
Photo de Julien Girardot / DPPI ®
Le skipper d’Hatainville et ses deux équipiers – Antoine Carpentier et Didier Le Vourch – s’adjugent tous les honneurs de cette transat d’Ouest en Est longue de 2855 milles, servie par des conditions variées et complètes pour s’extraire du Saint-Laurent et traverser l’océan par sa face Nord.
Halvard Mabire, qui s’est emparé des commandes de la course il y a deux jours, a su conserver jusqu’au bout les attaques des jeunes loups de Mistral Loisirs - Pôle Elior Santé. Lui qui redoutait notamment des éventuels effets accordéons le long des côtes de la Manche n’a finalement pas été inquiété.
Quelques heures avant de franchir la ligne il écrivait ce message : « une multitude de sentiments nous traversent forcément l’esprit quand une belle aventure comme celle que nous venons de vivre est sur le point de s’achever. Le plaisir de retrouver les nôtres est forcément le meilleur moment d’un »atterrissage« et la plus grande joie que l’on puisse imaginer. Mais en contre partie de cette joie, il y a aussi une certaine nostalgie qui nous envahit. Le retour à terre, c’est aussi le retour sur terre ».
Halvard Mabire, qui s’est emparé des commandes de la course il y a deux jours, a su conserver jusqu’au bout les attaques des jeunes loups de Mistral Loisirs - Pôle Elior Santé. Lui qui redoutait notamment des éventuels effets accordéons le long des côtes de la Manche n’a finalement pas été inquiété.
Quelques heures avant de franchir la ligne il écrivait ce message : « une multitude de sentiments nous traversent forcément l’esprit quand une belle aventure comme celle que nous venons de vivre est sur le point de s’achever. Le plaisir de retrouver les nôtres est forcément le meilleur moment d’un »atterrissage« et la plus grande joie que l’on puisse imaginer. Mais en contre partie de cette joie, il y a aussi une certaine nostalgie qui nous envahit. Le retour à terre, c’est aussi le retour sur terre ».