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Les Français passeront à l'heure d'été dans la nuit du samedi 30 au dimanche 31 mars, dernier week-end du mois. Chacun "perdra" donc une heure de sommeil étant donné que dimanche à 2 heures, il sera en fait 3 heures. A noter, le passage à l'heure d'hiver se fera le dimanche 27 octobre prochain.
Et voilà une heure de sommeil perdue... mais quel plaisir de voir le soleil se coucher plus tard ! En adoptant certains gestes, vous pourrez vous adapter plus facilement à ce changement d'heure. Voici nos conseils pour un changement d'heure en douceur.
Et voilà une heure de sommeil perdue... mais quel plaisir de voir le soleil se coucher plus tard ! En adoptant certains gestes, vous pourrez vous adapter plus facilement à ce changement d'heure. Voici nos conseils pour un changement d'heure en douceur.
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L'actualité à Vannes
Rédigé par Vannes Info le Dimanche 31 Mars 2013 à 11:19
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Les 12es Rencontres du cinéma européen s'ouvrent mercredi
Quand on dit cinéma espagnol, deux noms s'imposent : un « classique », Buñuel, et un contemporain, Almodovar. Les bénévoles de l'association Cin'Ecran, organisatrice des Rencontres, se sont demandé que faire de ces monstres sacrés... « Nous avons parié sur la nouveauté », répond Catherine Lerooy, la présidente.
Cinéma en résistance
Parmi les 25 longs métrages du panorama espagnol, quatre sont ainsi des inédits, non distribués en France. Vendredi, 20 h 30, le réalisateur Jorge Coira viendra ainsi présenter « 18 comidas », un film autour de la table. Le lendemain, Telmo Esnal défendra, lui, « Bonne année, grand-mère », une comédie sur une tatie Danielle puissance 10. Enfin le dimanche 24 mars, Benito Zambrano témoignera, à travers son film, d'un des grands thèmes du cinéma espagnol : l'Histoire et, notamment, la guerre civile. « La voix endormie » est un hommage à la romancière Dulce Chacon et un devoir de mémoire bouleversant sur les débuts du franquisme. L'Espagne est aujourd'hui synonyme, en France, de chômage et de crise. Mais son cinéma est toujours bien vivant. « Ils sont en résistance. Il y a une grande envie chez eux de faire vivre leur cinéma. Nous avons eu beaucoup de facilité à faire venir les films », raconte Catherine Lerooy. Le réalisateur Fernando Trueba sera d'ailleurs présent jeudi, à 20 h 30, pour rencontrer le public autour de « L'artiste et son modèle » (avec Jean Rochefort), seul film en français de la sélection.
Les « classiques » aussi
Que les accros de Buñuel se rassurent. La traditionnelle « Leçon de cinéma » de Philippe Cloarec, directeur de Film et culture de Brest, se fera sur « Le journal d'une femme de chambre », dimanche 24 mars, à 14 h. Et les fans d'Almodovar auront son dernier film à se mettre sous la dent en avant-première et en clôture des Rencontres, mardi 26, à 20 h 30. Du thriller au flamenco, des points de vue sur la société aux histoires de familles, de la comédie au drame, le panorama des Rencontres traversera la grande diversité du cinéma espagnol. Tous les films seront projetés à La Garenne. Le cinéma du centre-ville accueillera aussi, pour la première fois, les projections des huit documentaires et 30 courts-métrages européens en compétition. De quoi aiguiser la curiosité des festivaliers. Pratique Du 20 au 26 mars. Tarifs panorama : 8,30 €/5,30 €. Tarifs ciné-concert du mercredi 20 : 12 €/ 9 €/7 €. Tarifs compétition : 3 €. Renseignement : 02.97.63.67.73 ou www.cinecran.org
Cinéma en résistance
Parmi les 25 longs métrages du panorama espagnol, quatre sont ainsi des inédits, non distribués en France. Vendredi, 20 h 30, le réalisateur Jorge Coira viendra ainsi présenter « 18 comidas », un film autour de la table. Le lendemain, Telmo Esnal défendra, lui, « Bonne année, grand-mère », une comédie sur une tatie Danielle puissance 10. Enfin le dimanche 24 mars, Benito Zambrano témoignera, à travers son film, d'un des grands thèmes du cinéma espagnol : l'Histoire et, notamment, la guerre civile. « La voix endormie » est un hommage à la romancière Dulce Chacon et un devoir de mémoire bouleversant sur les débuts du franquisme. L'Espagne est aujourd'hui synonyme, en France, de chômage et de crise. Mais son cinéma est toujours bien vivant. « Ils sont en résistance. Il y a une grande envie chez eux de faire vivre leur cinéma. Nous avons eu beaucoup de facilité à faire venir les films », raconte Catherine Lerooy. Le réalisateur Fernando Trueba sera d'ailleurs présent jeudi, à 20 h 30, pour rencontrer le public autour de « L'artiste et son modèle » (avec Jean Rochefort), seul film en français de la sélection.
Les « classiques » aussi
Que les accros de Buñuel se rassurent. La traditionnelle « Leçon de cinéma » de Philippe Cloarec, directeur de Film et culture de Brest, se fera sur « Le journal d'une femme de chambre », dimanche 24 mars, à 14 h. Et les fans d'Almodovar auront son dernier film à se mettre sous la dent en avant-première et en clôture des Rencontres, mardi 26, à 20 h 30. Du thriller au flamenco, des points de vue sur la société aux histoires de familles, de la comédie au drame, le panorama des Rencontres traversera la grande diversité du cinéma espagnol. Tous les films seront projetés à La Garenne. Le cinéma du centre-ville accueillera aussi, pour la première fois, les projections des huit documentaires et 30 courts-métrages européens en compétition. De quoi aiguiser la curiosité des festivaliers. Pratique Du 20 au 26 mars. Tarifs panorama : 8,30 €/5,30 €. Tarifs ciné-concert du mercredi 20 : 12 €/ 9 €/7 €. Tarifs compétition : 3 €. Renseignement : 02.97.63.67.73 ou www.cinecran.org
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