Prix Nobel d’économie, Joseph Stiglitz, Professeur à Columbia, ex directeur de la Banque mondiale et conseiller de Clinton, est sans conteste l’économiste le plus respecté et le plus lu au monde. L’un des rares à avoir, depuis une dizaine d’années, tiré la sonnette d’alarme sur les dérives de la financiarisation de l’économie et les dangers de ce qu’il a appelé le fondamentalisme du marché. Auteur de best-seller dont le dernier : Le Triomphe de la cupidité s’est vendu à 50 000 ex en grand format.
Son livre à paraître est consacré à l’un des grands sujets de l’économie actuelle et curieusement assez peu traité : Les inégalités.
Dans ce livre majeur Joseph Stiglitz explique comment les inégalités ont ainsi prospéré dans le monde depuis près de 20 ans. Et pourquoi ces tels écarts de richesses entre les plus riches et les plus pauvres sont à la fois inacceptables socialement et extrêmement dangereux économiquement. En effet Stiglitz démontre magistralement qu’il n’y aurait sans doute jamais eu la crise de 2007 si les classes pauvres et moyennes américaines notamment avaient vu leur pouvoir d’achat augmenté régulièrement (il stagne voire décroît aux Etats Unis depuis 2 décennies). Contrairement à la doxa libérale qui pense que moins l’Etat intervient pour réglementer mieux se porte l’économie, l’auteur démontre que c’est précisément cette absence de régulations qui a provoqué la crise. De même contrairement à la doxa libérale qui prétend que l’argent ruisselle spontanément des plus riches vers les plus pauvres, la richesse s’est concentré en un glacis détenu pour l’essentiel par 1% des habitants du globe.
Un livre qui bien entendu non content de dénoncer et d’expliquer , toujours avec un remarquable sens pédagogique, propose de solutions et surtout d’autres alternatives à un système économique mondial qui, s’il n’est pas profondément réformé, risque l’effondrement.
Son livre à paraître est consacré à l’un des grands sujets de l’économie actuelle et curieusement assez peu traité : Les inégalités.
Dans ce livre majeur Joseph Stiglitz explique comment les inégalités ont ainsi prospéré dans le monde depuis près de 20 ans. Et pourquoi ces tels écarts de richesses entre les plus riches et les plus pauvres sont à la fois inacceptables socialement et extrêmement dangereux économiquement. En effet Stiglitz démontre magistralement qu’il n’y aurait sans doute jamais eu la crise de 2007 si les classes pauvres et moyennes américaines notamment avaient vu leur pouvoir d’achat augmenté régulièrement (il stagne voire décroît aux Etats Unis depuis 2 décennies). Contrairement à la doxa libérale qui pense que moins l’Etat intervient pour réglementer mieux se porte l’économie, l’auteur démontre que c’est précisément cette absence de régulations qui a provoqué la crise. De même contrairement à la doxa libérale qui prétend que l’argent ruisselle spontanément des plus riches vers les plus pauvres, la richesse s’est concentré en un glacis détenu pour l’essentiel par 1% des habitants du globe.
Un livre qui bien entendu non content de dénoncer et d’expliquer , toujours avec un remarquable sens pédagogique, propose de solutions et surtout d’autres alternatives à un système économique mondial qui, s’il n’est pas profondément réformé, risque l’effondrement.