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Yves Bontaz : deux livres, une candidature

La seule solution pour sauver le pays :mettre en place un climat favorable aux Français qui voudraient créer de petites entreprises. En effet, ils ne le font pas car la gauche a pourri l'atmosphère en assimilant l'employeur à un voyou, une personne infréquentable. L'auteur propose 30 mesures concrètes.À près de 100 jours des élections présidentielles, Yves Bontaz, l’acteur -il fut le rôle principal dans le film «Ma Mondialisation» en 2006 - mais aussi auteur, présente deux livres, «Cours sur la croissance pour N. Sarkozy, 30 mesures concrètes» et «Après les flonflons, les rêves s’envoleront, 60 questions posées à M. Hollande».



Yves Bontaz : deux livres, une candidature
Yves Bontaz y présente, dans le franc-parler qu’on lui connaît, sa vision économique.

Le premier, «Cours sur la croissance pour N. Sarkozy,
30 mesures concrètes» est on ne peut plus clairement adressé au chef de l’État.
Yves Bontaz, cet ancien industriel transformé en professeur d’économie ne sermonne pas, il explique à coups de démonstrations cinglantes et propositions pleines de bon sens : un ministère de l'Entreprenariat avec une antenne dans chaque commune pour aider créateurs d'entreprise et chercheurs de travail, et les mettre en contact direct. Créer des SCT, Sociétés à capitaux transparents qui permettent de déduire fiscalement les pertes éventuelles réalisées dans une entreprise, supprimer l’amendement Charasse sur les transmissions d’entreprises...
L’auteur, lui-même industriel ayant créé des filiales en Chine, aux USA, au Brésil, en Inde (1 800 ouvriers en tout), propose au pays 30 MESURES, inédites en grande partie, pour avoir une croissance de 3 à 4 %. Car du travail, il y en a dans les pays à + 3 % de croissance et qui exportent pour 450 milliards €.
Mais Yves Bontaz n’oublie personne !En effet, dans son second opus, Yves Bontaz prend pour cible la Gauche et ses principaux représentants : Jean-Luc Mélenchon, Martine Aubry et François Hollande.L’auteur simule la victoire de la gauche aux présidentielles 2012. A travers 60 questions au nouveau Président et à la gauche qui a empêché 90% des réformes par la rue ou des menaces de blocage du pays par des grèves, il démontre que toutes les promesses de la gauche sont irréalistes, dans un monde qui n’a plus de frontières, et où la concurrence fait rage.


Quatrième de couverture :
Cours sur la croissance pour N. Sarkozy, 30 mesures concrètes.

Yves Bontaz propose au président 30 mesures pour avoir 4% de croissance, ceci vu d’un oeil d’un chef d’entreprise. Son livre regorge de calculs mathématiques tous croustillants. Yves Bontaz a aussi étudié la tactique de la gauche : son obstruction totale ax réformes et la phrase habituelle : «Faites payer les riches et non les pauvres». L’auteur a alors voulu calculer pour commencer ce qu’était les revenus des soi-disants «riches», afin de vérifier si on pouvait puiser indéfiniment de l’argent chez eux, et ainsi voir si la gauche ne se servait pas de cette phrase par pur mensonge ou par incompétence.Au début, il a pensé aux 40 gros salaires du CAC 40, ensuite aux 200 grandes familles et en fin de compte, il s’est arrêté sur un calcul de l’Insee sur les 5800 plus gros revenus des Français.Le résultat a été stupéfiant : l’auteur a calculé que le total des 5800 revenus (salaires et revenus financiers) étaient de, après déduction des 22% de charges sociales, salariales, et de 25% d’impôts moyens sur le revenu :2,6 milliards d’euros sur les 950 milliards d’euros gagnés par tous les Français !Un faible résultat par rapport aux 130 milliards d’euros annuels de déficit du pays, aux 9 milliards d’euros du coût de la différence de l'absentéisme entre le public et le privé, au coût des 40 milliards d’euros des RTT et aux 60 milliards d’euros de coût des embauches des fonctionnaires sous Mitterrand - Jospin (ceux-ci portant à 40% de plus leur nombre par rapport à tous les pays d’Europe, excepté la Grèce).La devise de Yves Bontaz : autant ne pas toucher à ces 5800 plus grands revenus qui totalisent 2,6 milliards et avoir un PIB de 1920 milliards d’euros, plutôt que des revenus identiques à ceux des pays collectivistes (0,5 milliard d’euros et un PIB de 500 milliards d’euros)... ou alors, des salaires moyens en France de 2200 euros et non 400 euros comme dans les pays de gauche. CARACTÉRISTIQUES DE L’OUVRAGE :500 pages - 17,00 €


Quatrième de couverture :
Après les flonflons, les rêves s’envoleront ! 60 questions à M. Hollande
L’auteur démontre dans ce livre que dans une économie mondialisée, les Français se trompent en croyant que l’arrivée de la gauche sauverait le pays comme par miracle. Celle-ci ne changerait même pas de 1% la politique de Sarkozy, car c’est l’Europe et le FMI qui dictent la politique. Les Français ne se rendent pas compte qu’un pays qui a une dette n’est plus un pays indépendant.L’auteur édite en même temps «Cours sur la croissance pour Nicolas Sarkozy - 30 mesures concrètes». Ces deux livres sont écrits à 100% par lui-même.L’auteur connaît naturellement tous les rouages d’équilibre des monnaies, des dettes, du PIB et de la croissance au niveau mondial. Ces chiffres qui n’obéissent pas aux ordres des chefs d’État, reflètent la combativité économique de chaque pays.
L’auteur répète sans arrêt que ce sont notre dette et les agences de cotation bancaire qui dirigent notre politique, et ce quel que soit le président.
L’arrivée de la gauche au pouvoir, avec en plus la méfiance du FMI pour un gouvernement qui ne prône pas l’effort, tout ceci ajouté à une faible croissance, amènerait les Français à subir un sort identique à celui de l’Espagne et de la Grèce.A la fin du livre, 20 pages d’études «inédites hallucinantes» qui démontrent que la gauche vit sur un nuage. Il faudrait 110 milliards d’euros par an pour boucher la dette supplémentaire et 90 milliards d’euros pour régler le social, soit 200 milliards d’euros, alors que les revenus des 5800 plus riches de France sont de 2,6 milliards par an... tout ceci faisant passer la gauche du rêve au cauchemar.CARACTÉRISTIQUES DE L’OUVRAGE :250 pages - 13,00 €




La course à l'Élysée :Une candidature qui résonne comme un devoir.

C’est à coup de conviction, de pédagogie et de bon sens qu’Yves Bontaz souhaite obtenir les 500 signatures qui valideront sa candidature aux élections présidentielles.En 2012 encore, Yves Bontaz estime qu’il est pour lui un devoir de tenter de «redresser... le bateau ivre».Yves Bontaz est passé par tous les échelons de la vie économique. A son début, salarié durant deux ans, il démarre ensuite son entreprise et compte aujourd'hui 1 800 ouvriers, avec ses filiales en Tchéquie, en Suisse, au Brésil, en Chine, aux USA, en Inde et en Tunisie. Sa force: les mathématiques, (major de promotion à l'école). Il jongle aisément avec les chiffres des budgets de l'Etat et les règles qui régissent les fonctionnements de notre pays. La valeur "travail" est primordiale pour lui, et il réinvestit ses bénéfices dans l'humanitaire. Ainsi a-t-il créé à Madagascar, à 100 % avec son argent privé, une école d'agriculture et un orphelinat. Lien vers Sos-Enfants-Malgaches
Son programme ? Mais du bon sens !Ses deux derniers livres, «Cours sur la croissance pour N. Sarkozy, 30 mesures concrètes» et «Après les flonflons, les rêves s’envoleront, 60 questions posées à M. Hollande», sont déjà un bien ambitieux programme à eux seuls.
Dans le premier, Yves Bontaz explique comment atteindre 4% de croissance; dans le second, il présente sa vision de notre système économique et de la souveraineté nationale.Yves Bontaz, cet entrepreneur, industriel et auteur a l’expérience de l’étranger et il en a assez que la France soit la risée du monde. «Sans arrêt on se moque de nous : le pays où l’on travaille le moins, le pays toujours en grève, le pays où les gens n’acceptent pas le recul de l’âge à la retraite, le pays qui compte le double de fonctionnaires, le seul pays où un entrepreneur qui a réussi n’est pas félicité mais traité de voyou...».
Site Internet : http://www.yves-bontaz.com/







Jeudi 19 Janvier 2012
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