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Agression à la prison de Condé-sur-Sarthe
La réaction de l'Institut pour la Justice suite de l'agression à la prison de Condé-sur-Sarthe aujourd'hui :
L’Institut pour la Justice, think tank citoyen œuvrant pour une justice plus protectrice des citoyens et plus équitable à l’égard des victimes, fait part de sa consternation à la suite de l’attaque par un détenu radicalisé de deux personnels pénitentiaires de l’établissement de Condé-sur-Sarthe, grièvement blessés.
Cette agression particulièrement grave doit être prise comme un sombre avertissement. Elle doit nous inciter à nous doter urgemment de mesures de sécurité à la hauteur du défi que pose l’incarcération de ces profils extrêmement dangereux.
Déjà l’année dernière, les syndicats de personnels pénitentiaires alertaient sur le fait “qu’aujourd’hui on agresse pour tuer” en prison. Depuis, ils n’ont cessé de tirer la sonnette d’alarme. Or, quelles ont été les avancées en la matière, depuis leur mouvement d’envergure en janvier 2018 ?
Cette problématique est d’autant plus impérieuse que le Gouvernement envisage aujourd’hui de rapatrier des djihadistes aguerris dans les rangs de Daesh sur les théâtres d’opérations de Syrie et d’Irak, contre la volonté d’une écrasante majorité de Français.
Enfin, l’Institut pour la Justice tient à assurer les deux personnels blessés de son soutien et leur transmet ses meilleurs vœux de rétablissement.
L’Institut pour la Justice, think tank citoyen œuvrant pour une justice plus protectrice des citoyens et plus équitable à l’égard des victimes, fait part de sa consternation à la suite de l’attaque par un détenu radicalisé de deux personnels pénitentiaires de l’établissement de Condé-sur-Sarthe, grièvement blessés.
Cette agression particulièrement grave doit être prise comme un sombre avertissement. Elle doit nous inciter à nous doter urgemment de mesures de sécurité à la hauteur du défi que pose l’incarcération de ces profils extrêmement dangereux.
Déjà l’année dernière, les syndicats de personnels pénitentiaires alertaient sur le fait “qu’aujourd’hui on agresse pour tuer” en prison. Depuis, ils n’ont cessé de tirer la sonnette d’alarme. Or, quelles ont été les avancées en la matière, depuis leur mouvement d’envergure en janvier 2018 ?
Cette problématique est d’autant plus impérieuse que le Gouvernement envisage aujourd’hui de rapatrier des djihadistes aguerris dans les rangs de Daesh sur les théâtres d’opérations de Syrie et d’Irak, contre la volonté d’une écrasante majorité de Français.
Enfin, l’Institut pour la Justice tient à assurer les deux personnels blessés de son soutien et leur transmet ses meilleurs vœux de rétablissement.
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