Une convention sur le droit à l’oubli pour les personnes guéries d’un cancer a été signée ce matin même entre les assureurs, la Ligue contre le cancer et le gouvernement.« Pour un ancien malade du cancer, le droit à l’oubli, c’est le droit de vivre normalement ! » rappelle Véronique BESSE, député de Vendée.
C’est pour défendre les centaines de milliers d’anciens malades, qu’elle s’était mobilisée à l’Assemblée nationale, au printemps dernier. Elle avait d’ailleurs interpellé publiquement le ministre de la santé, Marisol Touraine l’invitant à créer « un véritable droit à l’oubli au bout de 5 ans, pour tous les malades reconnus guéris d’un cancer ayant peu de chances de rechute ». Comme trop souvent avec ce gouvernement, le ministre n’a pas daigné écouter…
« Résultat, le gouvernement, ignorant la détresse des ex-malades, fait aujourd’hui le service minimum. La convention signée aujourd’hui ne concernera qu’une poignée d’anciens malades : moins de 2000 sur 350 000 ! » regrette Véronique BESSE.
C’est pour défendre les centaines de milliers d’anciens malades, qu’elle s’était mobilisée à l’Assemblée nationale, au printemps dernier. Elle avait d’ailleurs interpellé publiquement le ministre de la santé, Marisol Touraine l’invitant à créer « un véritable droit à l’oubli au bout de 5 ans, pour tous les malades reconnus guéris d’un cancer ayant peu de chances de rechute ». Comme trop souvent avec ce gouvernement, le ministre n’a pas daigné écouter…
« Résultat, le gouvernement, ignorant la détresse des ex-malades, fait aujourd’hui le service minimum. La convention signée aujourd’hui ne concernera qu’une poignée d’anciens malades : moins de 2000 sur 350 000 ! » regrette Véronique BESSE.