Dès 1970, suivi et encouragé par des peintres professionnels, Jean-Louis Sébastien expose ses oeuvres en Anjou puis participe aux principaux grands salons français où il se voit attribuer prix et distinctions D’année en année, sa production devient de plus en plus abondante. Soutenu par plusieurs poètes, il illustre des ouvrages poétiques.
Après des séries de natures mortes soulignant des compositions lourdement charpentées, sa peinture s’épanouit dans une gestuelle aux contrastes puissants. Apparaissent alors des scènes de corridas où la couleur est transcendée par de violentes projections. L’amour de la nature l’entraîne vers de nouveaux horizons, l’Andalousie, la Martinique, la Tuinisie, le Maroc, Madagascar, et font l’objet d’importantes expositions.
Suivant les répétitions de l’Orchestre National des Pays de la Loire durant toute une année, il fait la connaissance de Michel Corboz. La musique comme un acte sacré vient alors enflammer sa peinture. Après l’influence de Stravinsky, où il traite le Sacre de Printemps en 14 grandes toiles, le Requiem de Mozart le pousse de nouveau à créer une suite de 14 toiles respectant le texte du Requiem.
En 2004, l’orchestre l’Olda sous la direction de Jean-Jo Roux lui permet d’exécuter une oeuvre sur scène face au public durant un concert à Angers. Ce défi près des musiciens est renouvelé en 2007.
Il est l’auteur de plusieurs ouvrages regroupant ses oeuvres. L’artiste est aujourd’hui présent dans de nombreuses collections privées et expose ses oeuvres de façon permanente dans 3 galeries à Paris, aux Etats-Unis et en Angleterre.
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