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Une lettre ouverte, réactualisée adressée à Joël Mercier Maire du Château d'Olonne



Une lettre ouverte, réactualisée adressée à Joël Mercier , maire du Château d’Olonne. Ce courrier fait suite à une première lettre ouverte en date du 22 août 2017 restée sans réponse. Notre Pétition papier contre le projet de dévoiement de la route départementale RD32 a recueilli à ce jour plus de 5600 signatures. Nous continuons notre travail d'information.

2éme LETTRE OUVERTE - SOS ROUTE LITTORALE COLLECTIF OPPOSÈ: AU DÉVOIEMENT DE LA ROUTE LITTORAL E RD32 , AU DÉPLACEMENT DU PARKING DU PUITS D’ENFER, A LA CRÉATION D’UNE ROUTE A LA PLACE DE L’ IMPASSE DU FIEF -SAINT-JEAN AU CŒUR D’UNE ZONE FORESTIERE

FAVORABLE A LA RENATURATION DE L’ANCIEN CIRCUIT AUTOMOBILE, ET A LA PRÉSERVATION DE LA TOTALITÉ DE LA FORET : DEPUIS L’AÉRODROME JUSQU’A LA ROUTE LITTORALE.


Monsieur le Maire,

Des milliers d’habitants des Olonnes et d’amis de la côte vendéenne veulent conserver la route littorale RD32 départementale, le parking du Puits d’enfer à son emplacement actuel, et préserver la forêt. Suite à une première lettre ouverte restée sans réponse il y aura bientôt un an, ils vous réitèrent leur opposition au « dévoiement ».

Comme vous le savez, depuis le 1 janvier 2018, la compétence GEMAPI est transférée à : Les Sables d’Olonne Agglomération : - L’aménagement d’un bassin hydrographique ( cours d’eau du Puits Rochais ), - L’entretien et l’aménagement d’un cours d’eau ( cours d’eau du Puits Rochais ), - Défense contre les inondations et contre la mer ( Anse de la Parée ), - Protection et restauration des sites, zones humides et formations boisées riveraines ( dunes, Puits Rochais et forêt du Fief St Jean ). Avez vous préalablement consulté les autres communes membres de l’Agglomération ains que Talmont-St Hilaire / Bourgenay ?

De plus, vous créez une route dans une zone sous trois classifications protectrices : Conservatoire du littoral, Natura 2000 et ZNIEFF, c’est incompréhensible. Cette future route, en partageant la forêt en deux porterait atteinte à la sauvegarde du site, milieu naturel et forestier esthétique et écologique, le plus important de la commune. Coupant cet espace exceptionnel en deux parties quasiment égales, elle dénaturerait l’unité et le caractère encore sauvage des lieux. Les touristes viennent au Château d’Olonne pour l’Océan Atlantique et, comme de nombreux Vendéens, après avoir stationné sur le parking du Puits d’enfer et admiré le panorama, empruntent la route RD32 pour la beauté exceptionnelle de la côte, Principal Attrait Touristique de la commune. Pourquoi les priver de ces points de vue en les engageant dans une forêt par une route destructrice de l’équilibre écologique, faunistique et floristique ? Ce projet de nouvelle route, injustifié et incompris par la population est inacceptable . L’actuelle route littorale départementale D32 remplit parfaitement sa fonction. Récemment rénovée, elle assure un trafic fluide entre les Sables d’Olonnes et Talmont Saint Hilaire - Port Bourgenay. Nous revendiquons le maintien de la D32, qui n’est absolument pas menacée par l’érosion dans l’essentiel de son profil actuel en bord de mer, tel que l’ont montré les différentes études du BRGM. Seule l’Anse de La Parée, pose problème très exceptionnellement lors de fortes tempêtes. Des travaux de consolidation : renforcement, surélévation , peuvent être économiquement et durablement entrepris comme ils l’ont été en maints endroits de la côte Atlantique. ( cette route située à plus de 5m au-dessus du niveau de la mer n’est pas submersible ).

Vous le savez, à notre initiative, une pétition papier en cours ci-dessous signée par les nombreux utilisateurs de cette route a déjà recueilli plus de 5500 signatures. Son ampleur témoigne d’une volonté démocratique qui a un sens. Nous vous en rappelons les termes : - je m'oppose au dévoiement de la route départementale 32 ; - je demande le maintien de la route D32 dans son profil actuel en bord de mer, avec uniquement l’aménagement nécessaire de l’Anse de la Parée. (renforcement, pont ? ).

La population utilisatrice du parking du Puits d’enfer, très attachée à ce lieu emblématique, demande son maintien dans son emplacement actuel et un aménagement paysagé de qualité comme ce qui a déjà été fait à Tanchet , Nina d’Asty, et à l’Anse aux Moines . Dans ce lieu chargé d’histoire et de légendes, des milliers de visiteurs étrangers, mais aussi une population locale, souvent âgée, parfois handicapée, à mobilité réduite, qui viennent admirer le spectacle de l’Océan. En déplaçant ce parking, ils ne pourraient plus en profiter. Ce projet de route, incompris et refusé par la population est inacceptable.
1– Sur un plan juridique, ce projet contrevient aux articles L 121-6, L 146-6 et L 146-7 du code de l’urbanisme. L'obligation de localisation pour les nouvelles routes de transit à distance minimale de 2000 mètres du rivage ne serait pas respectée (sachant qu'aucune contrainte liée à la configuration des lieux ne justifierait ce projet). Compte tenu de l'importance de la circulation, la route littorale ne peut être qualifiée de route de desserte.
« L'échange de terrains appartenant au Conservatoire du Littoral pour l’aménagement de parkings... » va à l'encontre du dispositif qui précise : « Les terrains appartenant au domaine public ne peuvent pas être concernés par cette procédure, en raison de leur caractère inaliénable » . Ces impossibilités ne peuvent évidemment pas échapper aux responsables concernés (en copie). Présence d’un monument historique du XIIe siècle. La création d’une route nouvelle ne respecterait pas le périmètre de protection des abords prévu par les articles L621-30 & L621-31 du Code du Patrimoine. En effet les projets sont inclus dans un rayon de moins de 500 m autour de Saint-Jean-d'Orbestier, abbatiale classée en cours de restauration. L’augmentation de la pollution routière : parking invasif, vibrations, pollution des gaz d’échappement… apportée par le dévoiement de la route mettrait en péril les travaux de restauration de cet édifice à quelques mètres d’une nouvelle route à forte densité de circulation. Quid de la sérénité attendue autour du plus beau lieu historique de la commune et de sa pérennité ?

2– Sur le plan écologique, le bilan environnemental de ce projet routier serait catastrophique : plus de 6700 véhicules/jours. Diviser en deux un espace naturel d’exception, c’est condamner l’importante faune et la flore à une disparition à court terme et appauvrir un riche biotope. Les associations écologiques responsables, avec les pétitionnaires, ne peuvent entériner ce projet. Sur les plans de ville, avec quelle légitimité avez vous déjà fait disparaître la forêt en zone ZNEIFF ? Ce subterfuge serait-il révélateur d’intentions peu avouables ? La transformation de l’impasse du Fief Saint-Jean en route départementale à deux voies entraînerait la destruction d’une longue bande de forêt : celle d’un chemin ombragé historique jouissant depuis le moyen-âge d’un calme bucolique, patrimoine millénaire de la commune. La faune et la flore seraient durement impactées par ce nouveau trafic routier qui couperait en deux le territoire de ses animaux sauvages (sangliers, chevreuils, lapins, etc.), les emprisonnant entre cette nouvelle route et le littoral Atlantique. La seule issue pour eux étant de traverser la route, au péril de leur vie … et de celle des automobilistes. Nuisances et pollutions diverses de la circulation routière - bruits, gaz d’échappement , accidents ... seraient générées jour et nuit par les motos, automobiles, poids lourds… au cœur de la forêt. Le bilan carbone de cette nouvelle trajectoire a-t-il été calculé en comparaison avec celui de l’ancienne route ? - Bilan négatif lié aux travaux : destruction de l’ancienne route ( 1km ) et construction de la nouvelle ( 1km750 ), - Bilan négatif lié à l’exploitation de ce nouveau trajet, qui obère l’avenir : 750m plus long, en dénivelé, avec plusieurs rond-points, et virages à 90° nécessitant arrêts et redémarrages des véhicules, aggravant le bilan carbone de cette nouvelle route. 3 – Sur le plan sécuritaire. Pourquoi la sécurité n’est-elle pas abordée par les porteurs du projet ?. Qu’en serait-il du risque d’accidents sur cette future route traversée par des animaux sauvages, empruntée par des familles, des piétons qui se retrouveraient involontairement sur cette voie étroite sans aménagement de trottoirs, en particulier la nuit, car NON éclairée, comme on le voit trop souvent à l’approche des campings du Château-d’Olonne depuis des années. Difficile d’imaginer que les décideurs puissent prendre ce risque. Ils seraient personnellement responsables de cette nouvelle zone accidentogène.

Votre projet déjà en infraction avec le Code de l’urbanisme, comporte de nombreux points noirs accidentogènes: Le dévoiement de la route RD32 avec le trafic en provenance des Sables d’Olonne et de Talmont-Bourgenay (6700 véhicules/jour ) – interviendrait à angle droit, au niveau du parking du Puits d’enfer et des maisons riveraines ; – traverserait la zone « inaliénable » sous protection du Conservatoire du Littoral sous les fenêtres et les piscines de la copropriété de l’Estran, avec un virage à 90° sans visibilité, donc très accidentogène ! –se compliquerait d’un grand rond-point à l’intersection des voies rue de la République, rue des Marchais, l’actuelle impasse du Fief Saint-Jean, et la sortie de la résidence de l’Estran; – se concentrerait sur ce carrefour la circulation entrée/sortie du centre de La Pironnière, du village de vacances de l’Estran, de l’important camping des Pirons et des rues environnantes de la Pironnière ; – à cela s’ajouterait le trafic actuel de la D32 ( rappel 6700 véhicules/jour ) en provenance de la forêt, depuis Bourgenay et le quartier d’Orbestier, auquel viendrait encore se joindre les véhicules en provenance de la route de Talmont et du grand contournement du Château d’Olonne en direction des Sables d’Olonne; – en arrivant sur l’abbaye Saint-Jean-d’Orbestier, les nombreuses habitations riveraines du nouveau tracé seraient directement et gravement impactées : rue de l’Abbaye, chemin des Boussais, impasse Frédéric Mistral. De plus un nouveau carrefour avec la route actuelle rue du petit Versailles générerait des ralentissements et arrêts de la circulation, puis redémarrages avec le bruit et les gaz d’échappement que l’on peut facilement imaginer. Même remarque au carrefour de la rue du Petit Versailles/impasse F.Mistral. Ce sont plusieurs quartiers qui subiraient les conséquences de cette lourde erreur d’aménagement, et qu’en sera t’il de la circulation des véhicules de sécurité : ambulances, pompiers, police, etc. très sollicités en période estivale. Impact sur le quartier de La Pironnière. Bien que vous ayez affirmé que le projet ne passerait pas par « les petites rues de La Pironnière », comme vous le savez, la rue des Marchais en sens unique, subit déjà des difficultés dues au terrain de camping des Pirons. Cette voie unique est très fréquemment bouchée pendant plusieurs dizaines de minutes,( et ce malgré la vigilance du propriétaire du camping) par des camions en livraison, transferts de mobil-homes, arrivées massives et concomitantes d’estivants. Qu’adviendrait-il si cette rue reliait la future déviation avec un trafic très important ? Ce goulot d’étranglement accidentogène, rendrait particulièrement difficile l’intervention des services de secours déjà très sollicités en période estivale. C’est toute la D32 qui se trouverait engorgée et bloquée. Tout cela n’a rien d’une « circulation douce », comme se plait à l’affirmer votre adjointe.

4 – Zones humides : la future route franchira deux zones humides du cours d’eau du Puits Rochais, dont le traitement relève légalement de la compétence GEMAPI depuis le 1 janvier 2018.

5 – Côte rocheuse et Anse de la Parée. Le dévoiement est présenté comme une absolue nécessité liée aux risques d’érosion de la falaise... En quoi le passage d’une nouvelle route dans la forêt améliorerait-il la protection du trait de côte ?

La route littorale, en dehors de l’Anse de La Parée, qui longe la côte rocheuse n’est absolument pas menacée. Des études du BRGM entre 2007 et 2015 montrent que le retrait de côte est même infèrieur à 1 mm par an, comme l’attestent ces études. Voir photos IGN. Votre projet de dévoiement s’appuie sur une argumentation mensongère contredite par ces études scientifiques.

Sur les cotés de l’Anse de la Parée, il existe des points de fragilité qui ne sont même pas recensés dans le Plan de Prévention des Risques Littoraux de la commune. Vous avez commencé des travaux restés inachevés ... Par cette négligence en plusieurs endroits espèrez-vous un éboulement pour vous donner raison ? Ce dont vous vous servez actuellement dans votre communication... Des investissements très lourds ont été réalisés par la Communauté de Communes des Olonnes en 2007 puis en 2014, à l’Anse de la Parée, pour les installations de la station d’épuration et de relevage. Comment expliquez-vous que la falaise ne semblait pas alors poser de problème et qu’on annonce maintenant une urgence ?. Si, selon vos services techniques municipaux, ces équipements, liés à la station d’épuration insuffisamment protégés, sont effectivement fragilisés, voire menacés de destruction par l’océan, il faudra donc inéluctablement procéder à des travaux de consolidation de l’Anse de la Parée, qui profiteraient aussi au maintien de la RD32...à moindre coût ! Nous pensons en effet, qu'à cet endroit une fragilité existe, sans tomber dans le catastrophisme démagogique évoqué sans cesse par votre adjointe. Comme vous, nous nous appuyons sur les conclusions d’une étude réalisée par le BRGM à la demande de la commune de Château d’Olonne en avril 2007, dont vous avez cité en son temps des extraits. Elles ne sont pas alarmantes. Des renforcements peuvent-être facilement entrepris à moindre coûts .

Recommandations du BRGM : Les chutes de blocs observées de part et d’autre de l’Anse de la Parée, ne nécessitent pas d’intervention particulière à l’heure actuelle. Une surveillance périodique est préconisée, ainsi que la purge des blocs instables, le cas échéant . En ce qui concerne les problèmes liés au débordement de la mer sur la chaussée et à la projection de petits blocs, il appartiendrait à la Commune, sur la base des éventuels dommages subis à ce jour par des véhicules et personnes qui auraient été victimes d’accidents, d’engager les actions en proportion du risque encouru. Une simple signalisation (attention : Risques de submersion en cas de tempête, projections de galets … ) peut être envisagé. Si nécessaire, un réaménagement du site (élévation du parapet du bord de route, modification de la route ou dispositif sur l’estran pour casser l’énergie des vagues) pourrait également être considéré. Dans l’Anse de la Parée, un renforcement et/ou une surélévation du passage routier et une défense à la mer adaptée n’entraineront pas des travaux herculéens ! De plus, il faut rappeler que l’option de renforcement et la gestion du trait de côte relèvent depuis le 1 janvier 2018, de la seule responsabilité des Sables d’Olonne Agglomération. ( GEMAPI )

Quel but réel poursuivez-vous en voulant dévoyer la route littorale ?

En engageant de grands frais inutiles ( argent public ), nombreux sont ceux qui s’interrogent sur l’éventualité d’intérêts sousjacents et sur les bénéficiaires ?

Pourquoi faire payer fort cher, et deux fois le contribuable, alors que la seule solution, celle du renforcement de l’Anse de la Parée, est suffisante, nécessaire, efficace en restant la plus économique ? Elle règlerait au mieux des intérêts de tous la question de la route littorale. Dans la baie de Cayola, la route reconstruite donne satisfaction. Au Château d'Olonne, à Tanchet, Nina d’Asty, Roc Saint Jean, des travaux de consolidation ont été récemment réalisés par vos services, avec succès. Nous nous interrogeons sur le sérieux des pilotes de ces projets non chiffrés mandatés par vos soins, projets qui se révéleront très coûteux pour les trois communes concernées demain.. En conclusion des premières réunions organisées avec les riverains, parmi quatre propositions théoriques, vous avez présenté comme acquis le projet dèjà choisi avant consultation. Est-ce ainsi que vous concevez la démocratie participative locale ? Ce choix a fait l’objet d’une opposition quasi unanime des personnes concernées lors des réunions publiques, opposition matérialisée par la pétition qui a recueilli plus de 5500 signatures à ce jour. Les participants ont confirmé leur opposition au dévoiement de la route D32. Ils demandent le maintien de la route dans son profil actuel en bord de mer, avec uniquement l’aménagement de l’Anse de la Parée. Cette dernière conclusion du public ne figure pas dans le compte-rendu de la mairie du Château d’Olonne… Pourquoi ? Et encore moins dans les articles de presse alimentés par vos services municipaux. La population, très préoccupée par ce projet, ne comprend pas un tel acharnement pour un projet si contestable qui ouvre le champ aux pires supputations.

Elle réaffirme plébisciter le projet de renaturation de l’ancien circuit du Puits d’enfer et de la forêt - depuis l’aérodrome jusqu’à la route littorale – en attente depuis octobre 2015... Les travaux écologiques peuvent faire l’objet de subventions nationales et Européennes certes, mais certainement pas les travaux de destruction de la route littorale. Pensez-vous aussi que l’attribution hypothétique de subventions justifie des dépenses inutiles avec un argent public dont vous devez faire bon usage ?



La population attend de vous et de vos élus la prise en compte de sa tranquillité et le respect du patrimoine culturel et écologique de la commune , dont le maire est le garant et dont héritera demain le futur conseil des trois communes fusionnées en 2019. La population avec le Collectif s'emploiera à faire connaître désormais ce que dicte le bon sens et la bonne gestion financière dans l'intérêt général. Nous utiliserons tous les moyens dont nous disposons pour que l’on n’assiste pas à une destruction écologique qui aurait des conséquences touristiques et humaines désastreuses, pour un projet coûteux, que le plus grand nombre rejette.

Monsieur le Maire,

nous attendons aussi de vous des réponses précises aux questions suivantes : — Pourquoi n’avoir pas communiqué précisément sur le coût du renforcement nécessaire de l’Anse de la Parée? — Pourquoi n’avoir pas communiqué précisément sur le coût de la renaturation seule, entretenant par cette omission un amalgame ? — Pourquoi n’avoir pas communiqué sur le coût réel des études et avoir laissé echapper des sommes fantaisistes?

Une nouvelle fois, Monsieur le Maire, nous vous demandons d'arrêter ce projet - il est encore temps - de mettre fin aux études inutiles et coûteuses et d’opter, dans la sérénité retrouvée, souhaitée par tous, pour une solution acceptée par la grande majorité des administrés de la future grande commune des Sables-d’Olonne. Vu l'urgence que la mairie attache à ce dossier, vos réponses rapides nous obligeraient.

Dans cette attente, croyez Monsieur le Maire à l’expression de nos sentiments distingués.


Collectif SOS Route littorale Xavier Armange, Jean-Loup Beuze, Katusca Beuze, Liliane Bordevaire, Annick Feys, Eric Feys, Martine Leclerc, Christian Martin, Hervé Sennedot,Arlette Thellier. Adresse postale : Jean-Loup Beuze 17, chemin des Boussais 85180 Château d'Olonne sos.route.littorale@gmail.com – page Facebook : SOS route littorale Château d'Olonne


Lettre ouverte adressée à :

Monsieur le Préfet de Vendée Monsieur le Sous-Préfet des Sables-d’Olonne Madame la Présidente du Conseil Régional des Pays de la Loire Monsieur le Président du Conseil Départemental Madame la Sénatrice Annick Billon Monsieur le Député Stéphane Buchou Monsieur le Président de l’Agglomération des Sables-d’Olonne, 4 Vices-Présidents et 5 Délégués Communautaires Monsieur le Maire des Sables-d’Olonne Monsieur le Maire d'Olonne-sur-Mer Monsieur le Maire de Talmont Saint Hilaire Monsieur le conseiller départemental des Sables-d’Olonne Gérard Faugeron Madame la conseillère départementale de Talmont Séverine Bulteau Madame la Première adjointe de la Mairie du Château d'Olonne Mesdames, Messieurs les Conseillers Municipaux du Château d’Olonne, Sables-d’Olonne, Olonne-sur-Mer, Talmont Saint Hilaire Messieurs les Directeurs du Conservatoire du Littoral à Paris et Rochefort Monsieur l’Architecte des Bâtiments de France STAP Vendée Monsieur le Président DREAL-Vendée Aux signataires de la pétition et riverains. Aux responsables écologistes et aux réseaux sociaux. Aux médias presse et audiovisuel locaux et régionaux

Samedi 8 Septembre 2018
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