Ils ont été les seuls à promouvoir la réduction du rôle du département, et celle de du poids de sa fiscalité dans le budget des ménages. Il y a un an, le gouvernement annonçait la suppression des départements afin de simplifier le coûteux “millefeuille” institutionnel français. Nous constatons que la pression des conservatismes locaux l’a emporté. Le gouvernement a reculé, et la loi NOTRe en discussion maintiendra l’existence des deux strates politiques et administratives. Le nouveau mode de scrutin ne permet même pas de diminuer le nombre d’élus !
Personne ne pouvait d’ailleurs dire, au moment de mettre le bulletin dans l’urne quelles seraient les compétences attribuées aux futurs élus sachant que la loi NOTRe n’est pas votée définitivement. Les électeurs ont donc voté, mais sans savoir exactement pourquoi.
Le PLD estime que la large victoire de l’UMP-UDI-Modem est obtenue avec une participation faible et un taux record de bulletins blancs, signe d’un manque de confiance des Français dans leur capacité à inverser la courbe du déclin du pays. Nous invitons les nouveaux élus à oser prendre des décisions audacieuses pour alléger la charge du département pour le contribuable. Nous les invitons en particulier à supprimer totalement les politiques départementales prises en charges par d’autres niveaux institutionnels (Développement économique, emploi, environnement, culture, logement, transports). Nous les incitons à faire le ménage dans les dispositifs d’aide sociale non imposés par la loi - beaucoup ne font qu’entretenir précarité et pauvreté - et à s’engager sur une véritable réduction de leur masse salariale.





Campagne tarifaire 2015 : Marisol TOURAINE annonce des tarifs équitables pour les établissements de santé publics et privés
Marisol TOURAINE, ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes, annonce la publication mercredi 11 mars de l’arrêté fixant les tarifs des établissements de santé, publics et privés, pour la médecine, la chirurgie et l’obstétrique (MCO).
Ce sont 1,5 milliards d’euros supplémentaires qui seront consacrés aux établissements de santé en 2015 (en hausse de 2 %), portant le total des crédits à 76,55 milliards d’euros. Les ressources affectées aux établissements de notre pays vont donc continuer de croître en 2015.
Compte tenu de l’augmentation prévisionnelle du volume d’activité, les tarifs seront réduits de -0,65%.
Le gouvernement a fait le choix de traiter équitablement les établissements publics et les établissements privés : les tarifs seront réduits de 0,65% pour les uns et les autres.
Dans le même esprit, les effets du crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE) et du pacte de responsabilité, qui s'appliquent aux seuls établissements privés, seront neutralisés.
Par ailleurs, comme en 2013 et 2014, un gel prudentiel de 0,35% est opéré sur les tarifs. En fonction du respect de l’Objectif National des Dépenses d’Assurance Maladie (ONDAM), les crédits mis en réserve seront versés aux établissements en fin d'exercice. C'est ce qui s’est produit en 2013 et en 2014.
Au total, les tarifs affichent une évolution de -1% pour les hôpitaux et de -2,5% pour les cliniques.
La campagne budgétaire 2015 est une campagne volontariste, qui fait le pari des alternatives à l’hospitalisation (les tarifs de l’hospitalisation à domicile progresseront de 0,4%). Par ailleurs, les missions d’intérêt général et à l’aide à la contractualisation (Migac) progresseront de 2,2%, ce taux étant supérieur à l’évolution de l’ONDAM.
Le ministère des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes a informé les fédérations hospitalières de la tarification 2015 des établissements de santé.
Compte tenu de l’augmentation prévisionnelle du volume d’activité, les tarifs seront réduits de -0,65%.
Le gouvernement a fait le choix de traiter équitablement les établissements publics et les établissements privés : les tarifs seront réduits de 0,65% pour les uns et les autres.
Dans le même esprit, les effets du crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE) et du pacte de responsabilité, qui s'appliquent aux seuls établissements privés, seront neutralisés.
Par ailleurs, comme en 2013 et 2014, un gel prudentiel de 0,35% est opéré sur les tarifs. En fonction du respect de l’Objectif National des Dépenses d’Assurance Maladie (ONDAM), les crédits mis en réserve seront versés aux établissements en fin d'exercice. C'est ce qui s’est produit en 2013 et en 2014.
Au total, les tarifs affichent une évolution de -1% pour les hôpitaux et de -2,5% pour les cliniques.
La campagne budgétaire 2015 est une campagne volontariste, qui fait le pari des alternatives à l’hospitalisation (les tarifs de l’hospitalisation à domicile progresseront de 0,4%). Par ailleurs, les missions d’intérêt général et à l’aide à la contractualisation (Migac) progresseront de 2,2%, ce taux étant supérieur à l’évolution de l’ONDAM.
Le ministère des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes a informé les fédérations hospitalières de la tarification 2015 des établissements de santé.
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