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Répondant à l’appel de l’UNI Vendée, cette veillée « de Mémoire et de Liberté » à la lumière de bougies fut l’occasion de rappeler que 3,6 millions d’allemands quittèrent leur pays en raison de la misère économique et de l’oppression politique. 1135 d’entre eux furent assassinés en tentant de quitter Berlin-Est.
Les jeunes de la génération après-Mur, se souviennent d’eux : Günter LITFIN, 24 ans, Peter FECHTER, 18 ans, ou ces deux enfants de 10 et 13 ans abattus au total par quarante balles. Ils se souviennent également de ceux qui ont lutté contre le communisme et qui l’ont payé de leur vie, tel Tran VAN BA, militant vietnamien de l’UNI, assassiné en 1985 lors de son retour dans son pays.
Solidaires de tous les hommes et femmes qui luttent encore aujourd’hui dans le monde pour leurs libertés individuelles, économiques, sociales, les étudiants de la génération après-Mur ont demandé solennellement au Parti Communiste Français de :
- se désolidariser fermement de tous les régimes totalitaires communistes et marxistes, d’hier et d’aujourd’hui,
- reconnaître que le bilan du communisme n’est pas « globalement positif », contrairement à ce que déclarait un de ses anciens secrétaires généraux,
- et surtout, retirer définitivement le mot communiste de son appellation, à l’exemple du parti communiste italien en 1991.
Les jeunes de la génération après-Mur, se souviennent d’eux : Günter LITFIN, 24 ans, Peter FECHTER, 18 ans, ou ces deux enfants de 10 et 13 ans abattus au total par quarante balles. Ils se souviennent également de ceux qui ont lutté contre le communisme et qui l’ont payé de leur vie, tel Tran VAN BA, militant vietnamien de l’UNI, assassiné en 1985 lors de son retour dans son pays.
Solidaires de tous les hommes et femmes qui luttent encore aujourd’hui dans le monde pour leurs libertés individuelles, économiques, sociales, les étudiants de la génération après-Mur ont demandé solennellement au Parti Communiste Français de :
- se désolidariser fermement de tous les régimes totalitaires communistes et marxistes, d’hier et d’aujourd’hui,
- reconnaître que le bilan du communisme n’est pas « globalement positif », contrairement à ce que déclarait un de ses anciens secrétaires généraux,
- et surtout, retirer définitivement le mot communiste de son appellation, à l’exemple du parti communiste italien en 1991.