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C’est parti pour quatre semaines entièrement dédiées au théâtre, du château du Plessis-Macé aux arènes de Doué-la-Fontaine, en passant par le château de Saumur, où le festival fait son grand retour 19 spectacles sont à l'affiche.


Le 63e festival d’Anjou démarre ce mardi 12 juin  dès 21 h 30
C’est parti pour quatre semaines entièrement dédiées au théâtre dans des lieux prestigieux comme le château du Plessis-Macé les arènes de Doué-la-Fontaine, en passant par le château de Saumur Molière est particulièrement à l’honneur, cette année, avec quatre pièces mises en scène à partir de ses œuvres. Le Misantrophe, revu par Francis Huster et sa Troupe de France (les 18 et 19 juin), Le Bourgeois gentilhomme, relu par Laurent Serrano (le 20 juin), Le Tartuffe, mis en scène par Marion Bierry (les 21, 22 et 23 juin), La Folie Sganarelle, signée par Claude Buchvald (le 5 juillet). Beaucoup de bruit pour rien est ainsi mis en scène par Clément Poirée, de la compagnie Hypermobile, le 2 juillet. Et Romeo & Juliet, revu par Vinciane Regattieri, de la compagnie Magnus Casalibus, sera à l’affiche le 3 juillet.
Jean-Luc Moreau, un habitué du festival, mettra en scène et jouera une pièce écrite par son complice Eric Assous, Les Conjoints (les 13 et 14 juin). Richard Berry sera lui aussi aux commandes et sur la scène du Début de la fin, de Sébastien Thiéry (le 15 juin). Francis Huster - et Francis Perrin - seront de retour au festival, avec une nouvelle lecture du Misantrophe (les 18 et 19 juin).
Du 12 juin au 7 juillet. Les spectacles commencent à 21 h 30, sauf Cocteau en musique (20 h). Tarifs : 31 €/16 €. Tarif groupe (+ de dix personnes) : 28 €. Forfait famille (deux adultes + 1 enfant) : 66 €. Forfait jeune (deux spectacles) : 28 €. Forfait deux spectacles : 55 €. Pass concours des compagnies : 80 € pour cinq spectacles. Tél. 02 41 88 14 14.

Mercredi 13 / jeudi 14 juin - 21h30 / Château du Plessis-Macé: les Conjoints de Éric ASSOUS. Mise en scène Jean-Luc Moreau / Assistante à la mise en scène Anne Poirier-Busson avec Jean-Luc Moreau, Anne Loiret, José Paul, Anne-Sophie Germanaz Décor Charlie Mangel / Costumes Brigitte Faur-Perdigou / Lumières Gaëlle de Malglaive
La pièce dans un couple, la vérité est toujours mise à rude épreuve tandis que le mensonge ne demande qu’à s’installer. Les conjoints nous rappelle que le bonheur n’est pas un état permanent mais un équilibre précaire. Fertile en rebondissements, l’intrigue, qui mêle le pouvoir ravageur de l’argent et le jeu subtil des sentiments, met en scène deux hommes et deux femmes ballotés entre leur éthique, leurs intérêts et leurs émotions. Tout le monde a quelque chose à revendiquer. Tout le monde a quelque chose à cacher. Tenté par la transgression mais soucieux du qu’en dira-t-on, chacun se débat avec ses raisons. Bonnes et mauvaises, petites et grandes, morales et obscures. Une comédie fine et piquante qui est en équilibre entre gravité, légèreté et vivacité.


Rédigé par Angers Info le Mercredi 13 Juin 2012 à 09:10 | Commentaires (0) Facebook Twitter LinkedIn Viadeo Pinterest
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