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Les casseroles, toutes les casseroles et rien que les casseroles

Mardi 2 avril, «jour de colère» pour Gérard Filoche. Interrogé sur la mise en examen et les aveux de Jérôme Cahuzac, le socialiste, membre du bureau national du parti, s’est emporté sur le plateau de LCI contre l’ex-ministre.

«On va parler d’un homme qui les yeux dans les yeux, quand on lui disait "il y a 60 à 80 milliards de fraude fiscale" disait en gros: "c’est pas possible". Il était un fraudeur lui-même!», a commencé le socialiste. «On avait un ministre du Budget qui était censé chasser la fraude fiscale, et qui ne le faisait pas. Et maintenant on va chercher quelques milliards dans les allocations familiales, on va chercher quelques milliards dans les petites retraites? Mais de qui se moque-t-on? Je suis socialiste, mais je ne peux pas tolérer ça», a continué cet ancien inspecteur du travail.

Emu aux larmes, Gérard Filoche s’est exclamé: «Il y a en a assez de ce genre de complicités! Il y en a assez de ce genre de situations où on se trouve spoliés». «C’est la misère dans le pays, a poursuivi le socialiste, il y a cinq millions de chômeurs, il y a dix millions de personnes qui sont pauvres, qui ont moins de 900 euros par mois, et dont on ne parle pas. Et on a un chef du Budget qui fraude lui-même!»

Rédigé par Le blog des casseroles le 03/04/2013 à 09:01 | {0} Commentaires Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest

Les anciens ministres Charles Pasqua et André Santini ont été condamnés à deux ans de prison avec sursis dans l'affaire de la fondation d'art Jean-Hamon, lundi 21 janvier. Ils étaient accusés de détournements de fonds publics, via un système de facturation pour un musée qui n'a jamais vu le jour. Les faits remontent à novembre 2000, lorsque le conseil général des Hauts-de-Seine, alors présidé par Charles Pasqua, et la ville d'Issy-les-Moulineaux, dirigée par André Santini, ont créé le syndicat mixte de l'Ile-Saint-Germain (SMISG).


Rédigé par Le blog des casseroles le 21/01/2013 à 14:47 | {0} Commentaires Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest

Libération du 20 décembre 2007: Jean-Marc Ayrault, député-maire de Nantes et président du groupe socialiste à l'Assemblée a été condamné hier en correctionnelle à six mois de prison avec sursis et 30 000 F d'amende pour octroi d'avantage injustifié, terme juridique du délit de favoritisme. A l'audience, le 17 octobre, le procureur n'avait requis que trois mois avec sursis et pas d'amende. Le directeur de la communication municipale est condamné à deux mois avec sursis. Le maire de Nantes est ainsi reconnu coupable d'avoir, via une association 1901 aujourd'hui dissoute, accordé sans mise en concurrence ni appel d'offres les marchés d'impression du journal municipal nantais. Le bénéficiaire de ces marchés, Daniel Nedzela, homme d'affaires proche du PS, écope d'une peine de six mois avec sursis et 200 000 F d'amende, pour recel d'octroi d'avantage injustifié. Avocat de Jean-Marc Ayrault, Yvon Chotard a déclaré qu'il n'était pas question de faire appel: «Le tribunal a considéré que les faits étaient constitués sur le plan juridique, mais qu'au-delà de cette faute technique, au plan moral, rien n'était contraire à l'honneur. Nous avions trouvé modérées les réquisitions faites à l'audience. La peine est inattendue, parce qu'elle les double, mais six mois avec sursis, c'est presque d'ordre symbolique.»


Rédigé par Les casseroles des politiques le 07/05/2012 à 10:16 | {0} Commentaires Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
Procès en correctionnelle pour la socialiste Sylvie Andrieux ?
Sylvie Andrieux pourrait faire l’objet d’un procès en correctionnelle dans l’affaire des subventions du conseil régional socialiste des Bouches-du-Rhône.
Sylvie Andrieux est mise en examen depuis juillet 2010 pour “complicité de tentative d’escroquerie et de détournement de fonds publics” dans l’affaire des subventions du conseil régional socialiste des Bouches-du-Rhône. Le parquet demande au juge d’instruction Franck Landou un procès en correctionnelle pour Sylvie Andrieux ainsi que pour 21 autres acteurs, dont des responsables d’associations qui auraient bénéficié de plus de 700 000 euros de subventions détournées.
Franck Dumontel, ex directeur de cabinet du président de la Région, bénéficierait quant à lui d’un non-lieu. Pour le moment, Sylvie Andrieux a refusé tout commentaire. Malgré sa mise en examen, Sylvie Andrieux a quand même été investie par le PS dans la 3e circonscription (nord-est de Marseille).
source: marsactu.fr

Rédigé par Les casseroles des politiques le 18/02/2012 à 11:06 | {0} Commentaires Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
Deux mois de prison avec sursis pour le président socialiste de la Région Languedoc-Roussillon
BORDEAUX (Reuters) - Le président socialiste du Conseil régional de Languedoc-Roussillon, a été condamné jeudi à Bordeaux à deux mois de prison avec sursis pour un délit de favoritisme commis en 1999, a-t-on appris de source judiciaire.
Christian Bourquin aurait usé de son influence lorsqu'il était président du Conseil général des Pyrénées-Orientales pour que soit confié un marché sur la communication de l'institution à la société Synthèse, dont le dirigeant était considéré comme un de ses proches.
Le tribunal correctionnel de Bordeaux a suivi les réquisitions du parquet concernant le successeur en 2010 à la tête de la Région Languedoc-Roussillon de Georges Frêche à la suite de son décès.
Pascal Provencel, le bénéficiaire, a été condamné à deux mois de prison avec sursis, Jean-Pierre Lanotte, l'ancien directeur des affaires financières du Conseil général, s'est vu condamné à une amende de 2.000 euros avec sursis et le responsable des achats du département a pour sa part été relaxé.
Yann Méric, avocat de Christian Bourquin qui avait plaidé à l'audience du 8 décembre pour la relaxe de son client, a indiqué qu'il ferait appel.


Rédigé par Les Casseroles Info le 12/01/2012 à 18:52 | {0} Commentaires Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
Jacques Chirac condamné dans l'affaire des emplois fictifs
La justice a pour la première fois jeudi condamné un ancien président de la République, infligeant deux ans de prison avec sursis à Jacques Chirac dans l'affaire des emplois fictifs de la ville de Paris.Les faits remontent aux années 1990, quand M. Chirac était maire de Paris. Il a été déclaré coupable de "détournement de fonds publics", "abus de confiance" et "prise illégale d'intérêt", pour 19 des 28 emplois pour lesquels il était poursuivi."Jacques Chirac a manqué à l'obligation de probité qui pèse sur les personnes publiques chargées de la gestion des fonds ou des biens qui leur sont confiés, cela au mépris de l'intérêt général des Parisiens", a jugé le tribunal correctionnel de Paris.L'ex-édile "a engagé les fonds de la ville de Paris pour un montant total d'environ 1,4 million d'euros", a-t-il ajouté.Le parquet avait requis la relaxe de l'ancien président et de ses neuf coprévenus.Pour fixer la peine de l'ex-chef de l'Etat, le tribunal a tenu compte de "l'ancienneté des faits", "l'absence d'enrichissement personnel", "l'indemnisation de la ville de Paris par l'UMP et Jacques Chirac", "l'âge et l'état de santé" de l'ex-président, ainsi que des "éminentes responsabilités" qu'il a exercées pendant ses 12 ans passés à l'Elysée.L'ex-chef de l'Etat était absent à la lecture du jugement, comme il l'avait été durant tout le procès, du 5 au 23 septembre, excusé par un rapport médical faisant état de troubles neurologiques "sévères" et "irréversibles".Seuls deux des neuf autres prévenus ont été relaxés: l'ancien directeur de cabinet Michel Roussin, et Pierre Boué, un proche des milieux sportifs.Une dispense de peine a été accordée à l'ex-secrétaire général de FO Marc Blondel, les six autres écopant de peines comprises entre deux et quatre mois de prison avec sursis.M. Chirac encourait dix ans de prison et 150.000 euros d'amende. Sa fille adoptive Anh Dao Traxel, seule membre de sa famille présente, a estimé que la décision du tribunal était "trop, trop sévère pour lui".L'association anti-corruption Anticor a parlé d'une "décision historique et extrêmement importante pour l'avenir de la démocratie", par la voix de son avocat Me Jérôme Karsenti.Saluée par la gauche comme un "bon signe pour la démocratie française", sa condamnation a été perçue à droite comme sévère, "surprenant" et "tardif", ses amis politiques espérant qu'elle ne viendra pas ternir son image d'homme d'Etat.

Rédigé par Les casseroles des politiques le 17/12/2011 à 10:37 | {0} Commentaires Facebook Twitter LinkedIn Google Viadeo Pinterest
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